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Le Grand Foutoir sprochainement sur vos écrans

https://www.youtube.com/live/_NuhNyMdgn8

Commentaires

  • Heureux de voir le grand foutoir qui porte bien son nom !
    Je ne manquerais ça pour rien au monde, quel plaisir de te voir et débattre sur l actualité mouvementé !!!
    Cool
    La bise.

  • Faux filet

    Cueilleurs d'aubes sous un pont terminal et poisseux
    Piétinant sur la grève la foire aux alevins
    Nous blâmions d'autres sphères, amicales trahisons
    Surtout point en nous-mêmes de n'être point heureux

    Des excuses nous avions, qu'ailleurs
    Leurs soleils, leur destin et leurs rêves
    Ils n'ont, ni remparts, ni offrandes
    Encore moins rémissions

    La sentence, la douleur
    Qui grouillait en nos seins
    Ne venait de nous-mêmes
    Et penchait sur les ondes
    Son immense reflet
    Qu'illusions et blasphèmes
    Teintaient d'un diable abscon

    Pauvres rétheurs, la faute
    Est à lerus vieux salons
    Nos sofas, nos ennuis
    Emanaient du sommeil
    Et des brûmes d'autrui

    Nous les clairs, mais les forts
    Les athlètes de minuit
    Vainqueurs en caleçon
    D'en nos chambres sans bruit
    Pêcheurs de paccotille
    A la prise bien maigre
    C'est la faute à ceux-là
    Qui demeuraient nos maîtres

  • Selon les goûts...

    On les entend sur des visages
    Soit innocents, soit un peu glabres
    Les saints les portent au firmament
    Certains sont fins et assez courts
    D'autres allongés et distingués
    On les emploie en société
    Uniquement si tolérés
    Voussoiement approprié
    Les Raves étranges, les Indes aussi
    Et puis l'Afrique communément
    Les idées changent et eux de même
    Des décennies font leur bonheur
    Ou le contraire évidemment
    Les italiens allongent les leurs
    Avec des dunes, des peaux, du vent
    Contrairement à ces saxons
    Moins à la mode ces derniers temps
    On en invente assez souvent
    Soit pour les hommes, soit pour les bêtes
    Et ces dernières peuvent se permettre
    D'être Zéphir, Quinto, Match(k)a
    Ce sont leurs yeux que l'on appelle
    Ils pourraient bien n'exister pas
    Mais que seraient donc les porteurs
    Sans un appel, une douce claque
    Intonation, commande, plainte
    Entre amoureux et chers collègues
    Et paysans ou bons voisins
    Bien sûr depuis que l'homme existe
    Qu'il met un nom sur toutes choses
    Ils en faut bien des plus racés
    aux plus courants, plus enfantins
    Aux haut gradés avec tiret
    A ceux qui sentent la lavande
    On les appose un peu partout
    Ils sont discrets, peu pathétiques
    Ou sont uniques et renfermés
    Alors ils crient comme des bébés
    On a creusé pour celui-là, on a menti en cet endroit
    Affublés certes d'un adjectif
    Ça les grandit, les met en joue
    Sélectionnés et personnels
    Sur votre liste non pareils
    Ils se déclinent absolument
    D'un bout à l'autre du vivant
    Un, deux ou plus en s'affirmant
    Selon qu'on naît aux Amériques
    Selon l'Asie et rhétoriques
    Ils signifient celui qui vient
    Qui aime les ondes ou la forêt
    Ceux qui protègent ou celles qui donnent
    Pas un séjour sans en voir un
    Point de mystère qui ait le sien
    On les échangent si trop lourdauds
    Les enfarinent sous la peau
    Chacun le sien, diminutif
    Très exposé ou bien serein
    Il en faut deux pour qu'ils s'unissent
    Et plus encore pour un liste
    Excellemment ils sont utiles
    Mais beaux de même comme un jardin
    Soit bien léché, soit brousse un brin
    Nous en avons d'ailleurs tous un
    Avec voyelles, évocation
    Tout simplement flottant dans l'âme
    Il y en a tant, de ces prénoms

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