Il y avait une autre solution : Push the bottom. C'était la solution finale et qui accélérait la trajectoire vers le modelè japonais de la planche à billet permanente.
Donc provoquer par des vraies hausse des taux de style 3% un choc déflationniste qui met à terre les Marchés actions et immobilieren pulvérisant les capitaux financiers et immobiliers. L'inflation aurait été terrassée. Evidemment, il y aurait eu plusieurs soucis . La destruction déflationniste du capital par l’effondrement de la dette et des marchés boursiers anéantirait notre devise comme la démonstration de Lizzy la dingue aux UK vient de le prouver, mais aussi les moyens de subsistance. Cela aurait provoqué aussi des pertes d'emplois massives, des fermetures d'entreprises et des émeutes et des pillages ;
Mais ne désespérons pas avec Christine Hagarde aux commandes on ne sait jamais mais le courage n'est pas son fort. Elle a été une athlète de haut niveau en natation synchronisé pas en plongeon. l’avenir semble donc offrir un choix de stagflation structurelle (économie stagnante avec une inflation élevée en attendant le retour de la planche et de l'endettement que l'on nous vendra comme un soutien européen à la guerre sans guerre.
En période de crise, les billets font la planche pour l'upper class pas pour les pauvres...et quand au consommateur zombie, comme chacun sait, il n'a pas de cortex et il est dominé comme chez les vertébrés inférieurs par l'activité du diencéphale. Il faut juste lui donner l'impression que le centre commercial se bat pour lui comme le fait Leclerc ou Lemaire du village global. Il continuera à s’agglutiner comme dans les meilleurs films de Romero dans le cadre de le LIDLisation de l'Europe...