Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

bonheur

  • Exclusivité Mondiale necronomique

    je peux vous annoncer que les équipages assoupis et grassement payés des agences de pub, de com et de marketing vont se retrouver au chomdu en ne sachant rien faire idem pour les journalistes...
    Un economiste libertarien americain m a dit un jour l' IA c 'est 80% de chômage dans des pays comme le tien administré par l'Etat.
    Voici donc un texte écrit à ma manière par l'IA à 100% sur un thème choisi  par mes soins en l'occurence la panne géante en Espagne

    IA1, c homage,destructions emploi,fantomisation,futur,chute,effondrement,bonheurLe Saint-Esprit est un satellite

    Les bougies vacillaient sur les rebords des fenêtres comme aux premières heures du Moyen Âge 2.0. Les onduleurs avaient tous rendu l’âme, un par un, comme des managers après un séminaire sur la résilience.
    Les banques ? Muettes. Les hôpitaux ? En mode camping sous morphine.
    Mais au-dessus de la stratosphère, Starlink tournait, impassible, étoile morte distribuant sa lumière numérique comme un miracle.
    L’ultime relique fonctionnelle d’une techno-théocratie dont les prêtres ont pour nom « Musk », « Bezos » ou « Nvidia ».

    On vendait tout, sauf la connexion.

    La dernière chose qu’on voulait perdre, ce n’était pas l’électricité. C’était la bande passante. Le lien vers la Matrice. Vers les likes, les feeds, les alertes boursières qui disaient que tout tombait sauf l’action Tesla.
    Dans ce monde sans courant, mais avec Wi-Fi orbital, l’infrastructure divine n’était plus le béton ou le cuivre : c’était le cloud, sanctifié par les satellites.

    Alors les gens ont prié. Ils ont swipé Tinder dans le noir.
    Ils ont rafraîchi leurs portefeuilles crypto.
    Ils ont googlé « comment purifier de l’eau de mer ».

    Et Starlink brillait encore, comme un Jésus de silicone.
    Pas pour vous sauver. Non. Pour surveiller si vous cliquez encore.

     

    Voilà c'est de nouveau moi JPC, ainsi si je venais à me fantômiser, dernier rempart contre la mondialisation malheureuse, je continuerai d'hurler mes droits d'hauteur de l'au-delà....le premier écrivain économiste vraiment nécronomiste.

     

  • Write-off

     

    « Et si le suicide économique était l’unique voie vers l’immortalité dans un monde où la crainte des dieux a été remplacée par la crainte du Marché? »

    « Il n’y a pas pire destin que celui de l’homme condamné à s’appauvrir sur le lieu même de sa richesse. »

    Quelle était l'énigme ? La perversité forcenée de la Money Power pouvait elle menée à la lumière que rien n'éteint... la consommation durable...???

    JPC

     

     

    Ce à quoi nous assistons, jour après jour, et que nous tentons d'expliquer depuis maintenant 2007, n'est rien moins qu'une période qui restera dans les livres d'histoire sous le nom de Très Grande Dépression.

    Comme nous l'avions annoncé, le sauvetage de la Grèce avec une décote désormais de 70 % de sa dette en préfigure bien d'autres, car il ne s’agit plus désormais que d'éviter l’implosion d'un système où le défaut d'un pays créerait un précèdent, une brèche qui telle un éclair zébrerait le ciel et dans laquelle ne manqueraient pas de s'engouffrer d'autres pays qui doivent maintenant affronter la colère sociale de leurs peuples. C'est la raison pour laquelle, on continue d'opter pour la transfusion à celui qui souffre d’hémorragie interne et n'a aucune chance de trouver sa place dans la mondialisation. Ultime soubresaut, d'une économie globalisée sans l'accord des peuples et désormais confrontée au pire des scénarios à savoir l'effondrement généralisé de la valeur d'échange, autrement dit une dévaluation mondiale de l'argent, ce qui signifierait tout simplement la fin d'un système.

