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banlieue

  • ITW JPC

    Ma dernière interview pour ceux qui ne l'ont pas vu

    Tapez sur you tube jean pierre crépin

    IT du 2 mai

    le lien ne marche pas (censuré je pense)

     

  • Chronique de l'hyperghetto

     

     

    ghetto,hyperghetto,antisemitisme,pas d'amalgame,banlieue,quartiers,misere socialeEntendu ce jour sur LCI, un ami de Macron dans une envolée lyrique déclarer « qu’il y a un antisémite au fond de nous tous » Et pourquoi pas un pédophile tapi en chacun d’entre nous ?
    Les politiques sont très mal à l’aise avec l’antisémitisme car ils ne veulent pas « stigmatiser » le fameux Padamalgam…
    Pourtant ce n’est pas à Jerusalem qu’il faut faire de grandes déclarations mais dans les quartiers en réalité.
    Cela fait maintenant bientôt trois ans qu’après avoir été gentrifié (néologisme JPC pour gentrification) et viré de Paris, que je vis dans ce qu’il est convenu d’appeler un Hyper-ghetto.
    Plusieurs constats et évidences :
    Ceux qui restent dans le ghetto ne peuvent pas créer par eux-mêmes des moyens de remplacement économiques ou politiques, substituts des moyens qui leur sont refusés par les Élites. Il en résulte que tandis que le ghetto dans sa forme classique agissait en partie comme bouclier protégeant de l’exclusion raciale brutale, l’hyper-ghetto a perdu ce rôle positif d’État tampon, se transformant en machinerie de mort pour la relégation sociale pure où les tensions ethniques sont quotidiennes.
    En mutant en Hyperghetto, le ghetto s’est transformé purement et simplement en un lieu dont pratiquement l’unique fonction est celle d’un dépotoir. Il est devenu une machinerie unidimensionnelle pour la relégation pure, un entrepôt humain où sont rejetés ces segments de la société urbaine, épaves humaines à la mauvaise réputation et dangereuses. J’en fais partie.
    À l’inverse du ghetto son prédécesseur, l’Hyperghetto sert non pas de réservoir de main-d’œuvre industrielle jetable, mais de simple décharge pour ceux d’entre eux pour lesquels la société environnante n’a aucun usage, économique ou politique. Dans l’Hyperghetto, point de Gilets jaunes ou de syndicalistes.
    Tous ces facteurs convergent pour produire un effet commun : l’identification du crime avec les « classes inférieures » (nécessairement locales) de la société ou bien, ce qui revient d’ailleurs au même, la criminalisation de la pauvreté. Aux yeux de l’opinion publique, les types classiques de criminels sont presque tous issus des «bas-fonds » de la société. Les ghettos urbains et les zones de non-droit sont vus comme les terrains d’élection du crime. Et, inversement, les sources de la criminalité (de la seule criminalité qui compte vraiment, celle qui est perçue comme une menace contre la sécurité des personnes et des biens) sont clairement locales et localisées mais la police n’y intervient plus tant que les habitants de l’Hyperghetto ne sortent pas de leur périmètre pour se rendre par exemple à Paris. Rien de sérieux n’est fait pour combattre l’économie parallèle. En vérité, elle est même tolérée puisque elle évite à l’État de consacrer des moyens.
    La seule chose qui inquiète le pouvoir est l’islamisation radicale qui crée des djihadistes dans les Hyperghettos où l’antisémitisme règne. La république laïque et indivisible a perdu. C’est un fait.

  • Le Grand Abandon (ethnique ta mère)

     

    hhh.jpgEn trente ans, la société française a quitté un modèle laïque républicain pour être projetée dans un modèle multiculturaliste, communautariste et anti-laïque. Il s'agit d'une authentique révolution qui se poursuit encore aujourd'hui sous nos yeux. Les élites politiques, économiques et institutionnelles ont balayé le vieux modèle laïque et républicain sans demander l'avis du reste de la population. Les élites françaises ont été à l'origine du plus grand casse du siècle, lequel s'avère être aussi un casse de la démocratie et de la laïcité

    http://www.lefigaro.fr/vox/politique/2018/10/05/31001-20181005ARTFIG00341-face-a-l-islamisme-nos-elites-ont-trahi.php

    Cela fait maintenant plus d'un an que je me suis fait gentrifié, boosté hors de Paris pour atterrir dans le fameux 93 et qui plus est, dans une zone de sécurité prioritaire où jusqu'à ma présence dans les lieux, on avait vu les gaulois juste à la télé;

    Dominante africaine, ensuite maghrébine, puis Sri lankaise, enfin asiatique.

    Reste moi, quatre polonais ultra - catholiques travailleurs détachés et deux roumaines orthodoxes et puis c'est tout...La population qui peuple la zone est donc très majoritairement musulmane à part les asiates et les Sri lankais.

    En fait, je me suis intégré sans problème avec tous les bénéfices que cela comporte pour le pouvoir d'achat et le mystère qui fait que la viande Hallal est beaucoup moins chère que la "viande normale". Etant ultra minoritaire, je me suis rapproché de la communauté Sri lankaise, les fiers tigres tamouls et leur légendaire coupe-coupe. Ils n'ont peur de personne. Donc je claque mon argent dans leur commerces. Cela suffit pour être sous leur protection. Je ne comprends toujours rien au Cricket et ne sait dire qu'un seul mot "Namasté" mais cela suffit. Il n'ya pas besoin d'en dire plus.

    http://www.lefigaro.fr/lefigaromagazine/2006/06/16/01006-20060616ARTMAG90407-les_tigres_tamouls_rdent_paris.php

    En tous cas, ce que je peux vous affirmer, c'est qu'ici la république laïque a échoué et pas qu'un peu. Tout est ethnique (ethnique ta mère). A commencer par les commerces. En fait les gens ne se mélangent pas. Le plus flagrant est au PMU où il y a la table des asiatiques, la tables des africains, la tables des maghrébins etc...Pire encore, les gens ne souhaitent pas ou n'éprouvent pas le besoin de se mélanger. Raison pour laquelle, il est quasi impossible de se faire un ami hors de son ethnie. Cela aussi est un fait et il est bien trop tard pour s'en préoccuper alors BANZAÎ...