Par conséquent la pauvreté allant devenir sport international, que les banques qui ne veulent plus prêter se rassurent : Bientôt, elles ne prêteront plus ou peu a cause de l’augmentation des risques de défaut et leurs revenus baisseront sur leur activité première, celle qui contribue à l économie réelle où nous vivons et cela posera tout simplement la question de leur réelle utilité.
Cela les investisseurs l’ont compris…Ils ont compris également que nous étions à l’aube- gravité de la crise oblige- de réformes fiscales, pays par pays, sans précédent car les privatisations ne se font pas sans licenciement (voir PIB de la mauvaise Grèce où l’on découvre avec stupéfaction que les fonctionnaires consommaient plus que les chômeurs...)
Nécronomiquement votre