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esclave de la dette

  • Quand le momentané devient définitif

     

     

     

    crsh?interba?caire?bie et mort du capitalisme?federal reserve,futur,crise banques etassurances,rebellionLes achats d'actifs de la Réserve fédérale totaliseront probablement 315 milliards de dollars au cours des six prochains mois, alors qu'elle cherche à stabiliser les marchés du financement à un jour et à contenir les mouvements de son taux d'intérêt cible, selon les projections de Morgan Stanley.
    Ces mouvements permanents seront nécessaires parce que les achats temporaires actuels ne seront probablement pas suffisants pour stabiliser le marché des contrats d'achat à un jour, ou de repos d'après Morgan Stanley. Il y a tout juste un mois, la Fed a mis fin à un processus qui a entraîné une réduction de plus de 600 milliards de dollars du bilan, qui se compose principalement de bons du Trésor et de titres adossés à des créances hypothécaires qu'elle avait acquis dans le but de sortir l'économie américaine de la crise financière
    Nous maintenons que ces opérations de pension temporaire ne s'avéreront pas une solution suffisante à long terme à la récente pression de financement », a déclaré Kelcie Gerson, stratège de Morgan Stanley, dans une note. « En fin de compte, la Fed devra augmenter définitivement la taille de son bilan. »

    En clair pas de repos sur le Marché du REPO ouvert été comme hiver

    Il est à noter que nous avons assisté au resserrement monétaire le plus court de l’histoire et que tous ceux que je ne citerai pas qui écrivait que les USA cherchaient à draîner l’épargne du monde avec des taux d’intérât durable supérieur à ceux que pratiquaient la BCE avaient torts. La vérité, c’est que plus personne ne sait sortir de ces histoires planches à billet. L’effondrement est là, on ne sait juste que retarder son échéance et comme je le dis souvent faire une transfusion à quelqu'un qui souffre d'hémorragie interne sans colmater la fuite qui par conséquent devient une fuite en avant.

  • Une dette crée de toute pièce pour vous enchaîner

    A Vince

    Sauvez la planète, suicidez vous

    Appelez la hot line de Nécronomie

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    En 1979, sous l’impulsion de Volker
    (Président de la Federal Reserve de l’époque) les taux nominaux (les intérêts à payer
    pour rembourser la dette) ont plus que doublé, passant de 9 % à 20 %,
    alors que sur la période précédente ils avaient été en moyenne négatifs.
    Ces taux élevés ont créé de toutes pièces des endettements cumulatifs des États (dette publique) ou pays (dette extérieure). Les classes aisées construisent ainsi un dispositif de polarisation extrême entre créanciers et débiteurs, aux proportions gigantesques, qui est tout à l'avantage des créanciers.

    A l'époque L’impossibilité de moyenner la dette sociale (c’est-à-dire la dette del’État-providence) par les mécanismes monétaires (recours du Trésor à la Banque centrale), oblige au développement des marchés financiers,développement qui est encore une fois organisé, sollicité et imposé, pas à pas, par l’État – en France, l’essentiel s’est fait sous les gouvernements socialistes.

    C'est donc à travers la gestion des dettes d'Etats crées par le coup de 79 que les marchés financiers se sont structurés et organisés. Les États ne se sont pas limités à libéraliser les marchés financiers, mais ils ont accompagné l’organisation et la structuration de leur fonctionnement.
    Ils ont donc élargi (en diversifiant la gamme des titres émis sur les marchés primaires) et approfondi (en augmentant les volumes de transaction sur le marché secondaire) les marchés de titres publics attractifs pour les épargnants. La courbe de taux d’intérêt pour ces titres est devenue la référence pour la formation de prix des actifs,
    en lieu et place de taux de base bancaires; A partir de là,
    Les politiques monétaires, ), les politiques de l’État-providence (réduction de dépenses
    sociales) et les politiques fiscales (transferts vers les entreprises et les couches les plus riches de la population de plusieurs points de PIB dans tous les pays industrialisés), convergent vers la création d’énormes dettes publiques et privées. Pour mémoire les dettes privées dans la zone euro sont bien plus élévées 135% que la dette publique qui est de 100%
    La dette agit à la fois comme machine de capture, de « prédation » ou de « ponction » sur la société dans son ensemble, comme un instrument de prescription et de gestion macro-économique, et comme un dispositif de redistribution des revenus. El elle fonctionne également en
    tant que dispositif de production et de « gouvernement » des subjectivités collectives et individuelles. Pour rendre compte des nouvelles fonctions de la finance, la théorie économique hétérodoxe d’André Orléan parle de « pouvoir créancier » et de « puissance créancière » dont
    la force « se mesure à cette capacité de transformer l’argent en dette et la dette en propriété et, ce faisant, à influer directement sur les rapports sociaux qui structurent nos sociétés ». La pensée d’Orléan définit la
    relation créancier-débiteur comme le pivot autour duquel se fait la transformation de la « gouvernance » (mot de la novlangue du pouvoir qui signifie commandement) capitaliste : « On est passé de la régulation
    fordiste qui privilégiait le pôle industriel et débiteur à une régulation financière qui met en avant le pôle financier et créancier. »
    Ainsi mais là je parle d’un point de vue sociologique, La relation créancier-débiteur se superpose aux relations capital-travail, État-providence-usager, entre-
    prise-consommateur et les traverse en instituant les usagers, les travailleurs et les consommateurs en « débiteurs .
    Voilà pour le démarrage de l'histoire de laquelle nous sommes devenus des esclaves.