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recession - Page 77

  • Obama peut il sauver le Monde : feuilleton de l'été

    En France, nous avons élu Kennedy, nous nous retrouvons avec Louis de Funes, un petit agité qui sprinte dans un marathon parti il y a 30 ans et qui essaye de mettre en place les recettes qui précisément ont causé la faillite du système financier mondial (favoriser le crédit et l’endettement des particuliers, faire de la France un pays de propriétaire, obsession de la baisse des taux pour financer la croissance).

    Nous aurions pu en fait élire n’importe qui d’autre, les effets auraient été les mêmes voir pires.

    L’art du commentaire est tout ce qui reste aux hommes politiques dont le marché mondial à fait ses salariés.
    La réalité nécronomique les a dépouillé des illusions dont ils nourrissaient la crédulité populaire et qui confortait chez eux l’impression d’exercer un pouvoir.
    L’objectif est maintenant d’éviter la panique dans le grand supermarché mondial.

    Appauvrissez vous pour que survivent ceux qui mettent leur salut dans l’argent clame le Marché.

    Il n’est pas nécessaire d’avoir d’autres argument vis à vis des populations.
    La résignation les porte à contempler sans réagir et sans s’indigner le siphonage de leur patrimoine.
    Après tout, ils en ont bien profité, ils ont même hypothéqué l’avenir de leurs enfants en les endettant dés la naissance (40 000 euros par enfant en France, solidarité avec le déficit oblige).
    Et puis,
    cela fait belle lurette, que l’économie a asphyxié la radicalité qui existait chez les hommes et qui ne s’illustre guère plus que dans nos banlieues ou l’envie de consommer se marie volontiers à la violence.

    C’est sans doute ce qui explique le changement de ton de Christine Hagarde qui vient de rappeler
    « la priorité absolue n'est pas de baisser les impôts » mais d'« éliminer le déficit public ».
    Comprenez :
    et puisqu’on ne peut pas faire payer les gros (niches fiscales), il reste encore une solution : faire payer les petits.

    Sauvez la France de son déficit abyssal
    , c’est sauver la vie de vos enfants, nous dira t’on dans peu de temps dans une publicité gouvernementale ;

    Et l’unique moyen d’éviter qu’ils finissent congelés comme nos économies ou qu’on les oublient comme un parapluie sur la banquette arrière du Krach mondial.

    C’est aussi pour les hypothétiques futurs retraités la garantie de ne pas se faire taper dessus par leur engeance.
    Un fils qui tape son père , c’est démoralisant…
    Mortelle engeance...

    Nécronomiquement votre

  • APOCALYPSE DES MARQUES

    Nous avons à préparer une révolution de la vie quotidienne mais ce qui s’annonce n’est pas le dépassement de la survie mais sa sauvegarde par le changement du mode de fonctionnement économique de nos sociétés financés par la surabondance de liquidités.

    La dette et le crédit : On peut jouer avec mais pas s’y suspendre (règle nécronomique)
    C’est ce qu’on fait les sociétés occidentales les plus avancées.
    C’est la raison du Krach Mondial et de la Très Grande Dépression qui va suivre :

    Nous allons donc sortir d’une économie de désir ou le consommateur n’a pas conscience d’être un pantin manipulée par des Marques pour glisser vers une économie sans désir, TGD oblige.

    La séquence « consommer jusqu’à se consummer » vient donc de se boucler.
    La consommation va s’écrouler inévitablement et les Marques si arrogantes dans leur discours « parce que je le vaux bien. » devront rendre compte de l’argent qu’elles ont subtilisé aux consommateurs infantilisés.
    A cette occasion, elles feront face à une infidélité grandissante de leurs clients avec lesquelles elles n’ont pas su réellement pendant toute ces années créer des liens durables.
    Procter, Unilever…Personne ne sera épargné.

    « Pourquoi continuerions nous d’acheter vos produits si chers ? ? ? leur hurleront les consommateurs devenus routiniers du hard discount et des Marques de distributeurs (MDD) au lendemain de la gueule de bois mondiale
    dûe à la raréfaction du crédit (donc des cartes de fidélité et des cartes de crédit).

    « Qu’avez vous fait pour nous ces Vingt dernières années quand tout allait bien..??? »
    « En quoi avez vous contribué réellement à notre bien être ? »


    seront les questions auxquelles les Marques devront répondre si elles veulent survivre.

  • Necronomy Power

    Confirmation des hypothèses nécronomiques sur la phase d'impact en décembre/janvier
    Note du 4 7 2008 Dollar je t'aime à l'agonie.


    Source AFP

    L'inquiétude est également vive au sein de la banque centrale, qui vise une inflation "de base" de 2% maximum. Le président de la Réserve fédérale Ben Bernanke a jugé la situation inacceptable.

    "L'inflation est trop élevée actuellement. Et c'est une priorité absolue pour la Réserve fédérale de mener une politique qui permettra de ramener l'inflation à un niveau acceptable et cohérent avec la stabilité des prix", a-t-il assuré lors d'une audition parlementaire.

    En temps normal, un tel dérapage appellerait une hausse de taux. Mais l'économie américaine fait actuellement face à de multiples défis nés de la crise de l'immobilier, allant de la menace de récession aux turbulences sur les marchés financiers, et cela empêche de fait tout durcissement monétaire.

    "L'économie stagne et l'inflation augmente. Il est clair qu'on est loin des niveaux des années 1970, mais la combinaison des deux crée un véritable problème pour la Fed", note l'économiste indépendant Joel Naroff.

    C'est pourquoi la banque centrale va sans doute maintenir un certain temps encore son taux directeur à 2%, malgré les réticences des plus orthodoxes en son sein qui n'avaient pas hésité à voter contre les récents assouplissement monétaires.

    "La Fed s'abstiendra sans doute de relever ses taux jusqu'à 2009", estime Kenneth Beauchemin du cabinet Global Insight.

    "Et même l'hypothèse d'une baisse des taux reste sur la table, dans l'hypothèse improbable d'un désastre financier dans les mois à venir", ajoute-t-il.


    Improbable ??? Vous êtes sûr...Alors pourquoi Bernie la Plante Bernanke n'augmente t-il pas les taux pour combattre l'inflation alors qu'il nous en parle depuis presqu'un an ???
    A t'il réellement la capacité de soutenir sa monnaie sans détruire son économie ???
    En mars 2007 lorsque j'ai démarré ce blog, la récession était improbable,
    et il y a six mois la stagflation que nous avions annoncé l'était aussi...
    Aujour'd hui tout est là, il ne manque plus que la Stagdéflation qui va arriver dés le deuxieme semestre de l'année prochaine..pour s'étendre pendant plusieurs années.
    TGD (2008-20012)
    We play together,we pay together...

    Nécronomiquement votre les Amis...