Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

explosion sociale

  • Prédiction Nécro

     

     

    prediction,economie,recession,depression,collapsologie,ecroulemnt catastrophe,explosion sociale,futurVoici ce qui nous attend :

    L’économie, qui a été comprimée par un effondrement de l’offre et un choc simultané de la demande des deux côtés, ne se redressera pas. Des centaines de milliers d’emplois seront perdus dans l’industrie cet automne et cet hiver. Des licenciements massifs sont imminents dans les secteurs de l’automobile et de l’aviation, ainsi que dans le tourisme, le commerce de détail et la banque. Plus d’un demi-million d’entreprises ne peuvent assurer le service de leurs dettes qu’en en contractant de nouvelles, et des dizaines de milliers de détaillants et d’entreprises de gastronomie sont au bord de la faillite.

    En raison de cette situation, les banques sont assises sur une montagne sans cesse croissante de créances douteuses – avec pour conséquence qu’avec les taux zéro, les banques perdent leur modèle de rentabilité.

    Chômage partiel, Prêt garanti par l’État, aucune de ces mesures ne résout le problème fondamental, mais se contente de le reporter et de créer un nouveau problème en retour : les dépenses qui en résultent, ainsi que l’effondrement des recettes fiscales, élargissent le trou déjà énorme du budget de l’État et créent les conditions qui nous permettront d’envisager à l’avenir des politiques d’austérité beaucoup plus strictes que celles que nous avons connues jusqu’à présent, ce qui signifie avant tout : des réductions drastiques des dépenses sociales, notamment dans les domaines de l’éducation, de la santé et des infrastructures publiques.

    Comme tous ces développements vont réduire le pouvoir d’achat général, les responsables n’auront pas d’autre choix que de recourir à la monnaie hélicoptère. Cela conduira très rapidement à une dévaluation de plus en plus importante de la monnaie.

    Nécronomiquement Votre

    Lundi prochain, je serai aux cotés du Gouv pour le conseil des ministres qui sera diffusé en direct, je mettrai le lien sur le blog

  • MERCREDI SUGISSEMENT DESORDONNE DE JPC

    https://akasharadiotv.fr/jean-pierre-crepin-le-surgissement-desordonne/

  • Write-off

     

    « Et si le suicide économique était l’unique voie vers l’immortalité dans un monde où la crainte des dieux a été remplacée par la crainte du Marché? »

    « Il n’y a pas pire destin que celui de l’homme condamné à s’appauvrir sur le lieu même de sa richesse. »

    Quelle était l'énigme ? La perversité forcenée de la Money Power pouvait elle menée à la lumière que rien n'éteint... la consommation durable...???

    JPC

     

     

    Ce à quoi nous assistons, jour après jour, et que nous tentons d'expliquer depuis maintenant 2007, n'est rien moins qu'une période qui restera dans les livres d'histoire sous le nom de Très Grande Dépression.

    Comme nous l'avions annoncé, le sauvetage de la Grèce avec une décote désormais de 70 % de sa dette en préfigure bien d'autres, car il ne s’agit plus désormais que d'éviter l’implosion d'un système où le défaut d'un pays créerait un précèdent, une brèche qui telle un éclair zébrerait le ciel et dans laquelle ne manqueraient pas de s'engouffrer d'autres pays qui doivent maintenant affronter la colère sociale de leurs peuples. C'est la raison pour laquelle, on continue d'opter pour la transfusion à celui qui souffre d’hémorragie interne et n'a aucune chance de trouver sa place dans la mondialisation. Ultime soubresaut, d'une économie globalisée sans l'accord des peuples et désormais confrontée au pire des scénarios à savoir l'effondrement généralisé de la valeur d'échange, autrement dit une dévaluation mondiale de l'argent, ce qui signifierait tout simplement la fin d'un système.

    Nous l'avons déjà écrit, il faudrait que les pays émergés gagnent au minimum 30 % de niveau de vie et que les pays déclinants acceptent de perdre en contre partie aussi 30 % pour que les choses puissent réellement s'équilibrer dans une harmonie sociale.

    La marché forcée vers un nouveau modèle de production n'est donc rien d'autre que la marche forcée vers une inflation souhaitée, seule garantie pour les États de pouvoir un jour rembourser leurs dettes et pour les classes moyennes de continuer à exister àprès s'être endettées au delà de toute raison portées par l'idée d'une croissance sans fin.

    Nous en sommes très loin et d'ici quelques mois, l'inéluctable constat apparaîtra à tous et sans autre reprise que celles des chaussettes, la baisse des charges patronales ne fait qu'annoncer une autre baisse : celles des salaires, unique variable d'ajustement de la compétitivité. On parle alors de flexibilité ou de libéralisation du marché du travail ( fluidité, flexibilité).

    Le crédit facile, l’accès à la propriété ont fait du travail une drogue dure dont le manque et les angoisses que vont provoquer sa raréfaction, ne bénéficieront cette année qu'aux labos pharmaceutiques, ce que vient de confirmer d'ailleurs le laboratoire pharmaceutique suisse Roche qui a fait état mercredi dernier de sa confiance pour l'exercice fiscal en cours.

    Logique, puisque le travail en tant que valeur est sanctifié comme le chemin unique vers le bonheur et l'épanouissement de l'individu. A l'inverse, dans ce contexte, le chômage est la voie la plus sûre vers la dépression.

    D'où l'expression nécronomique : «j'ai croisé le bonheur».

     

    Seuls les nécronomistes survivront car ils ne tomberont pas de haut et sont déjà sortis du bilan (individual write-off).

    En route vers la stagdéflation...