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populisme

  • Voyage dans le post-libéralisme transcendantal

    post populisme,post leberalisme,populisme,catholiscisme,chretien,liberalismeDans la précarité généralisée, la compétition marchande est devenue la seule relation possible. On s'accroche à la nation pour résister au processus de déterritorialisation. Certains parlent de post-populisme ou de post-libéralisme. Une frange de républicains américains, pays où le catholicisme est en hausse observerait à la loupe ce que fait Orban en Hongrie.

    Leur idée est de revenir sur la séparation État/Église dans la constitution. Pour eux le libéralisme est allé trop loin.

    D’où l'idée de Marion Maréchal d'interdire la pub pour les produits hallal. Une forme d'administration chrétienne du libéralisme pour notre bien commun culturel et identitaire et notre consommation et éviter la charia du Marché et la Mollahrisation du capital.

     

    Vous imaginez une vie gouvernée par des algos cathos ???

    C pas mieux que les fachos fâchés...

    Comme dit la Money Power :Un conservateur c'est un libéral qui s'est fait agresser

     

    Adrian Vermeule: «Le bien commun est le plus grand bien des individus» | ENTREVUE (le-verbe.com)

     

  • Les scénarios possibles

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    1- Youpi c’est reparti

    Le scénario rêvé par les gouvernements, les médias, BFM Business et les Néo-libéraux : Tout va aller très bien Madame la Marquise, dormez tranquille braves gens, les mesures prises sont suffisantes, il n’y aura pas de déflation, le chômage revient à ses plus bas historiques. Le virus disparaît et les chaînes d’approvisionnement se rétablissent comme avant. La guerre commerciale entre les USA et la Chine disparait comme le virus

    2- Une glorieuse stagflation pendant longtemps.
    Pénurie dans certains secteurs, prix de détails qui montent dans l’alimentaire et pour certains produits fabriqués par des entreprises qui ont relocalisé leur production. inflation des produits vendus par des entreprises qui perdent de la productivité.Le chômage demeure élevé

    3- le scénario nécronomiste : l’endettement public et privé et l’incapacité de maintenir des budgets équilibrés ou de rembourser pour les entreprises et les ménages transforme la récession mondiale en dépression mondiale. L’économie rentre dans un processus de déflation par la dette. Ayant peur d’euthanasier les rentiers avec des taux fortement négatifs, les banquiers centraux arrêtent les taux négatifs et entreprennent une politique de normalisation monétaire. Les gouvernements repartent dans l’austérité comme avant la crise. C’est la cata….le chômage reste à 20% pendant plusieurs années.

    NDLR :

    Question : Pourquoi banquiers centraux auraient-ils peur d’euthanasier les rentiers ?
    Réponse : Parce qu’à terme cela représente la mort du capitalisme comme Keynes l’expliquait ;

    On euthanasie les rentiers en éliminant le rapport de force favorable au prêteur en cessant de le récompenser, car «… s’il existe parfois des raisons intrinsèques à la rareté de la terre, il n’y a aucune raison intrinsèque à la rareté du capital », ajoutait Keynes.
    La mort du capitalisme serait donc rendue inéluctable par des taux d’intérêt très bas, ne comprenant plus que « le coût de l’usure et de l’obsolescence, et une marge modeste couvrant le risque et rémunérant l’exercice du talent et du bon jugement », expliquait-il encore.
    Les Allemands gueulent à cause de ça…et la cour de Karlsruhe vient de le rappeler.

    En conclusion chers amis nécronomistes, dans tous les cas de figure hors scénario Youpi, on est mal ou très mal…

  • L' impossible réforme des retraites

     

     

     

    Les-origines-du-populisme.jpgQuand Daniel Cohen le Directeur du département économie à l'école normale supérieure dit qu'il n'a pas les moyens intellectuel pour comprendre la réforme, des retraites telle qu'elle est proposée, il y a de quoi s'inquiéter.

    Il donne d'ailleurs un excellent exemple lié à la diminution des fonctionnaires :

     

    " imaginez que demain, l'Etat supprime tous les fonctionnaires pour faire des économies, il s'apercevrait alors qu'il y a bcp moins de cotisations et qu'en conséquence, il faudrait soi diminuer les retraites soi augmenter les cotisations."

     

    Conclusion, la politique qui est menée n'est pas compatible avec la réforme des retraites, c'est aussi simple que cela.