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stagnation - Page 2

  • Résume nécronomique de la situation

    Nous vivons la fin d'une époque. Derrière les crises financières qui se répètent depuis plus de vingt ans, chaque fois plus graves, se profile la crise de toutes les crises. Une crise Économique, Énergétique, et Écologique. Les 3 E...

    La Stagnation séculaire

    Cette crise des crises, les médias ne veulent évidemment pas la rencontrer pour ne pas affoler le consommateur. C'est pourquoi le discours ambiants des politiques et des médias est que tout comme une sonde traversant les espaces rencontre queues de comètes et trous noirs, l'économie, et la croissance qui lui est nécessaire, est juste dans un passage à vide. Un passage que les"experts appelaient" la stagnation séculaire, autrement dit une croissance molle.

    Mais que le peuple se rassure, nous allions vaincre la stagnation séculaire. Cette croissance molle qui certes pouvait durer des années mais les taux négatifs en viendraient à bout. Et puis, chacun se disait que des experts ou des hommes providentiels trouveraient bien des solutions puisque les crises sont inhérentes au capitalisme.

    Pourquoi cette crise serait-elle plus grave que toute autre depuis plus de 200 ans ? Et puisque les milieux autorisés reconnaissaient enfin que ce n’est pas une simple crise mais une mutation, pourquoi cette mutation serait-elle si difficile pour nous ?
    Pour les experts shootés au capitalisme, la stagnation séculaire ne précèdait pas une déflation mondiale ou un effondrement des bourses. Il ne s'agissait que d"une petite maladie de longue durée mais pas mortelle. Juste un ralentissement dans la croissance en attendant que cela reparte. Et puis pire des cas, nous pouvions vivre dans un monde à croissance faible même sans croissance.

    Les opposants quant à eux proposaient des solutions :
    Gauchistes, écologistes radicaux ou objecteurs de croissance (un capitalisme décroissant quel crise de rire ! imaginez les réunions à Strasbourg « bon nous avons réussi à faire notre objectif de 1 %, cette année, nous allons essayer de faire zéro… !)
    Bref si tout le monde ou presque arrive à concevoir qu’il peut y avoir des limites externes au capitalisme : épuisements des ressources, changement climatiques, destruction des espèces et de la nature en tant que forme de reproduction sociale, le capitalisme serait indépassable. 


    Quelles étaient les propositions des opposants :


    Régulation des marchés financiers, limitation des salaires des patrons, interdiction des golden parachutes, abolition des « paradis fiscaux », mesures de redistribution style revenus d’existence, et surtout un « capitalisme vert » , la bulle verte, le recyclage du capitalisme comme moteur d’un nouveau régime d’accumulation et générateur d’emplois. 

    Le musée des métiers disparus

    Dans le même temps, nous n’assistions à la disparition de nombreux emplois au nom d'une digitalisation effrénée Les plate-formes comme AirbnB, Uber et les banques virtuelles connues sous le nom de Fintech s'emparaient des Marchés. Les taxis étaient tombés, bientôt ce serait le tour des pharmaciens qu'importe, il suffisait de se requalifier et de former tout au long de sa vie pour subsister. Rien que ça !

    Il s'agissait en fait d’une dévalorisation générale de presque toutes les activités humaines, visible dans l’appauvrissement rapide et inattendu des « classes moyennes ». Tous ceux qui brassaient l’information entre la production et la vente sont remplacés par des logiciels. Cela est particulièrement visible dans le secteur bancaire mais pas seulement. Le plus incroyable, c'est que, travailleurs délocalisés dans notre propre pays, nous étions contraints de nous appauvrir sur le lieu même de notre richesse.

     Le monde serait en crise, mais pas le capitalisme !


    Une critique du capitalisme contemporain très différente de celles évoquées jusqu’ici a cependant été avancée. Une critique de la valeur, brillamment théorisée par Robert Kurz et le groupe Krisis. Une critique qui prenait à contrepied tous ceux qui  pensaient surtout  que la crise était le fait de la financiarisation de l'économie.

