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  • Padam padam padam contre ces gens là

     

    hhh.jpgLe monde s’était fissuré en deux : d’un côté les nationaux protectionnistes, plus communément les PIMP car ils voulaient maquereauter leurs ressources et leurs économies.

    Les PIMP étaient nostalgiques de l’ancien monde, le c’était mieux avant et ne juraient que par l'Ancien Monde.

    Les PIMP nationaux protectionnistes commençaient toujours leurs discours par « Ces gens-là »

    Par ces gens-là, ils désignaient toutes sortes de gens parmi lesquelles

    - Les migrants

    - Les homosexuels

    - Les fonctionnaires

    - Les chômeurs et les assistés

    - Les musulmans

    Le chef de file des Nationaux protectionnistes était Donald Trump

    Mais beaucoup s’inspiraient de lui, de Salvini à Orban, jusqu’ à plus récemment Bolsonaro

    Leur porte-parole était français et s’appelait Éric Zemmour

     

    En face des nationaux protectionnistes se dressaient les Echangistes Globalistes

    Ils commençaient toujours leurs phrases par « Padam Padam Padamalgam »

    Pour eux les migrants étaient une chance pour le pays d’accueil.

    Ils avaient également toute une hiérarchie qu’ils jugeaient progressiste.

    Ainsi, le maghrébin, c’était bien, mais l’Africain, c’était très bien.

    L’homosexuel, c’était bien mais le transsexuel c’était très bien

    Ils détestaient, les illettrés, les alcooliques, les fumeurs et ceux qui carburaient au Diesel.

    Ils ne juraient que par le Nouveau Monde

    Leur Président était un roi nu nommé Macron, leur porte-parole Benjamin Griveaux

     

    Et au milieu de tout ça, indépendant de tout, existait encore une petite population : les nécronomistes pour qui la chute était l’ultime condition du salut, un peu comme une secte survivaliste ou apocalyptique.

  • Cyborgproducters for Cyborgconsumers (futurologie nécronomique)

     A pièces et Main d'oeuvre pour leur combat

    Essayons d’imaginer l’avenir à la façon d’un voyageur du temps

    Dans un système libéral, la croissance vient de la productivité. Comment faire pour aller chercher dans le futur de la productivité : par la robotisation, par le big data, par l’intelligence artificielle.

    Nous sommes en 2040, c’est donc ce qui s’est passé. Ces technologies étant massivement appuyées par des investissements d’Etats dans les starts up du nouveau monde.

    Petit problème tout de même, toutes ces technos jetaient au chômage quantité de gens qui du coup ne pouvaient plus consommer comme autrefois.

    Bref, la production n’était plus absorbée par le marché. En conséquence décisions fut prise de créer des robots consommateurs qui absorberaient ce que faisaient. les robots producteurs. On appela cette période l’internet des objets.

    Néanmoins, cette solution était peu satisfaisante car si les 1% continuaient de s’enrichir exponentiellement, la délinquance augmentait aussi exponentiellement.

    Mais comment faire ?

    On réunit donc des experts, aux premiers rangs desquels figurait le célèbre Laurent Alexandre alors âgé de 80 ans..

    https://www.frenchweb.fr/laurent-alexandre-nous-aurons-lintelligence-artificielle-que-nous-meritons/3086363650118671.2.png

     

    Un constat terrible fût tiré : la formation des individus ne servait à rien car très peu pouvaient en final rivaliser avec l’IA.

    La conclusion fût donc que sur la base du volontariat et moyennant la promesse d’une vie plus heureuse et plus longue sans maladie, chaque citoyen qui sacrifierait une partie de son organisme pour devenir un cyborg retrouverait emploi et pouvoir d’achat.

    Ce fût la période de l’HA (Human Artificial) et du C TO C

    Cyborgproducters for Cyborgconsumers

  • election au brésil et populisme

    Le phénomène est mondial. Joseph Stiglitz résume la situation simplement : « alors qu’auparavant la finance était un mécanisme permettant d’injecter de l’argent dans les entreprises, aujourd’hui elle fonctionne pour en retirer de l’argent ». C’est l’un des profonds renversements de la politique socio-économique dont est responsable l’assaut néolibéral ; il est également responsable de la forte concentration de la richesse entre les mains d’un petit nombre alors que la majorité stagne, de la diminution des prestations sociales, et de l’affaiblissement de la démocratie, fragilisée par les institutions financières prédatrices. Il y a là les principales sources du ressentiment, de la colère et du mépris à l’égard des institutions gouvernementales qui balayent une grande partie du monde, et souvent appelé – à tort – « populisme ».

     

    Une analyse que je partage

    Article complet

    Noam Chomsky - « J’ai rencontré Lula, le prisonnier politique le plus important au monde ».pdf

     

     

     

    Nécronomiquement votre