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NECRONOMIE - Page 187

  • Lecture d'Eté style être ou avoir été

     Ne travaillez jamais

       Qu'est-ce que le travail ? Pourquoi travaillons-nous ? Depuis des temps immémoriaux, les réponses à ces questions, au sein de la gauche comme de la droite, ont été que le travail est à la fois une nécessité naturelle et, l'exploitation en moins, un bien social. On peut critiquer la manière dont il est géré, comment il est indemnisé et qui en profite le plus, mais jamais le travail lui-même, jamais le travail en tant que tel. Dans ce livre, Hemmens cherche à remettre en cause ces idées reçues. En s’appuyant sur le courant de la critique de la valeur issu de la théorie critique marxienne, l'auteur démontre que le capitalisme et sa crise finale ne peuvent être correctement compris que sous l’angle du caractère historiquement spécifique et socialement destructeur du travail. C'est dans ce contexte qu'il se livre à une analyse critique détaillée de la riche histoire des penseurs français qui, au cours des deux derniers siècles, ont contesté frontalement la forme travail :  du socialiste utopique Charles Fourier (1772-1837), qui a appelé à l'abolition de la séparation entre le travail et le jeu, au gendre rétif de Marx, Paul Lafargue (1842-1911), qui a appelé au droit à la paresse (1880) ; du père du surréalisme, André Breton (1896-1966), qui réclame une « guerre contre le travail », à bien sûr, Guy Debord (1931-1994), auteur du fameux graffiti, « Ne travaillez jamais ».Sans oublier mon ami Marcel la feignasse de l'inaction française du RMI au minimum vieillesse sans jamais avoir travaillé...

    Ce livre sera un point de référence crucial pour les débats contemporains sur le travail et ses origines.

     

    Alastair Hemmens est un auteur, chercheur et traducteur, qui vit à Cardiff, au pays de Galles.

    Ouvrage traduit de l’anglais par Bernard Ferry, Nicolas Gilissen, Françoise Gollain, Richard Hersemeule, William Loveluck, Jeremy Verraes.

    A propos                                                    

    « De nos jours, l'adoration du ‘‘travail’’ semble presque aussi obligatoire que l'adoration de Dieu l'était dans les temps passés. D'autre part, il est également vrai qu'aujourd'hui, la " société du travail " est à court d'emplois et que ce qu'elle peut encore offrir est difficilement tolérable. Dans un tel contexte, la critique du travail est plus importante que jamais. L'excellent livre de Hemmens fournit un compte rendu très instructif et détaillé de la partie française de l'histoire de cette critique, de Fourier aux Situationnistes, et au-delà. Plus important encore, Hemmens ne se limite pas à une simple description de cet aspect peu connu de l'histoire intellectuelle moderne. Il fournit plutôt une analyse novatrice et approfondie des auteurs en question et souligne souvent les limites de leurs critiques respectives. Il le fait sur la base de la ‘‘critique de la valeur’’, une nouvelle lecture des catégories de base de Marx (y compris le travail). Le compte rendu exceptionnel de Hemmens sur cette nouvelle école de pensée fait en soi de ce livre une contribution importante aux débats contemporains sur le déclin du travail. Ne travaillez jamais ! Lisez plutôt ce livre »

    Anselm Jappe, Accademia di Belle Arti di Sassari, Italie

  • La chute du minotaure global

    mail.jpgUn petit coucou du Var où je parcours les cercles républicains laïques pour un reportage en compagnie de mon ami François Missen.

    Bon, les zamis nécronomistes, ne croyez plus du tout les fake news de la TV. Il a très peu de temps, on nous vendait la fantastique économie américaine qui était repartie mais la reprise s'est avérée être une reprise des chaussettes. Les chiffres du chômage sont repartis à la hausse, les destruction de petites entreprises sont massives et les plans sociaux démarrent dans les grosses.

    Plus inquiétant encore, pour les gens avisés qui ne regardent pas le taux de chômage mais le taux d'emploi seul véritable indicateur, on s'aperçoit que 50 % des américains en âge de travailler ne travaillent pas...et parmi ces 50 %, figurez vous que 25 % ont totalement disparus des radars sociaux.

    Que font donc ces incivilisés ? On s'en doute bien...

    en attendant republication d'une de mes notes préférées

    http://necronomie.blogspirit.com/archive/2015/11/09/je-ne-veux-pas-vivre-au-musee-1824280.html

     

  • Lectures d'été

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    Reçu hier de mes amis de Justice et Démocratie cette excellente trilogie, le dernier livre étant préfacé par Paul Jorion que nous connaissons bien

    sans oublier le livre du lanceur d'alerte Maxime Renahy

     

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