    Et si la financiarisation, loin d’avoir ruiné économie réelle, l’avait, au contraire, aidée à survivre au-delà de sa date de péremption ? Si elle avait donné du souffle à un corps moribond ? Pourquoi est-on si sûr que le capitalisme lui-même échappe au cycle de la naissance, de la croissance et de la mort ? Ne pourrait-il pas contenir des limites intrinsèques à son développement, des limites qui ne résident pas seulement dans l’existence d’un ennemi déclaré (le prolétariat, les peuples opprimés), ni dans le seul épuisement des ressources naturelles ?
    Marx n’a pas seulement parlé de luttes des classes. Il a également prévu la possibilité qu’un jour la machine capitaliste s’arrête seule. Pourquoi ?

    La production capitaliste de marchandises contient, dès l’origine, une contradiction interne, une véritable bombe à retardement située dans ses fondements mêmes. On ne peut faire fructifier le capital, et donc l’accumuler, qu’en exploitant la force de travail. Mais le travailleur, pour engendrer un profit pour son employeur, doit être équipé des outils nécessaires, et aujourd’hui des technologies de pointe. Il en résulte une course continuelle – concurrence oblige – dans l’emploi des technologies. Chaque fois, le premier employeur à avoir recours à de nouvelles technologies y gagne, parce que ses ouvriers produisent davantage que ceux qui ne disposent pas de ces outils. Mais le système entier y perd, parce que les technologies remplacent le travail humain.
    Depuis les années 1960, ce mécanisme – qui déjà n’était pas autre chose qu’une fuite en avant permanente – s’est enrayé. Les gains de productivité permis par la micro-électronique ont, paradoxalement, mis en crise le capitalisme. Des investissements toujours plus gigantesques étaient nécessaires pour faire travailler, selon les standards de productivité du marché mondial, le peu d’ouvriers restants. L’accumulation réelle du capital menaçait de s’arrêter. C’est à ce moment que le « capital fictif » prit son envol. L’abandon de la convertibilité du dollar en or, en 1971, a éliminé la dernière soupape de sécurité, le dernier ancrage à l’accumulation réelle. Le crédit n’est pas autre chose qu’une anticipation des gains futurs espérés. Mais lorsque la production de valeur, et donc de survaleur, dans l’économie réelle stagne (ce qui n’a rien à voir avec une stagnation de la production de choses – mais le capitalisme tourne autour de la production de valeur, et non de produits en tant que valeurs d’usage), il n’y a que la finance qui permette aux propriétaires de capital de faire les profits désormais impossibles à obtenir dans l’économie réelle.
    Le néolibéralisme des années 80 était, au contraire, la seule manière possible de prolonger encore un peu le système capitaliste. Un grand nombre d’entreprises et d’individus ont pu garder longtemps une illusion de prospérité grâce au crédit. Maintenant, cette béquille s’est également cassée. Mais le retour au keynésianisme, évoqué un peu partout, sera tout à fait impossible : il n’y a plus assez d’argent « réel » à la disposition des États.

    La vraie question

    Pourquoi ce système ne s’est-il pas encore écroulé complètement ? À quoi doit-il sa survie provisoire ? Essentiellement, au crédit. Face aux difficultés croissantes, au long du siècle, de financer la valorisation de la force de travail, donc d’investir en capital fixe, le recours à des crédits toujours plus massifs ne constituait pas une aberration, mais était inévitable.
    Le crédit ne prolonge pas seulement la vie du système en tant que tel, mais également celle des consommateurs. On sait que l’endettement privé a atteint des chiffres énormes, surtout aux États-Unis. Et surtout, il augmente rapidement. Quand la crise se répercutera effectivement sur la réalité et s’accompagnera d’une forte chute dans les recettes de l’État –, on verra des secteurs entiers de la vie sociale abandonnés à l’art de survivre au jour le jour.


