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avenir
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Eco vs Necro
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On a rien à Karcher
Voici donc venue l'économie de guerre sans guerre. Après l'épisode COVID, La guerre en Ukraine a été la planche de salut du capitalisme qui ne veut ou ne peut pas renoncer à la morphine financière
Comme je le dis souvent
regle nécronomique
Taux négatifs pour l'apéritif
Déclaration de guerre pour le déssert
Sauf que cette fois, c'est encore plus fort puisque c'est la guerre sans guerre et que cette économie de guerre ne peut plus être financée que par des flux de monnaie sans substance issus de la planche à billets car dans ce cas, il n'est pas aisé de vendre l'anticipation d'une survaleur future aux Marchés Internationaux. En période de crise même les billets font la planche.
En fin de compte, l'économie de guerre sans guerre va servir à diriger la transition écologique financée par les pauvres qui n'ont qu'a changer leurs habitudes de consommation en stoppant d'accumuler des gadgets chinois et de bouffer de la junk food qui les rend obèse. Frugal attitude, sobriété heureuse, ramasser dans les poubelles est un modèle de comportement éco-responsable et éco-citoyen. Et un parfait exemple de soldat économique de la guerre sans guerre nouvelle forme de partouze sans sexe.
Je vous l'ai toujours dit et je l'écrivais dans Crise et Mutation : une mutation ne se fait que contraint et forcé.
Aux USA, ils semblent décidés à combattre l'inflation quitte a entrer en récession et à augmenter le chômage ce qui fera baisser l'inflation (et les salaires). Dans la mentalité, il vaut mieux sacrifier des emplois que laisser les classes moyennes et les classes populaires encore en piste se faire siphonner par l inflation.
En Europe
L'inflation va être stoppée par la récession mais les prix resteront haut car la hausse de l'énergie est tendancielle.
Dépense massive dans l'armement, cela sera considérée comme un investissement dans une future guerre sans guerre et puis on va s 'acheminer vers les 125 % de dette sur PIB dans uns contexte stagflationiste et puis paaaf le Grand Splaash car à ce stade nous nous rapprocherons de la japanisation : le fameux châtiment des neuf orifices et comme vous savez on en sort pas....
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Et la suite ?
L’inflation fait maintenant la une des journaux du monde entier, et pour cause. Les prix de plus en plus de biens et de services augmentent d’une manière jamais vue depuis des décennies. Ce pic inflationniste, accompagné de pénuries d’approvisionnement réelles et redoutées, alimente l’anxiété des consommateurs et des producteurs. En menaçant également d’aggraver les inégalités et de faire dérailler une reprise économique soutenue et inclusive indispensable à la pandémie de COVID-19, cela devient également un problème politique brûlant.
Premier scénario
L' inflation est temporaire et du au goulot d'etranglement d'approvisonnement. La croissance va s'accélerer et l inflation baisser.Dans les actions, il y aurait une rotation des États-Unis vers les marchés étrangers (Europe, Japon et marchés émergents) et des valeurs de croissance, technologiques et défensives et vers les valeurs cycliques.
C'est le scenario de Wall street, des banquiers centraux donc des gouvernements
le scénario panglossien (d'un optime forcené)
Deuxieme scénario
implique une «surchauffe». Ici, la croissance s'accélérerait à mesure que les goulets d'étranglement de l'offre seraient levés, mais l'inflation resterait obstinément plus élevée, car ses causes ne seraient pas temporaires. L'épargne non dépensée et la demande refoulée étant déjà élevées, la poursuite de politiques monétaires et budgétaires ultra accommodantes stimulerait encore plus la demande globale. La croissance qui en résulterait serait associée à une inflation persistante au-dessus de l'objectif, réfutant la croyance des banques centrales selon laquelle les hausses de prix ne sont que temporaires. Dans ce cas, une correction des marchés financiers seraient à attendre
Troisieme scénariole scénario nécronomique
Un troisième scénario est la stagflation continue, avec une inflation élevée et une croissance beaucoup plus lente à moyen terme. Dans ce cas, l'inflation continuerait d'être alimentée par des politiques monétaires, de crédit et budgétaires accommodantes. Les banques centrales, prises au piège de la dette par des ratios d'endettement publics et privés élevés, auraient du mal à normaliser les taux sans déclencher un krach des marchés financiers.
Quatrième scénario
Le dernier scénario serait celui d'un ralentissement de la croissance. L'affaiblissement de la demande globale s'avérerait non seulement une peur transitoire, mais un signe avant-coureur de la nouvelle normalité, en particulier si les mesures de relance monétaire et budgétaire sont retirées trop tôt. Dans ce cas, une demande globale plus faible et une croissance plus lente entraîneraient une baisse de l'inflation, les actions se corrigeraient pour refléter les perspectives de croissance plus faibles
Mais à moyen terme, alors que divers chocs d'offre négatifs persistants frappent l'économie mondiale, nous pourrions nous retrouver avec une stagflation ou une surchauffe bien pire qu'une légère stagflation : une stagflation totale avec une croissance beaucoup plus faible et une inflation plus élevée. Les banques centrales à s'adapterait à l'inflation, plutôt que de la combattre et de risquer un krach économique et boursier