Nous le voyons avec l'histoire des retraites, les controverses politiciennes ne sont désormais plus que des variétés d'assaisonnements. Le châtiment proposé est a peu près le même. Les idéologies blanchies à la Money ne proposent plus que des aménagements à la marge de la servitude. Tous se disputent la meilleure manière de promouvoir une valeur travail que le capital ne reconnaît plus pour les métiers ancestraux. Tout ce qui n'est pas lié à la transition écologique, au digital et maintenant à l'armement. Crevard à vie...
Le racisme le plus virulent est celui envers les pauvres. Il est exacerbé par les élites qui angoissent les classes moyennes inférieures qui ont peur de rejoindre les pauvres dans les bas fonds de la société. Il s'agit maintenant de les dresser contre les assistés qui aux yeux de certains ont trouvé l'eldorado du RSA.
Imagine t'on les borgnes vouant aux gémonies les aveugles ? Les unijambistes insultant les cul de jattes ?
La volaille caquette et se prend à rêver qu'elle échappera à la rôtissoire. Le propre des récréations étant de s'achever dans la tristesse, les rêvasseurs seront bientôt invités à regagner un enfer de moins en moins climatisé. La fantômisation demeure la dernière résistance envisageable. Restons à la périphérie...