    Les falaises de marbre


    L’atmosphère est au pessimisme. Les jeunes savent, et acceptent avec résignation, qu’ils vivront plus mal que leurs parents et que les nécessités de base – travail, logement – seront de plus en plus difficiles à obtenir et à conserver. L’impression générale est de glisser le long d’une pente. Le seul espoir est de ne pas glisser trop vite, mais non de pouvoir vraiment remonter. Il y a la sensation diffuse que la fête est finie et que les années de vaches maigres vont commencer ; une sensation souvent accompagnée de la conviction que la génération précédente (celle des « baby-boomers ») a tout dévoré et peu laissé à ses enfants ; Raison pour laquelle j’évoque souvent un autre sujet tabou (La Grande Déconnexion) les émeutes transgénérationnelles (les garçons sauvages et les enfants qui n’écoutent pas leurs parents, nom que se donnent certains gang d’adolescents en Afrique.)

    Manuel de survie en territoire zéro

    Il est si difficile de réagir à cette crise ou de s’organiser pour y faire face : parce que ce n’est pas eux contre nous. Il faudrait combattre ce qui habite également dans chacun de nous, et donc une partie de nos habitudes, goûts, paresses, inclinations, narcissismes, vanités, égoïsmes… Personne ne veut regarder le monstre en face. Combien de délires propose-t-on, plutôt que de mettre en question le travail et la marchandise, ou simplement la voiture.

    Ce qui s’annonce a plutôt l’air d’être une barbarie à petit feu, et pas toujours évidente. Plutôt qu’au grand clash, on peut s’attendre à une spirale descendant à l’infini, une morosité perpétuelle laissant le temps de s’y habituer. On assistera assurément à une diffusion spectaculaire de l’art de survivre de mille manières et de s’adapter à tout, plutôt qu’à un vaste mouvement de réflexion et de solidarité, où tous mettent leurs intérêts personnels de côté, oublient les aspects négatifs de leur socialisation et construisent ensemble une société plus humaine. Commencer alors avec de petites choses, l’aide entre voisins, les systèmes locaux d’échange, le potager dans le jardin, le bénévolat dans les associations… souvent, c’est sympathique. Mais vouloir contrecarrer l’effondrement du système mondial avec ces moyens équivaut à vouloir vider la mer avec une cuillère. (Anselm Jappe).

    En attendant les barbares

    Abandonné à son propre dynamisme, le capitalisme ne débouche pas sur le socialisme, mais sur des ruines. 

    L"effondrement survenue, il ne restera qu’une terre brûlée où les survivants se disputeront les débris de la « civilisation » capitaliste. C’est déjà la réalité quotidienne dans les banlieues des métropoles. A commencer par les aux USA, ou 1 personne sur 5 en âge de travailler n’est plus dans aucune stat (taux d’emploi). Parlez-en à Baltimore ou à Detroit motor city. Mais que font-ils pour survivre ces barbares qui vivent parfois dans des junk yards ?

    Le « mystère de la bonne santé prolongée du capitalisme ne réussit pas à passionner ces barbares autant que l’urgence de sa mort. Pour cela, ils sont prêts à mettre à feu et à sang les métropoles – avec leurs banques, leurs centres commerciaux, leur urbanisme policier – à n’importe quel moment, individuellement ou collectivement, à la lumière du soleil ou dans le noir de la nuit. S’ils n’ont pas un seul motif pour le faire, c’est parce qu’ils les ont tous. Contrairement aux sujets mécontents qui voudraient devenir des sujets contents, la possibilité d’un autre monde n’intéresse pas ces barbares. Ils savent qu’un « autre monde » sera comme un « autre jour », la répétition vide et ennuyeuse de ce qui a précédé. Ils sont nés et ont grandi sous le joug impérial, sans avoir jamais eu la possibilité d’expérimenter des modes radicalement différents de vivre ; il n’est pas possible pour eux d’imaginer cet autre monde sinon en termes négatifs.

