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Heureux de voir le grand foutoir qui porte bien son nom !
Je ne manquerais ça pour rien au monde, quel plaisir de te voir et débattre sur l actualité mouvementé !!!
Cool
La bise.
Faux filet
Cueilleurs d'aubes sous un pont terminal et poisseux
Piétinant sur la grève la foire aux alevins
Nous blâmions d'autres sphères, amicales trahisons
Surtout point en nous-mêmes de n'être point heureux
Des excuses nous avions, qu'ailleurs
Leurs soleils, leur destin et leurs rêves
Ils n'ont, ni remparts, ni offrandes
Encore moins rémissions
La sentence, la douleur
Qui grouillait en nos seins
Ne venait de nous-mêmes
Et penchait sur les ondes
Son immense reflet
Qu'illusions et blasphèmes
Teintaient d'un diable abscon
Pauvres rétheurs, la faute
Est à lerus vieux salons
Nos sofas, nos ennuis
Emanaient du sommeil
Et des brûmes d'autrui
Nous les clairs, mais les forts
Les athlètes de minuit
Vainqueurs en caleçon
D'en nos chambres sans bruit
Pêcheurs de paccotille
A la prise bien maigre
C'est la faute à ceux-là
Qui demeuraient nos maîtres
Selon les goûts...
On les entend sur des visages
Soit innocents, soit un peu glabres
Les saints les portent au firmament
Certains sont fins et assez courts
D'autres allongés et distingués
On les emploie en société
Uniquement si tolérés
Voussoiement approprié
Les Raves étranges, les Indes aussi
Et puis l'Afrique communément
Les idées changent et eux de même
Des décennies font leur bonheur
Ou le contraire évidemment
Les italiens allongent les leurs
Avec des dunes, des peaux, du vent
Contrairement à ces saxons
Moins à la mode ces derniers temps
On en invente assez souvent
Soit pour les hommes, soit pour les bêtes
Et ces dernières peuvent se permettre
D'être Zéphir, Quinto, Match(k)a
Ce sont leurs yeux que l'on appelle
Ils pourraient bien n'exister pas
Mais que seraient donc les porteurs
Sans un appel, une douce claque
Intonation, commande, plainte
Entre amoureux et chers collègues
Et paysans ou bons voisins
Bien sûr depuis que l'homme existe
Qu'il met un nom sur toutes choses
Ils en faut bien des plus racés
aux plus courants, plus enfantins
Aux haut gradés avec tiret
A ceux qui sentent la lavande
On les appose un peu partout
Ils sont discrets, peu pathétiques
Ou sont uniques et renfermés
Alors ils crient comme des bébés
On a creusé pour celui-là, on a menti en cet endroit
Affublés certes d'un adjectif
Ça les grandit, les met en joue
Sélectionnés et personnels
Sur votre liste non pareils
Ils se déclinent absolument
D'un bout à l'autre du vivant
Un, deux ou plus en s'affirmant
Selon qu'on naît aux Amériques
Selon l'Asie et rhétoriques
Ils signifient celui qui vient
Qui aime les ondes ou la forêt
Ceux qui protègent ou celles qui donnent
Pas un séjour sans en voir un
Point de mystère qui ait le sien
On les échangent si trop lourdauds
Les enfarinent sous la peau
Chacun le sien, diminutif
Très exposé ou bien serein
Il en faut deux pour qu'ils s'unissent
Et plus encore pour un liste
Excellemment ils sont utiles
Mais beaux de même comme un jardin
Soit bien léché, soit brousse un brin
Nous en avons d'ailleurs tous un
Avec voyelles, évocation
Tout simplement flottant dans l'âme
Il y en a tant, de ces prénoms
Commentaires
Heureux de voir le grand foutoir qui porte bien son nom !
Je ne manquerais ça pour rien au monde, quel plaisir de te voir et débattre sur l actualité mouvementé !!!
Cool
La bise.
Faux filet
Cueilleurs d'aubes sous un pont terminal et poisseux
Piétinant sur la grève la foire aux alevins
Nous blâmions d'autres sphères, amicales trahisons
Surtout point en nous-mêmes de n'être point heureux
Des excuses nous avions, qu'ailleurs
Leurs soleils, leur destin et leurs rêves
Ils n'ont, ni remparts, ni offrandes
Encore moins rémissions
La sentence, la douleur
Qui grouillait en nos seins
Ne venait de nous-mêmes
Et penchait sur les ondes
Son immense reflet
Qu'illusions et blasphèmes
Teintaient d'un diable abscon
Pauvres rétheurs, la faute
Est à lerus vieux salons
Nos sofas, nos ennuis
Emanaient du sommeil
Et des brûmes d'autrui
Nous les clairs, mais les forts
Les athlètes de minuit
Vainqueurs en caleçon
D'en nos chambres sans bruit
Pêcheurs de paccotille
A la prise bien maigre
C'est la faute à ceux-là
Qui demeuraient nos maîtres
Selon les goûts...
On les entend sur des visages
Soit innocents, soit un peu glabres
Les saints les portent au firmament
Certains sont fins et assez courts
D'autres allongés et distingués
On les emploie en société
Uniquement si tolérés
Voussoiement approprié
Les Raves étranges, les Indes aussi
Et puis l'Afrique communément
Les idées changent et eux de même
Des décennies font leur bonheur
Ou le contraire évidemment
Les italiens allongent les leurs
Avec des dunes, des peaux, du vent
Contrairement à ces saxons
Moins à la mode ces derniers temps
On en invente assez souvent
Soit pour les hommes, soit pour les bêtes
Et ces dernières peuvent se permettre
D'être Zéphir, Quinto, Match(k)a
Ce sont leurs yeux que l'on appelle
Ils pourraient bien n'exister pas
Mais que seraient donc les porteurs
Sans un appel, une douce claque
Intonation, commande, plainte
Entre amoureux et chers collègues
Et paysans ou bons voisins
Bien sûr depuis que l'homme existe
Qu'il met un nom sur toutes choses
Ils en faut bien des plus racés
aux plus courants, plus enfantins
Aux haut gradés avec tiret
A ceux qui sentent la lavande
On les appose un peu partout
Ils sont discrets, peu pathétiques
Ou sont uniques et renfermés
Alors ils crient comme des bébés
On a creusé pour celui-là, on a menti en cet endroit
Affublés certes d'un adjectif
Ça les grandit, les met en joue
Sélectionnés et personnels
Sur votre liste non pareils
Ils se déclinent absolument
D'un bout à l'autre du vivant
Un, deux ou plus en s'affirmant
Selon qu'on naît aux Amériques
Selon l'Asie et rhétoriques
Ils signifient celui qui vient
Qui aime les ondes ou la forêt
Ceux qui protègent ou celles qui donnent
Pas un séjour sans en voir un
Point de mystère qui ait le sien
On les échangent si trop lourdauds
Les enfarinent sous la peau
Chacun le sien, diminutif
Très exposé ou bien serein
Il en faut deux pour qu'ils s'unissent
Et plus encore pour un liste
Excellemment ils sont utiles
Mais beaux de même comme un jardin
Soit bien léché, soit brousse un brin
Nous en avons d'ailleurs tous un
Avec voyelles, évocation
Tout simplement flottant dans l'âme
Il y en a tant, de ces prénoms