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ukraine

  • C pas faux...

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    Le premier mort de l'alliance est Justin Trudeau remplacé par un banquier Ex Goldman Sachs. Rappelez vous mes notes sur l'indice du slip cher à Alan Greenspan alors patron de la fed en 2009 avant le retour du masculinisme....

    Archive Avril 2009 - NECRONOMIE

     

    Nous sommes confrontés à un véritable changement de régime et non à un simple passage de témoin entre deux présidents de couleur politique différente.

     

    Il serait paradoxal qu’un gouvernement qui se proclame fièrement « souverainiste » et composé de « patriotes » accepte une relation de soumission envers la nouvelle administration américaine.

    Vittorio Emanuele Parsi

    Les réactions américaines face au refus de solidarité de la France ne sont d’ailleurs guère allées au-delà du changement temporaire du nom des frites — de French fries à Liberty fries — sur le menu de la cafétéria du Congrès et des repas de la Maison-Blanche. Pour donner la mesure du changement en cours, le président Trump a interdit à l’Associated Press d’assister aux conférences de presse de la Maison-Blanche, l’agence de référence étant considérée « coupable » de s’obstiner à appeler le golfe du Mexique par son vrai nom plutôt que par le nom artificiel de Gulf of America : comment ne pas penser à l’obsession du Mare Nostrum dans les rêveries néo-impérialistes de Mussolini ?

    Les alliés européens sont appelés à être de simples figurants du grand théâtre de la pax trumpiana — pendant que les oligarques du Kremlin et de la Maison-Blanche dépouillent les sols de l’Ukraine.

    Et aujourd'hui en prime de guerre, un clip d'un vieux copain nécronomiste l'inclassable et inclassé Jean-Louis Costes

    https://youtu.be/9Tfi39Y3rR0?si=J_Q3OAV_7A5M9eHh 

     
  • Retour vers le passé OTAN en emporte l'évier

    OIP.jpgL’Europe convoque des sommets de guerre après la fin de la belligérance. Devinez qui sortira de cette phase de transition historique avec des os cassés et le stigmate d’une victime sacrificielle ? Bien joué, juste l’Europe. En ce sens, la démarcation de Giorgia Meloni apparaît stratégique. Intelligente. Même si c’est risqué. Parce que cela suppose de faire confiance à Donald Trump. Un pari décidément élevé. Mais pour l’instant et à la lumière d’alternatives suicidaires telles que Macron ou Merz, inévitable. Dans cette affaire entre Giorgia Meloni et Emmanuel Macron, coupable d’avoir contourné tous les autres États membres et le principe de collégialité comme d’habitude avec sa visite (parfois grotesque) à Washington. Giorgia Meloni, bien baptisée ambassadrice des États-Unis auprès de l’UE et à la lumière de son diktat à l’Europe pour l’achat de GNL américain peut représenter l’alternative.

    Clash Trump-Zelensky : Giorgia Meloni réclame un sommet d'urgence entre les États-Unis et l’UE

    Trump est un masculiniste, il suffit de regarder sa femme Melania ou ses maîtresses comme Stormy Daniels. Il aime bien Meloni qu’il trouve mimi, lui fait même des bises sur le front…La dictature des minorités et le wokisme sont définitivement enterrés. Retour au machisme à l’ancienne.

    J’avais croisé ce mec dans les années 80, il a fait que ce morceau qui est inconcevable aujourd’hui. Je vous mets juste un extrait et m’excuse pour mes lectrices…mais c’est cela les masculinistes/// 

    On est pas des pédés !

     

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  • C le cocu qui paye la chambre

     Il n’est pas facile d’admettre que nous avons été utilisés puis abandonnés comme des chaussettes. Deux années d’automutilation russophobe étayée par 17 paquets de sanctions qui ont exposé le Vieux Continent à la nouvelle crise énergétique que nous connaissons et entraîné l’Allemagne dans une récession industrielle encore pire que celle du Covid. Et, maintenant, exclu de la table qui compte. Qui plus est, ils sont même destinés à payer la facture de la pax americana imposée par Donald Trump sans confrontation ni contradiction et que Vladimir Poutine vit comme une victoire sur tous les fronts.

    La Russie devait faire défaut et le rouble devait être réduit à la monnaie du Zimbabwe. Et au lieu de cela, il y a même un retour au G7 qui est évoqué. D’ailleurs, nous avons également assisté à la volte-face retentissante de l’OTAN sur l’entrée de Kiev dans l’Alliance et à l’hyperuranium diplomatique d’une Maison Blanche qui s’aventure dans des scénarios géopolitiques futurs dans lesquels non seulement un territoire, mais l’ensemble de l’Ukraine pourraient revenir sous le contrôle de Moscou.

     Bloomberg, explique à travers les mots d’anonymat de responsables américains – comment ce seront les autorités européennes et les pays qui paieront la facture de la paix et de la reconstruction. Un projet de loi qui, à ce jour, est budgétisé à environ 3 trillions de dollars entre investissements directs et coupes dans les dépenses sociales en faveur des dépenses militaires. Un chef-d’œuvre que seule l’UE pouvait rendre possible.