    Que faire ?

    Cela provoque effectivement le vertige d’envisager la fin d’un mode de vie où nous sommes tous engloutis jusqu’au cou et qui, maintenant, est en train de sombrer sans que personne ne l’ait décidé, en nous laissant dans un paysage de ruines. Pour sortir de la situation, il faut faire un grand bond dans l’inconnu et s’agit pas de « sauver » « notre » économie et « notre » mode de vie, mais de les pousser à disparaître au plus vite, tout en donnant lieu à quelque chose de meilleur.

    Pour cela, il n'y a pas d'autres solutions que le repli tribal ou l'appartenance à un réseau, un mouvement. Ne pas restez seul...Ne pas avoir de dettes ou d'intérêts...

    Nécronomiquement votre

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  • Recession TV

     

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    Les américains qui savent tout marketer viennent de monter une web TV sur la récession.
    Voici ce qui s'y dit :

    Première phase :
    Le cycle économique faiblit, le crédit compense la manque de lliquidités des entreprises. Les écarts de crédit s’élargissent. Les flux de trésorerie glissent. Les actions chutent. La volatilité augmente. Nous entrons dans cette phase.

    Deuxième phase Octobre/Novembre
    Le cycle économique ralentit encore, le crédit augmente pour compenser les besoins de fond de roulement des entreprises. Les dettes grand triple B chutent et les obligations encore plus fortement.
    Troisième phase :
    Des actions sont déclassées et passent de triple B à Actions pourries.
    Concernant L’UE, les banques ne peuvent supporter le stress du financement. BCE et gouvernements interviennent. Les écarts de crédits explosent. Les taux négatifs tuant le business des banques progressivement. De grandes entreprises sont poussées vers la faillite.
    Tout dépend alors des banquiers centraux. L’affaire du fond Woodford au UK fait des émules.
    Avant que n’éclate l’affaire H2O, qui nous concerne puisque c’est la boutique de gestion de Natixis.
    http://theconversation.com/natixis-quatre-grandes-lecons-de-laffaire-h20-pour-les-investisseurs-119474
    les investisseurs avaient été confrontés à un réel problème de liquidité sur un fonds de Neil Woodford, un gérant « star » britannique, qui avait dû geler temporairement les sorties de ses clients. Celui-ci vient d’annoncer début juillet que ce dispositif était reconduit.
    Autrement dit cela sent le problème de liquidités à plein nez lorsque les investisseurs n’arrive pas à récupérer leur capital. Ce qui est particulièrement inquiétant quand on sait les montagnes de liquidités qui ont été déversés par las banquiers centraux et le quantitative easing. Où est passé l'argent ??? Magique….


    Analyse nécronomique pour la suite
    La Fed s'est trop resserrée (ont augmenté leur taux trop rapidement) et le système s'est cassé... maintenant ils vont couper, mais ce ne sera pas assez
    Les droits de douane ont resserré la politique budgétaire au moment même où la politique monétaire était trop serrée...
    La dernière série de guerres commerciales a augmenté la probabilité de récession encore plus ...
    Matières premières, pétrole, sociétés de transport, constructeurs automobiles... tous en grande difficulté
    Le consommateur américain est totalement exploité et surendetté
    L'UE est dans une lutte pour la survie...


    Bonne soirée

  • LE GRAND EFFONDREMENT

     

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    Si vous êtes arrivé ici par hasard et que vous avez l'intention de lire ceci, n'en faites rien, ne vous donnez pas cette peine. Au bout de quelques lignes, vous le regretterez. Il doit y avoir bien mieux sur Internet ou sur YouTube ou même à la télé. Genre distractions qui cassent pas le moral. ou alors puisque vous disposez de temps libre puisque vous êtes là, prenez des cours du soir pour devenir économiste. Comme ça, vous pourrez expliquer après la catastrophe ce qui s'est passé avant comme vos futurs confrères toujours aussi incapables de voir venir les crises, prisonniers de leurs historiques. Mais dans tous les cas de figure vous êtes foutu, je préfère vous le dire tout net.

