Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 2

  • FREE ASSANGE

    La destruction de la démocratie réelle au niveau national est désormais visible par tous.

    Aux États-Unis, cela a été accompli par le pouvoir de l’argent, où les candidats sont comparables aux chevaux de course appartenant à des milliardaires. En Europe, ce fut l’oeuvre de l’Union européenne, dont la bureaucratie a progressivement repris les fonctions économiques essentielles des États indépendants, délégant aux gouvernements nationaux la tâche de concocter d’énormes controverses autour des questions de vie privée, telles que le mariage gay ou l'euthanasie tandis que la politique socio-économique se voit dictée par la Commission européenne à Bruxelles.

    Mais derrière cette Commission, et derrière le jeu électoral américain, se trouve le pouvoir anonyme identique qui dicte ses volontés à cette entité transatlantique : la Money Power.

    Cette évolution est le résultat de la soi-disant « construction européenne » qui depuis plusieurs décennies a transféré des compétences des États européens souverains à l’UE, qui à son tour va transférer ses pouvoirs à des institutions transatlantiques, le tout sous le contrôle décisif des « Marchés » – euphémisme pour désigner la Money Power..

    Les citoyens ne sont informés de la dernière étape de ce processus de dé-démocratisation en cours que lorsque cette dernière est déjà bien engagée. Le résultat est un fossé toujours plus large entre d’un côté "la classe politique", qui comprend à la fois les hommes politiques et les médias de masse, et de l’autre côté la population en général. La principale tâche encore dévolue à la classe politique est de divertir la population avec l’illusion qu’elle vit toujours dans une démocratie, et que les représentants qu’elle élit agissent dans ses intérêts.

    Pour mesurer l’ampleur de la reddition de l’indépendance française au cours des dernières décennies, on peut rappeler que dans les années 1970, le gouvernement de centre droit du Président Valéry Giscard d’Estaing avait facilement accordé l’asile aux Black Panthers fuyant les États-Unis. Aujourd’hui, nous refusons l'asile à Edward Snowden ou à Julian Assange. Les temps ont bien changé.

    Pour Julian cela se joue aujourd'hui

    télécharger.jpg

  • Voyage dans le post-libéralisme transcendantal

    post populisme,post leberalisme,populisme,catholiscisme,chretien,liberalismeDans la précarité généralisée, la compétition marchande est devenue la seule relation possible. On s'accroche à la nation pour résister au processus de déterritorialisation. Certains parlent de post-populisme ou de post-libéralisme. Une frange de républicains américains, pays où le catholicisme est en hausse observerait à la loupe ce que fait Orban en Hongrie.

    Leur idée est de revenir sur la séparation État/Église dans la constitution. Pour eux le libéralisme est allé trop loin.

    D’où l'idée de Marion Maréchal d'interdire la pub pour les produits hallal. Une forme d'administration chrétienne du libéralisme pour notre bien commun culturel et identitaire et notre consommation et éviter la charia du Marché et la Mollahrisation du capital.

     

    Vous imaginez une vie gouvernée par des algos cathos ???

    C pas mieux que les fachos fâchés...

    Comme dit la Money Power :Un conservateur c'est un libéral qui s'est fait agresser

     

    Adrian Vermeule: «Le bien commun est le plus grand bien des individus» | ENTREVUE (le-verbe.com)

     

  • TOP GUN DE LA PLANCHE A BILLETS

    bce,planche a billet,armement,exportation,ukraineBon les mecs, ayez quand même pas trop peur des gesticulations de Macron, la France étant le deuxième exportateur mondial d'armement, le consortium franco-allemand polonais pour produire des armes n'est juste qu'un moyen de réactiver la planche à la BCE avec Lagarde à vue et nous venir en secours puisque les seuls trucs que l'on sait exporter, c'est le luxe, le pinard et les armes....Thierry Breton a fait le job...

    Quel surfeur ce Macron