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krack immo
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J'aime les decombres
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En attendant le moment (au delà de cette limite votre ticket n'est plus valable)
Jour après jour, l'imminence de la catastrophe se révèle aux yeux du grand public. J'aurai passé dix sept ans de ma vie à tenter de prévenir et à en expliquer les causes. Au moins ceux qui lisent ce blog depuis si longtemps si ils ne sont pas épargnés, auront eu le temps de se préparer.
Ce qui nous vivons pour l'instant n'est pas un soft landing ou un hard landing comme on dit dans les milieux économiques mais plutôt un alunissage à l'image des cosmonautes qui se déplacent au ralenti. Les politiques accommodantes des banquiers centraux dont notre vie dépend y sont pour beaucoup. Cette période touche à sa fin. les banques centrales ont effectivement perdu leur indépendance parce qu’elles n’ont eu d’autre choix que de monétiser des déficits budgétaires massifs pour prévenir une crise de la dette Les dettes publiques et privées ayant grimpé en flèche, ells sont prises au piège de la dette. Alors que l’inflation augmente de manière incontrôlable, les banques centrales sont confrontées à un dilemme. Si elles continuent à éliminer progressivement les politiques non conventionnelles et à relever les taux directeurs pour lutter contre l’inflation, ils risquent de déclencher une crise massive de la dette et une grave récession ; mais s’ils maintiennent une politique monétaire accommodante, Elles risquent une inflation à deux chiffres - et une stagflation profonde lorsque les prochains chocs d’offre négatifs apparaîtront.
De nombreux gouvernements seront semi-insolvables et donc incapables de renflouer les banques, les entreprises et les ménages, La stagflation des années 1970 rencontrera bientôt les crises de la dette de la période post-2008
Les signes sont là. Vous le vivez et l'observez. Tout d'abord, nous assistons à l'implosion du capital fictif. Au préalable, il faut noter que le travail connaît une réduction fondamentale de son importance économique. le capital augmente sans le passage coûteux par la production de biens. De cette façon, cependant, le lien direct entre l’accumulation du capital et le monde des biens et services matériels est rompu ;
Renault vaut 6 milliards et Tesla 1000 milliards
Le capital fictif est en somme une option sur la valeur future. Ce modèle qui était celui du Nasdaq est devenu celui des nations. C'est pourquoi à l'opposé des autres économistes et de tous ceux qui louent encore la valeur travail, c'est à dire droite et gauche confondues, j'analyse l'avenir à la lueur de la domination du travail non consommé et du travail mort. Dans le virtuel où nous sommes on parle en terme de capital fictif.
Sa base n’est pas l’exploitation réelle du travail dans la production de biens, mais l’attente de bénéfices futurs dans l’économie réelle, qui devraient en fin de compte découler de l’exploitation de la main d’œuvre supplémentaire. Mais dans la mesure où cette attente, face au développement des forces productives, ne peut être satisfaite, les droits doivent être constamment renouvelés, et le recours anticipé à la valeur future doit être de plus en plus repoussé dans l’avenir. La conséquence en est que la masse des titres financiers est soumise à une contrainte de croissance exponentiellement accrue. C’est pour cette raison que, depuis des décennies, le capital sous forme de titres financiers dépasse largement la valeur des biens immobiliers produits et vendus. L’opinion publique critique généralement ce « détachement des marchés financiers » comme cause de la crise, mais la réalité est qu’une fois les bases d’évaluation dissoutes, l’accumulation de capital ne peut que se poursuivre de cette façon. Dans le même temps, la main d’œuvre des produits de base perd son importance centrale pour l’accumulation du capital. On l'a vu aux USA avec le phenomène de Grande Résignation, nous le constatons en France. Pourquoi irait on travailler dans un secteur où le travail n'est pas valorisé par un mécanisme fictif qui seul garantit des salaires décents ?
Mais le capital fictif a aussi ses limites car il a besoin en permanence d'être alimenté par de l'argent.La planche à billet à servi à cela et la seule perspective d'une remontée des taux signifiant la fin de l'argent gratuit provoque les dégâts que nous vivons. Le krach des cryptos, le très forte correction du Nasdacq ne font finalement que précéder le krach de tous les marchés actifs actions et immobiliers qui ont été survitaminés.
Pour aggraver les choses, les banques centrales ont effectivement perdu leur indépendance parce qu’elles n’ont eu d’autre choix que de monétiser des déficits budgétaires massifs pour prévenir une crise de la dette. Les dettes publiques et privées ayant grimpé en flèche, elles sont prises au piège de la dette. Alors que l’inflation augmente, les banques centrales seront confrontées à un dilemme. Si elles commencent à éliminer progressivement les politiques non conventionnelles et à relever les taux directeurs pour lutter contre l’inflation, elles risquent de déclencher une crise massive de la dette et une grave récession ; mais si elles maintiennent une politique monétaire accommodante, elles risquent une inflation à deux chiffres - et une stagflation profonde lorsque les prochains chocs d’offre négatifs apparaîtront.
À un moment donné, ce boom culminera dans un moment Minsky (une perte soudaine de confiance), et des politiques monétaires plus strictes déclencheront un effondrement et un krach.
Nécronomiquement votre
Moment Minsky — Wikipédia (wikipedia.org)
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complotisme et économie de bulle de tout...
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Krach Immo Krach boursier - 50 % sur les actifs comme le Japon des années 90, le fameux double dong dont je parle depuis 2007 ?
En tous cas nos amis de Zero Hedge se posent la question
Nous savons tous que Henry Kissinger a déclaré dans une interview, peu de temps après que Barack Obama ait été élu président des États-Unis en 2009, qu'une crise devrait être considérée comme une «grande opportunité» pour mettre en œuvre des changements massifs qui autrement ne seraient pas acceptés dans des conditions normales. conditions sociétales. L'auteur Naomi Klein a également longuement discuté de ce sujet, dans son livre The Shock Doctrine, sur la façon dont les personnes au pouvoir utilisent, et parfois même délibérément, créent des crises afin de créer chez les citoyens des états psychologiques affaiblis et sensibles qui leur permettent de mettre en œuvre des changements dans le monde. la structure du pouvoir en quelques mois, ce qui prendrait autrement des années (au fait, si vous voulez lire The Shock Doctrine, un livre très engageant et informatif, veuillez fréquenter votre librairie locale au lieu de l'acheter sur Amazon). Compte tenu de ces faits historiques connus, les banquiers centraux pourraient-ils utiliser la pandémie de coronavirus de manière opportuniste et machiavélique pour faire du bouc émissaire le coronavirus et ainsi nommé un responsable pour la prochaine crise économique mondiale imminente qu'ils ont provoquée?
Lien permanent Catégories : Crise et Mutation