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taux

  • Hagarde à vue

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    Vous le savez dans les Démocraties de Marché, il n'y en à qu'un qui décide, c'est Powell le patron de la FED.

    Raison pour laquelle on a mis Hagarde à la BCE puisqu'elle est experte en natation synchronisée avec la FED.

    Avec 37 pour cent, le nombre d'entreprises américaines au bord de l'insolvabilité est le plus élevé depuis 50 ans.

    Cette analyse de la Fed conclut donc que les mesures de politique monétaire prises actuellement suffisent à elles seules à provoquer la plus grande récession depuis les années 1970.

    Bref, on a pas l'impression que cela soit un atterrissage en douceur (soft landing) mais plutôt en atterrissage en douleur (hard landing). On est pas vraiment dans la recession contrôlée destinée à faire baisser l'inflation.

    Y a plus que Lemaire du village global qui reste optimiste...

    The Fed - Distressed Firms and the Large Effects of Monetary Policy Tightenings (federalreserve.gov)

  • Hagarde à vue

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    konsum.pngOIP.jpgIl y avait une autre solution : Push the bottom. C'était la solution finale et qui accélérait la trajectoire vers le modelè japonais de la planche à billet permanente.

    Donc provoquer par des vraies hausse des taux de style 3% un choc déflationniste qui met à terre les Marchés actions et immobilieren pulvérisant les capitaux financiers et immobiliers. L'inflation aurait été terrassée. Evidemment, il y aurait eu plusieurs soucis . La destruction déflationniste du capital par l’effondrement de la dette et des marchés boursiers anéantirait notre devise comme la démonstration de Lizzy la dingue aux UK vient de le prouver, mais aussi les moyens de subsistance. Cela aurait provoqué aussi des pertes d'emplois massives, des fermetures d'entreprises et des émeutes et des pillages ;

    Mais ne désespérons pas avec Christine Hagarde aux commandes on ne sait jamais mais le courage n'est pas son fort. Elle a été une athlète de haut niveau en natation synchronisé pas en plongeon. l’avenir semble donc offrir un choix de stagflation structurelle (économie stagnante avec une inflation élevée en attendant le retour de la planche et de l'endettement que l'on nous vendra comme un soutien européen à la guerre sans guerre.

    En période de crise, les billets font la planche pour l'upper class pas pour les pauvres...et quand au consommateur zombie, comme chacun sait, il n'a pas de cortex et il est dominé comme chez les vertébrés inférieurs par l'activité du diencéphale. Il faut juste lui donner l'impression que le centre commercial se bat pour lui comme le fait Leclerc ou Lemaire du village global. Il continuera à s’agglutiner comme dans les meilleurs films de Romero dans le cadre de le LIDLisation de l'Europe...

    Seuls les nécronomistes survivront en 2023...531061842.jpg

  • NIOUZES DU FRONT

     

    La Bundesbank a envoyé deux torpilles à la BCE en vue des prochains conseils. Si en effet les prix à la consommation (IPC) en août ont marqué un + 7,9% sur une base mensuelle contre des attentes de + 2,4%, voici que ceux à la production (IPP) ont même augmenté de 45,8% sur une base annuelle contre les attentes d’un + 36,8%, le chiffre le plus élevé depuis 1949.

    La Bundesbank affirme qu’il y a de plus en plus de signes de récession en Allemagne.

    Les signes d’une récession dans la plus grande  économie d’Europe deviennent de plus en plus évidents après une détérioration significative des conditions de l’offre, a déclaré la Bundesbank.

    Les livraisons d’énergie étranglées, en particulier en conséquence directe de la guerre de la Russie en Ukraine, entraînent une flambée des prix et une incertitude croissante en Allemagne, affectant à la fois les entreprises et les ménages, a déclaré lundi la banque centrale dans un rapport mensuel.