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macronie

  • Remaniement Horreur bergé

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    Horreur Bergé à la soldarité c'est normal, elle a même filé son ex mari à Agnès Pannier-runacher la ministre de l'écologie et de l'énergie des territoires, ça c'est de la solidarité gouvernementale...(ces gens couchent entre eux et se reproduisent entre eux), Gaby la branlette qui n'a jamais travaillé dans le monde réel à l'éducation, Prisca Thevenot la chienne de garde...Berangère Couillard à l'égalité femme homme...ça s'invente pas...

    Toutes les groupies de Macron...Seule bonne nouvelle Marlène la grosse dondon qui n 'a authentiquement rien fait si ce n'est travailler sa notoriété dégage...Elle finira sans doute comme chroniqueuse chez Hanouna....

    Vous pensez vraiment que ces gens vont nous sauver du désastre ?

    Macron leur a déjà donné la consigne : prendre de la distance avec le peuple...

  • L'humeur nécronomique du jour


    L’idéal serait de formater les individus dès la naissance en limitant leurs aptitudes biologiques innées. Ensuite, on poursuivrait le conditionnement en réduisant de manière drastique l’éducation, pour la ramener à une forme d’insertion professionnelle. Un individu inculte n’a qu’un horizon de pensée limité et plus sa pensée est bornée à des préoccupations médiocres, moins il peut se révolter. Il faut faire en sorte que l’accès au savoir devienne de plus en plus difficile et élitiste. Que le fossé se creuse entre le peuple et la science, que l’information destinée au grand public soit anesthésiée de tout contenu à caractère subversif.

    Surtout pas de philosophie. Là encore, il faut user de persuasion et non de violence directe : on diffusera massivement, via la télévision, des divertissements flattant toujours l’émotionnel ou l’instinctif. On occupera les esprits avec ce qui est futile et ludique. Il est bon, dans un bavardage et une musique incessante, d’empêcher l’esprit de penser. On mettra la sexualité au premier rang des intérêts humains. Comme tranquillisant social, il n’y a rien de mieux.

    En général, on fera en sorte de bannir le sérieux de l’existence, de tourner en dérision tout ce qui a une valeur élevée, d’entretenir une constante apologie de la légèreté ; de sorte que l’euphorie de la publicité devienne le standard du bonheur humain et le modèle de la liberté. Le conditionnement produira ainsi de lui-même une telle intégration, que la seule peur – qu’il faudra entretenir – sera celle d’être exclus du système et donc de ne plus pouvoir accéder aux conditions nécessaires au bonheur.

    L’homme de masse, ainsi produit, doit être traité comme ce qu’il est : un veau, et il doit être surveillé comme doit l’être un troupeau. Tout ce qui permet d’endormir sa lucidité est bon socialement, ce qui menacerait de l’éveiller doit être ridiculisé, étouffé, combattu. Toute doctrine mettant en cause le système doit d’abord être désignée comme subversive et terroriste et ceux qui la soutiennent devront ensuite être traités comme tels. »

    Günther Anders, "L’Obsolescence de l’homme", 1956

    J'ajouterai que dans le contexte actuel où l'on voit poindre le discours " ce qu'il faudrait, c'est une bonne dictature pendant six mois (pourquoi six mois ?) pour remettre de l'ordre", ce que Todd appelle le macron lepénisme, les miasmes nauséabonds ne doivent rien à la pollution mais à la décomposition du corps social. L'intelligence collective ? Provoquer l'imbécile qui sommeille chez tout honnête citoyen est un jeu d'enfant. Ils portent tous leurs indignations garanties conformes en bandoulière. Ce qu'ils ne comprennent pas les heurte, les choque. Pour un peu, ils en appelleraient à une répression. Ils ne l'avoueront jamais mais ils jalousent ces pays non corrompus par les confitures d'humanisme où se pratiquent la lapidation. Les buchers de la sainte inquisition se consument encore dans les cervelles occidentales. . Les citoyens sous tutelle technocratique des élites responsables sont ravis sur le fond. Le troupeau veut savoir où il doit paître. Le pire, le plus angoissant pour des hommes est d'avoir à décider de leur destin. L'abattoir ne leur fait pas peur à conditions qu'ils y aillent guidés par un  berger.

    Tout ce que je dis ne concerne pas évidemment mes amis en lutte, les révoltés et tous ceux qui par leur refus d'être markétirisés ont cessé d'être des agents économiques, tous ceux qui refusent de jouer à un jeu truqué ou l'on perd comme les élections et tous ceux qui sont favorables à l'écriture du constituant unique moyen de restaurer la souveraineté populaire.

  • Homard Shérif

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    Comme Voltaire face à Rousseau, Macron apparaît comme ce représentant de l’élite arrogante, déconnectée des aspirations du peuple et qui prétend moderniser la société par en haut. Il partage avec Voltaire la croyance que des autocrates éclairés peuvent décider de la forme que doit prendre la société, une croyance qui témoigne d’un mépris pour les gens ordinaires
    Pankal Mishra


    Le ruissellement ?

    Le premier de cordée ?

    Les profits d’aujourd’hui font les emplois de demain ?


    Non, les profits d’aujourd’hui font les super-profits de demain et sans passer par la case emploi.


    Un léger coup d’accélérateur en 2020 (février ?) nous propulsera bientôt : La glorieuse stagnation est la dernière frontière et la récession le minimum vital pour les nécronomistes qui savent survivre en style au moins aussi bien que Keith Richard, y compris dans les trous noirs où l’on se meut non dans l’espace mais dans le temps.


    Ce qui n’est visiblement pas le cas de François de Rubis et de sa femme Lady Gala cheveux platine et sèche-cheveux plaqué or qui venaient d’apprendre la loi du score que connaissent tous les déshérités et autres sans-dents : décrocher revient à aller embrasser le dur caniveau de la terre. Il s’agite désormais tel un bobo insomniaque, un vain grain de vanité, une ombre dont le seul silence de ses pairs aurait pitié.


    Car le homard perd seul lorsqu’il est englouti par le tsunami de la colère populaire. La transition intestinale qui fait suite à un bon repas n’est pas une transition écologique mais nécrologique. Enfin, j’espère…(qu'ils ont aussi refait les WC)


    Adieu l’ennemi