Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

economie - Page 47

  • Marketing des Maux

     

    « Ça m'a amusé, après avoir vu mon existence dévorée par la violence, d'apprendre que le premier sens latin de ce mot est "force de vie"

    Hubert Selby

     

    Avez vous remarqué les glissements sémantiques qu'opère la société à chaque fois qu'elle est incapable de traiter un problème...???

    Ainsi la réponse à la discrimination des banlieues a été un débaptisage : L'ensemble de la classe politique a désormais remplacé le mot banlieue devenu politiquement incorrect par le mot quartier utilisé a travers les âges pour definir une partie d'une ville.

    Comme si le simple fait de changer le sens des mots permettait de soigner les maux.

    Au commencement était le verbe...

    En route pour la TGD

     

     

     

  • Stagdéflation

     

    Quelle était l'énigme ?

    La perversité forcenée de la Money Power pouvait elle menée à la lumière que rien n'éteint... la consommation durable...???

    Nous fallait tous virer à 360 degré, opération délicate qui nous mettait les fesses en posture d'offrandes l'espace d'un temps qui nous semblait déjà trop long ...

    Allions nous prolonger l'acte d'allégeance de celui qui tombé par orgueil serait relevé par l'amour de la vie des héritiers millésimés à la télé ???

    Leur vie valait déjà beaucoup moins chère avec la chute des recettes publicitaires...(TF1 - 90%)

    (la fête du slip est même terminée pour les footballeurs...qui pour l'occasion vont se rappeler que c'est la grande conso qui paye le tout)

    Stagdéflation...

    Nécronomiquement votre

     

  • NECRONOMY POWER

    Nous l'avions annoncé dés le 24 10 2008 ( Voir note : la Fête du slip est terminée...)

    A Stephan, nécronomiste assidu...pour l'info....

    Pour Alan Greenspan, l'ancien timonier de la Réserve fédérale américaine, les ventes de slips sur le territoire américain sont un indice économique comme un autre, à l'image des ventes de logements, de l'indice ISM manufacturier ou encore des chiffres du chômage. Comme le rappelle un article paru sur le Huffington Post, celui qu'on surnommait le «gourou des marchés» et «Maestro», avant que la crise des subprimes ne vienne entacher sa réputation, s'intéressait tout particulièrement aux données dites «prolétaires» pour prendre le pouls de l'économie. Les ventes de slips en faisaient partie. Il estimait ainsi que l'homme, contrairement à la femme, considérait cet achat secondaire, et qu'il était prêt à faire l'impasse si les conditions économiques se détérioraientOr selon des données de la société de recherche Mintel, les ventes de sous-vêtements pour hommes devraient chuter de 2,3% en 2009, ce qui, si on reste à la logique de Greenspan, n'augurerait rien de bon pour l'économie. «L'indice du slip» serait-il donc l'indicateur économique ultime ? Selon Matt Hall, un porte-parole du fabricant Hanesbrands qui est cité par le Huffington Post, rien n'est moins sur. «Les récessions ont un impact sur toutes les catégories de vêtements et les sous-vêtements des hommes n'échappent pas à la règle» indique-t-il, ajoutant que les hommes «ne portent pas moins de sous-vêtements qu'autrefois». Sauf Greenspan peut-être.

    SONDAGE NECRONOMIQUE DU JOUR :

    Que penser de tout cela ???

    A) Greenspan le paniqueur, l'homme qui a abreuvé le marché de liquidités nous prenait pour des dégénérés ???

    B)Il a raison nous en sommes là, les hommes ne changent de calbut qu'en periode de croissance....

    C) et les femmes la dedans ...??? (coincées entre le string et le tchador, c'est pas évident...)