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NECRONOMIE - Page 118

  • NEWS DU FRONT

    Le bouton de la hausse des taux seul moyen de combattre l'inflation fait trembler tout le monde. L'avenir du monde dépend de la FED

    Le planché est fissuré et que la FED siffle prématurément la fin de la récré où tout monde s'est gavé ces deux dernieres années terrorise. La fête du slip est terminée et il va falloir vendre l'austérité sous le nom de sobriété heureuse car il ca falloir rembourser un tout petit peu. Auquel cas sur les Marchés actions,cela veut dire moins 15 % au minimum et apres down by the deep vers les moins 30%

    L'immobilier suivra dans un second temps...

    Lourde est donc la responsabilité....et la pression

    Tous les petits jeunes qui se sont lancés comme autoentrepreneur dans le conseil financier pour faire du trading quotiden vont déchanter.

    "La Fed reste la grosse histoire", a expliqué Ross Mayfield, analyste chez Baird. Les investisseurs ont le sentiment qu'elle "semble plus agressive avec chaque nouveau discours, chaque nouvelle information. Et, logiquement, c'est mauvais pour la tech et les valeurs de croissance".

    Certains analystes évoquent désormais une hausse de 50 points de base du taux de la Fed (0,50 point de pourcentage) dès la réunion de mars, alors que l'institution procède généralement par quart de point (0,25 point de pourcentage)

    Ce matin, j' ai été reveille par Marcel la feignasse qu'on ne vous présente plus et qui venait de décrocher sur un kiosque une Une du journal le point sur la Grande Démission ». Tous ces gens qui ne veulent plus travailler pour faire n'importe quoi après le COVID. Mouvement que l'on appelle la Grande Résignation aux USA.

    « Je vais avoir de nouveaux adhérents...».

    Pour rappel, Marcel est Président de l'inaction française. Mouvement aux conditions assez strictes puisqu'il faut pour adhérer justifier d'au moins 20 ans d'inactivité.

    Je lui ai dit qu'avec la transition énergétique et la fin du moteur thermique 2030 il aurait de nouveaux venus. Car il faut bien le dire la fameuse destruction créatrice Schumpétérienne sera surtout de la destruction. Des centaines de milliers d'emplois et pas uniquement chez les constructeurs automobiles. Et quelqu’un qui fait le même boulot depuis vingt ans, il ne suffit pas de l'envoyer en formation pour qu'il devienne opérationnel le demain.

    Alors la mobilité sociale ? Pas évident pour ceux qui sont proprio d'une maison classée énergiquement F ou G donc inachetable sauf à faire des dizaines de milliers d'euros de travaux ? Leur prime de licenciement ne pourra payer tout ça.

    Au chapitre des bonnes nouvelles, la nécronomie menant à tout, on va sortir du ghetto pour aller s'installer non loin dans un quartier populaire mais moins qu'ici depuis le Mur de la Honte et le déversement des crackers.

    Cerise sur le gateau, d'après mes calculs, nous allons économiser 300 euros par mois loyer et énergie. La hausse de l'énergie étant tendancielle, on ne peut refuser cette opportunité nécronomique.

    Et puis on va être au bord du canal de l'Ourcq, en été cela peut être sympa...

    La grande démission - une réalité en France ? (workelo.eu)













     

  • CONF JPC SUR LE LIVRE

    L'APUC et Réseau Social Laïque organisent le 27 Janvier à 18h30 un débat
    portant sur la souveraineté du peuple (cf. pièce jointe).
     
    Pour plus d'information, merci de cliquer sur ce lien:
     
    Vous pouvez d'ores et déjà vous inscrire par mail à
     
    réseau laique (4).jpg
     

     

    Bellon V.m4v - Google Drive

     

  • RECAP NECRO

    Si nous voulons savoir comment naissent les «variants tueurs», nous devrions demander aux marchés. Les meilleurs virologues opèrent à Wall Street. Ce sont ces commerçants qui, un mois avant l'apparition d'Omicron, savaient déjà que l'émission d'horreur Covid serait à nouveau diffusée, compte tenu du prix des actions dans le soi-disant panier Stay-at-Home. Encore plus flagrant que ses prédécesseurs, Omicron n'a rien de pandémique. En fait, comme l'affirme Geert Vanden Bossche, en travaillant comme un "vaccin vivant atténué", il constitue très probablement une "opportunité unique de commencer à renforcer l'immunité collective" - ​​une opportunité naturelle qui risque d'être frustrée par une énième campagne de vaccination de masse. . Quoi qu'il en soit, le décalage grotesque entre l'impact des variants et les mesures répressives prises en son nom ne peut s'expliquer qu'en termes économiques : Omicron est un autre instrument de levier financier.

    J'entends par là que son rôle immédiat est de contrôler la flambée inflationniste à court terme, puisque les nouvelles campagnes de peur sapent les dépenses et la consommation, empêchant l'énorme masse monétaire injectée dans le secteur financier de circuler en tant que demande réelle dans l'économie. Cela permet aux banques centrales de continuer à poursuivre l'objectif désormais métaphysique de l'impression monétaire à travers leurs bazookas proverbiaux, dont le but est de soutenir les marchés financiers remplis d'actifs toxiques (des MBS aux dérivés complexes), des sociétés zombies et des avoirs monstrueux de dette publique. Autrement dit, les banques centrales inondent le système financier de monnaie numérique afin d'éviter des hausses substantielles des taux d'intérêt. En effet, la simple pensée d'augmenter sérieusement les taux déclencherait diverses bombes à retardement sur ces marchés, où tout tourne autour de la disponibilité de liquidités bon marché.

    Dans des conditions de capitalisme minimalement fonctionnel, l'inflation est combattue précisément en augmentant le coût de l'argent. Mais dans un contexte de fragilité et d'hyper-endettement cela ne peut arriver, car les marchés maintenus dans une perpétuelle effervescence par l'argent facile subiraient des conséquences dévastatrices. Une hausse des taux d'intérêt déclencherait des réactions en chaîne au sein d'un système mondial tiré davantage par la spéculation à effet de levier que par le PIB. D'une part, donc, l'imprimeur d'argent doit rester allumé pour gonfler les marchés financiers ; d'autre part, l'inflation des prix .qui en résulte dans le monde réel doit être « gérée avec soin » pour éviter le chaos social.