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évolution - Page 13

  • Les samedis du confinement du vaillant André Bellon

     

     

    A voir sans modération approved by Nécronomie et la Résistance française !!!

     

    https://www.pouruneconstituante.fr/spip.php?article1750

     

     

     

  • Le sacrifice classes populaires suite

    coro.pngSamedi 11 avril, les travailleurs français sont appelés par Geoffroy Roux de Bézieux, le grand chef des figures de pain sucé du MEDEF, à mettre « les bouchées doubles » quand l’économie reprendra. « L’enjeu est de reprendre le travail plein pot » martèle la secrétaire d’État à l’Économie, Agnès Pannier-Runacher. « Il faudra probablement travailler plus que nous ne l’avons fait avant » poursuit-elle, pour « rattraper la perte d’activité induite par le confinement." 

    La fuite dans la cogestion de la crise  ne peut que conduire à la complicité avec le sacrifice humain, qui est objectivé et finalement réalisé consciemment ; non plus comme un sacrifice de l’énergie abstraite du travail jusqu’à ce que le matériel humain usé tombe mort, mais conséquence de l’obsolescence objective de cette coercition, pure ‘‘euthanasie’’ bureaucratique des masses des inutiles du capitalisme, qui prendra des caractéristiques anomiques. Si les métamorphoses de l’argent menant du sacrifice humain à l’objet symbolique de substitution étaient un processus partiel de civilisation sur le terrain non résolu des rapports fétichistes, le fétiche du capital, quant à lui, a mis en route un processus sacrificiel objectivé, qui de ce fait annihile tous les éléments civilisateurs de l’histoire humaine. Les prêtres de sang aztèques étaient bien inoffensifs, voire philanthropes comparés aux bureaucrates sacrificiels du fétiche capital mondial ayant atteint sa borne interne historique.

  • Le seigneur des porcheries


    A mon Ami Fabrice Bonnard " le seigneur des porcheries"

          product_9782070749966_195x320.jpg     Comprenne qui pourave

     

     

    Les ramasseurs d’ordures sont les héros méconnus de la modernité. Jour après jour, ils rendent à nouveau visible la frontière entre normalité et pathologie, santé et maladie, le désirable et le repoussant, l’accepté et le rejeté, le comme il faut et le comme il ne faut pas, l’intérieur et l’extérieur de l’univers humain. Y aura-t-il assez de ramasseurs d’ordures, d’éboueurs que « notre mode de vie » engendre quotidiennement ou de personnes qui se salissent les mains à nettoyer nos toilettes lors qu’ils sont payés dix fois moins que ceux qui télétravaillent ?
    Que ferions-nous en période de pandémie si les éboueurs refusaient de travailler ?


    Conseil lecture : Le seigneur des porcheries.