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stagflation - Page 9

  • Inflation : Fillon attaque le Président

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    "Nous allons dénoncer ceux qui se livrent à des augmentations insupportables de leurs marges qui ne sont pas justifiées. On ne peut pas les interdire. On est dans un pays où les prix sont libres", a-t-il poursuivi.

    "Il y a des prix de produits qui augmentent de façon tout à fait excessive alors même que la matière première ne justifie pas cette augmentation", a-t-il insisté.


    Ces propos d’une violence inouïe ne sont rien moins que ceux de François Fillon, attaquant pour la première en frontal le Président au palmarès de la hausse des prix.
    Il est vrai que 372 %, cela fait cher même pour un camembert qui sent les pieds. Fût-il avec un Top-Model

    Un vrai putch gouvernemental...

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  • La peur d'appuyer sur le détonateur (le petit bras)

    Jean-Claude Trichet, gouverneur de la Banque Centrale Européenne, a peur d'appuyer sur le détonateur mais il sera contraint de le faire au mois d'avril lorsque sortiront les premières publications économiques de la zone Euro et la propagation de la récession au plan mondial...Ce que nous appelons la Très Grande Dépression. (2008-2012).

    A ce stade, je me contente de citer les acteurs et leurs paroles qui resteront
    gravés dans le marbre dans un contexte où l''inflation en janvier a progressé au rythme record de 3,2%

    . "Notre devoir est de faire en sorte que la politique monétaire garantisse la stabilité des prix à moyen terme (...) C'est une condition préalable à une croissance durable", a déclaré Jean-Claude Trichet. "Il n'y a pas de contradiction entre la stabilité des prix et la croissance", a-t-il ajouté. Le président de la BCE a dit s'attendre à une poursuite de la croissance dans la zone euro, malgré la crise financière actuelle qui a entraîné un net ralentissement de l'économie américaine. Il a ajouté qu'il ne croyait pas forcément à une récession aux Etats-Unis.

    « Nous avons une convergence de vue totale sur le diagnostic. Toutes les économies seront touchées, mais à des degrés divers. Les Etats-Unis seront clairement les plus atteints : le secrétaire d'état américain au Trésor a livré un diagnostic sombre de la conjoncture américaine, qui sera très impactée par l'affaissement du secteur immobilier. Si les Etats-Unis devraient éviter la récession, leur croissance sera toutefois très faible. L'Europe sera elle aussi touchée, quoi qu'un peu moins et de manière différente selon les pays. Le FMI estime ainsi que l'Italie sera la plus concernée, devant l'Allemagne et la France, qui se tiennent dans un mouchoir de poche, l'Angleterre arrivant derrière. Enfin, le Japon apparaît relativement plus protégé, du fait notamment d'une zone commerciale très dynamique : les pays émergents asiatiques n'ont visiblement aucune inquiétude sur leur propre situation ».
    Christine Lagarde reconnaissant enfin que nous sommes contaminés (bel effort).c’est ce que j’explique depuis 1 an….

    Que puis-je ajouter à autant de cynisme ?
    si ce n'est que Jean-Claude a peur d'appuyer sur le bouton de la baisse des taux ????, ultime responsabilité planétaire et que Christine Lagarde-Hagarde préfère la fuite en avant à la réalité de la Très Grande Dépression?
    L'espace du moment EST devenu si proche... Un Tsunami électronique...
    Couvrez-vous, il va pleuvoir...comme disent mes lecteurs suisses...dans leur immense sagesse...

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  • Stagflation ou Stagdéflation : Préparez vos mouchoirs….

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    Etes-vous prêt à emprunter le toboggan mondial de la Très Grande Dépression ?

    (AFP) - La Banque centrale européenne (BCE) s'est montrée jeudi plus inquiète concernant l'impact de la crise financière sur l'économie de la zone euro, s'ouvrant l'option de baisser ses taux directeurs dans les mois à venir si nécessaire.

    En bref, après la Federal Reserve, la banque d’Angleterre, c’est à un Français gouvernant la BCE, Jean-Claude Trichet d’avoir le doigt sur le détonateur et de s’ouvrir la possibilité d’appuyer dessus, probablement en avril, quand les résultats du premier trimestre dans la zone euro confirmeront la dégradation de la croissance et des perspectives économiques.
    Par ce simple geste de baisse des taux, il ne signifiera pas qu’il ne craint plus l’inflation, mais qu’il faut fluidifier un peu le crédit car désormais les banques ne prêtent même plus aux entreprises dans le cadres des LBO (rachat avec fort endettement) Le marché européen du LBO est presque revenu à son niveau de 2005. Les transactions de plus de 1 milliard d'euros ont quasiment disparu en Europe. ...

    Dans cette gigantesque fuite en avant, lorsque Jean-Claude Trichet appuiera sur le bouton, l’histoire de la Très Grande Dépression (2008-2012) s’accélérera…
    Car après la stagflation (stagnation et inflation) , nous allons entrer dans une période de Stagdéflation (stagnation et baisse des prix) avec une chute des prix de l’immobilier comme partout dans le monde (entre et 30 et 50 aux USA)
    Entre 30 et 40 % ici, quand à l’Espagne, cela pourra atteindre 90 % dans certains endroits si les choses s’accélèrent encore…
    Sans parler des flux migratoires car l’Espagne a absorbé à elle seule, les deux tiers de l’immigration africaine et a régularisé massivement pour faire face aux besoins dans la construction, secteur qui s’écroule désormais avec une surabondance de biens à vendre.
    L’immobilier ayant été depuis 8 ans le moteur de la croissance mondiale.

    Mais sans crédit plus personne ne peut acheter et les entreprises ne peuvent plus financer leur développement, c’est la raison pour laquelle, Monsieur Trichet sera contraint d’appuyer sur le détonateur.

    Mais hélas pour lui, les crises du crédit ne se terminent pas par de l’ inflation puisque distribuer du crédit, c’est précisément distribuer de l’inflation…
    Les crises du crédit finissent en déflation (baisse des prix)
    La déflation, c’est par exemple de qu’a vécu le japon de 1991 à 2006 suite à l’explosion de la double immobilière et financière et être passé de l’euphorie à la dépression, les japonais angoissés par leur avenir se remirent à épargner (tenez-vous bien) à 0,3%
    et cessèrent de consommer massivement ce qui plongea le pays dans la déflation…
    et les fameux taux d’intérêt à Zéro %
    (Zero Interest Rate Policy)
    Bref, on te passe de l argent sans intérêt pour avoir le droit de continuer dans le marché…
    Les petits malins de l’époque empruntant de l’argent au Japon à 0% pour le placer ailleurs (principalement aux USA à 4% voir beaucoup plus (Carry trade).
    C’est maintenant que nous allons encore savoir si il y a encore un pilote dans l’avion mondial ou une multitude de pilotes avec des objectifs et des destinations différentes.
    A nous de survivre dans ce contexte...
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