    Depuis plus de dix ans, j'ai pu préparer quelques centaines de personnes au désastre qui va suivre. Le Grand Effondrement que personne ne voulait voir car personne ne voulait croire que nous avions atteint les limites du système dans lequel nous vivons. 

    La bulle verte, vous avez pu voir l'adhésion des gens. On ne modfie pas des comportements nocifs à coup de taxes. L'exemple des sextoys 1000 ans pour se dégrader tout comme les bouteilles plastiques le prouvent aisément. Les archéologues du futur n'en finiront pas d être étonnés par les habitudes des générations d'avant. Imaginez qu'un simple briquet jetable met 100 ans avant de se dégrader. Le plastique est partouze. 

    http://blog.senkys.com/2010/12/necronomieox-le-comble-du-mauvais-goût.html

    Voilà comment nous vivons, voilà où nous en sommes...

    Bref bulle verte, démontez vous mêmes vos illusions ou demandez à un robot ou une IA de le faire.

    Le capitalisme est le seul système ayant jamais existé qui contient à sa base une contradiction dynamique, et pas seulement un antagonisme : la transformation du travail en valeur est vouée historiquement à l’épuisement à cause des technologies qui remplacent le travail. Avec la robotique et bien évidemment l’Intelligence Artificielle nous n’allons pas assister à la dévalorisation de quelques métiers au profit d’autres, comme lorsque les maréchaux-ferrants ont été remplacés par les garagistes, et comme la manie des « requalifications » voudrait encore nous le faire croire. Maintenant, il s’agit d’une dévalorisation générale de presque toutes les activités humaines, visible dans l’appauvrissement rapide et inattendu des « classes moyennes ».

     Nous dérivons vers une situation où les humains ne sont plus que des « déchets ». Les personnes innombrables qui survivent en fouillant dans les ordures – dans le « Tiers-monde », mais pas seulement – montrent où va finalement une humanité qui a érigé le process de valorisation en exigence suprême : c’est l’humanité elle-même qui devient superflue, lorsqu’elle n’est plus nécessaire pour la reproduction du capital. Des masses croissantes de personnes ne « servent » plus, même pas à être exploitées, tandis qu’on leur a retiré toutes les ressources pour vivre. Et ceux qui disposent encore de ressources en font souvent un très mauvais usage

     Après la crise de 2008, l’effondrement catastrophique du système capitaliste mondial n’a pu être empêché que par une intervention massive des États et des banques centrales, comme jamais l’histoire n’en avait connue. Si l’on doit à présent subir les conséquences de cette crise, sous la forme de l’endettement public et des « politiques d’austérité » imposées à la société, ce n’est pas parce que nous aurions vécu « au-dessus de nos moyens » et qu’il conviendrait de se « serrer la ceinture ».

    Bien au contraire, la société vit largement au-dessous des possibilités créées par les nouveaux potentiels de productivité ; seulement, ces potentialités se transforment toujours davantage en forces toujours plus destructives au sein du système capitaliste (voitures autonomes, magasins sans caissières, entrepôts sans manutentionnaires, robotique Intelligence artificielle,datamining,Big data…).

    https://www.youtube.com/watch?v=7wzR_BVFsUU

     

    La seule et unique solution qu'il reste désormais pour prolonger la survie puisque l'on ne peut plus remonter les taux est de transférer la totalité des dettes souveraines et des créances douteuses dans les banques centrales (qui pour le coup pourrait devenir des bad bank). Autrement dit de faire de l'helicopter Money en espérant que les Etats se restructurent réellement sans que les peuples ne se rebellent. 

     En route vers le Grand Effondrement