    Nous l'avons déjà écrit, il faudrait que les pays émergés gagnent au minimum 30 % de niveau de vie et que les pays déclinants acceptent de perdre en contre partie aussi 30 % pour que les choses puissent réellement s'équilibrer dans une harmonie sociale.

    La marché forcée vers un nouveau modèle de production n'est donc rien d'autre que la marche forcée vers une inflation souhaitée, seule garantie pour les États de pouvoir un jour rembourser leurs dettes et pour les classes moyennes de continuer à exister àprès s'être endettées au delà de toute raison portées par l'idée d'une croissance sans fin.

    Nous en sommes très loin et d'ici quelques mois, l'inéluctable constat apparaîtra à tous et sans autre reprise que celles des chaussettes, la baisse des charges patronales ne fait qu'annoncer une autre baisse : celles des salaires, unique variable d'ajustement de la compétitivité. On parle alors de flexibilité ou de libéralisation du marché du travail ( fluidité, flexibilité).

    Le crédit facile, l’accès à la propriété ont fait du travail une drogue dure dont le manque et les angoisses que vont provoquer sa raréfaction, ne bénéficieront cette année qu'aux labos pharmaceutiques, ce que vient de confirmer d'ailleurs le laboratoire pharmaceutique suisse Roche qui a fait état mercredi dernier de sa confiance pour l'exercice fiscal en cours.

    Logique, puisque le travail en tant que valeur est sanctifié comme le chemin unique vers le bonheur et l'épanouissement de l'individu. A l'inverse, dans ce contexte, le chômage est la voie la plus sûre vers la dépression.

    D'où l'expression nécronomique : «j'ai croisé le bonheur».

     

    Seuls les nécronomistes survivront car ils ne tomberont pas de haut et sont déjà sortis du bilan (individual write-off).

    En route vers la stagdéflation...

  • Décontamination du consommateur

    Il faut, à mon avis, éduquer le peuple », propose Rosan Mounien, un syndicaliste guadeloupéen de premier plan, aujourd’hui à la retraite. Il poursuit : « On n’interdit pas de consommer, mais on aimerait qu’il y ait plus de réflexion dans l’acte d’achat.
    Le leader du LKP caresse aussi l’idée d’offrir un service après-vente. « Ce n’est pas fini. En effet, après ce premier combat, nous devons mener une autre action pour gagner plus de liberté dans les choix que nous serons amenés à faire. L’argent acquis devra servir à l’épanouissement, à la culture, à l’éducation, à la santé et également à aider la production locale. Cet acquis servira à recommencer à vivre mieux qu’avant. Il ne faut pas que cet argent continue à nourrir une consommation irréfléchie. »
    Source France soir


    Oui, mais voila, autant expliquer à un cancereux du poumon en phase terminale qu'il faut arrêter de fumer...
    www.dailymotion.com/search/confession+/video/x84ro0_confessions-dune-accro-au-shopping_shortfilms

    Après avoir introduit le terme en 1893 dans De la division du travail social, Émile Durkheim, sociologue français du XIXe siècle, emploie en 1897 le mot d'anomie dans son livre sur les causes du suicide, Le Suicide, pour décrire une situation sociale, caractérisée par la perte ou l'effacement des valeurs (morales, religieuses, civiques...) et le sentiment associé d'aliénation et d'irrésolution.
    L'anomie est en fait assez courante quand la société environnante a subi des changements importants dans l'économie, que ce soit en mieux ou en pire, et plus généralement quand il existe un écart important entre les théories idéologiques et les valeurs communément enseignées et la pratique dans la vie quotidienne.


    Source wikipedia

    Avec la TGD viendra le temps de la perte du bonheur dans les démocraties de marché.
    Bref que met on entre la religion et la consommation en période de TGD ?
    D'ou la réponse programmée de la bulle verte et de la consommation durable...promesse d'un monde meilleur qui justifie les sacrifices et plus grosse bulle de tous les temps...
    Le système étant ainsi fait et nous ballotant de bulle en bulle...
    Cela personne ne peut le contester.

    Nécronomiquement votre