Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

election - Page 7

  • Galvanisation et cash cash party

    A Dimitris Chrisoula suicidé économique grec

    "Je ne trouve pas d'autre solution pour en finir dignement avant de devoir commencer à faire les poubelles pour me nourrir",

    Quelque soit le résultat des éléctions, la farce est jouée....Passé l'écheance électorale, la masse des plans sociaux bloqués par le gouvernement entrainera le pays dans la même situation que ses voisins d'Europe du sud.

    On va laisser partir les gens en vacances tranquillement pour les assommer à la rentrée où nous nous dirigerons alors allègrement vers un chômage aux alentours de 13 % que l'on ne pourra plus masquer par des emplois aidés ou fictifs ou des formations bidons comme il en était l'usage. Désendettement oblige....

    Doit on s'en étonner puisque dans un délire autiste, la Money Power a décidé qu'elle ne voulait plus ni de travailleurs ni de consommateurs. Par conséquent la marche forcée vers le modèle luthérien ou la production se substitue à la consommation et autres délires d'une compétivité retrouvée grâce au surtravail est déjà morte. Il faudra au moins dix ans pour sortir du marasme ou pour que la fameuse bulle verte puisse décoller. D'ici là, de déserrer l'étau fiscal en haut comme l'a fait notre Président qui souhaite maintenant le résserer an bas sur la cohorte des allocataires divers et variés ne sert à rien. L'italie Berlusconnienne avait autrefois été beaucoup plus loin dans ce modèle allant jusqu'à une mansuétide hors norme pour l'économie parallèle. Rien n'y fera...L'Europe devenu épicentre de la crise contaminera le reste du monde qui ne pourra plus y écouler massivement ses produits.

    Qu'y a t'il de plus sûr que les dettes d'état ? Il ne reste plus qu'a imposer la rigueur partout et ainsi repousser la pauvreté au delà des seuils tolérables. Le chômage croissant faisant monter les taux d'intérêts.L'Espagne vient de le vivre en live mercredi dernier. Nous y sommes tous condamnés.

     Cash cash party = Jackpot...pour la Money Power...Poker, nuits merveilleuses du Loto, l'avenir de l'homme se joue sur Equidia et à la française des vieux pour le commun des mortels.

     Faut il le rappeler, ces dix dernières années, 40 % de la richesse créee de part le monde n'était ni reliée à la production ni à la consommation. Nous allons dépasser les 50 % sans que personne n'y retrouve à dire. Quelle folie...

    L'hiroshima économique que nous vivons plongera notre pays dans la TGD car l'argent ne quitte plus le coffre fort des banques et par conséquent ne sert pas à l'economie réelle, celle ou les gens travaillent réellement. As t'on déjà connu plus de virtualité ?

    Crédit à la consommation, crédits immobiliers,crédits aux entreprises sont en chute libre. Il est vrai par exemple qu'à Paris, on aura laisser des personnes s'endetter sur 20 parfois 30 ans dans une ville ou 4 couples sur 5 divorcent en moins de 5 ans...Il fallait le faire. Les banques seront les plus grands propriétaires dés 2013.

    La stratégie "diviser pour mieux régner" en montant les travailleurs contre les chômeurs et les chômeurs contre les rsistes  promis désormais au joie du travail obligatoire (Où ça et pour qui ? ) n' a également aucune chance d'aboutir si personne (et c'est le cas) n'a le courage d'un affrontement direct avec le capitalisme financier. Il n'y a plus de négociation possible, les citoyens commencent à le sentir confusément. Cette année sera celle du carnage annoncé. Les classes administratives énarchie et avocats du barreau galactique ont toutes échoué. Les politiques ne manqueront pas de s'en renvoyer la responsabilité.

    En route vers la libéralisation du marché du travail, la flexi-insécurité et la stagdéflation qui va avec...Nous sommes prêts...

  • Cash burning et Virtuelle Arlette

    medium_quellemain.3.gif


    Il est désormais établi, que dans les banlieues, théâtre ultime du triomphe des marques et de la mondialisation, l’on préfère voter pour des hommes politiques qui regardent l’avenir dans le rétroviseur d’une Mercédès que pour ceux qui regardent l’avenir dans le rétroviseur d’une Lada.

    Les principes du marketing n’ont laissé à l’homme politique que l’ambition d’être vendu pour être acheté comme n’importe quel produit.
    Les révolutionnaires jouent ainsi selon les règles d’un marché dont les fondements leurs sont totalement étrangers et imcompréhensibles.
    En devant s’acquitter d’une dette de plus d’un millions d’euros, fruit de sa campagne d’affichage nationale d’une semaine en décembre (1milllion deux), qu’aucun marketeur honnête n’aurait pu lui recommander, Arlette vient de rééditer la performance des Start up de la bulle Internet , qui dilapidaient l’argent des fonds d’investissement en publicité 4 par 3 qui fleurissaient sur les murs du pays dans de coûteuses campagnes sans efficacité aucune.
    On parlait alors de « cash burning » (argent cramé)
    Il ne sert à rien de dénoncer les gaspillages et les erreurs de management de telle ou telle entreprise pour les reproduire au sein même de sa propre organisation.

    C’est la preuve définitive que l’on ne peut combattre efficacement un monde que l’on ne comprend pas.
    Les banlieues, où le sens du bizzness, est considéré comme le première des vertus, s’interrogent : « A quoi sert une femme juste si elle se fait siphonner son cash à la moindre négo avec des menteurs professionnels… ?. »
    Arlette, tu es dans le virtuel…et tes idées ne sont pas près de passer le périphérique…