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recession - Page 17

  • La déflation par la dette

    krugma,déflation,déflation par la dette,sisher,récession,dépression,très grande dépression,futur,chômage,crise;covid,coronavirusVous le savez chers amis, depuis 2007, j'ai toujours pensé que ce que nous vivons se transformera en une "Japanification" suivie d'une trappe à liquidités, d'une déflation et pour finit d'une déflation par la dette dont nous ne sortirons jamais car personne n'en est jamais sorti. Paul Krugman le sait bien. Richard Keene qui a vu aussi venir la crise de 2008 aussi.

    Aujourd'hui, plusieurs autres nécronomistes partagent cette analyse, Ainsi le professeur Rodrigue Tremblay.

    Analyse :

    Un objectif de première importance : Empêcher qu’une déflation structurelle durable n’apparaisse
    Parmi les responsabilités de première ligne des banques centrales et des gouvernements, en cette période de crise virale et économique, est de prendre les mesures nécessaires pour empêcher qu’une dangereuse déflation structurelle ne s’installe à demeure.
    Une déflation structurelle ou maligne est causée par une demande insuffisante dans un environnement de surcapacité de production. Elle peut être la conséquence d’un vieillissement de la population. Il en résulte alors une pression durable à la baisse sur les prix et les salaires. Une telle situation économique se produit lorsque plusieurs secteurs (ex. marchés financiers, agriculture, énergie, mines, etc.) subissent une baisse des prix, quand une demande stagnante oblige les producteurs à abaisser leurs prix pour écouler leurs surplus de stocks d’inventaire.
    Il en résulte une baisse dans les bénéfices et un déclin dans la demande de main-d’œuvre. À son tour, la hausse du taux de chômage fait chuter les salaires, et c’est alors qu’une dangereuse spirale de baisse des prix et des salaires peut se mettre en marche.
    En effet, lorsqu’une économie se trouve confrontée à une baisse des prix des titres financiers, à des fermetures d’entreprises et à un chômage massif, les banques, les entreprises et les consommateurs les plus endettés subissent alors de lourdes pertes financières à cause du poids écrasant de leurs dettes. Cela peut conduire à des fermetures de banques, à des défauts de paiement, à des défaillances et faillites d’entreprises et à des saisies hypothécaires… ainsi qu’à une baisse additionnelle de la demande, des prix et des salaires. C’est dans un tel contexte déflationniste qu’une récession économique ordinaire pourrait se muer en une dépression économique qui enregistrerait des taux de chômage supérieurs à 20 pourcent, pendant plusieurs années.
    • Une déflation pourrait entraîner une désastreuse déflation des dettes
    Quand une économie est surchargée de dettes, comme c’est le cas actuellement pour de nombreuses économies, une déflation structurelle peut sonner le glas au retour durable de la croissance économique. En effet, le talon d’Achille des économies est le niveau historiquement élevé d’endettement par rapport au produit intérieur brut (PIB).

    source https://rodriguetremblay.blogspot.com/

     

  • Le Gouv

    https://twitter.com/LeGouvOfficiel/status/1270957334081286144?s=20

     

    Si certains d'entre vous ont envie de s'investir n'hésitez pas

     

    https://legouv.fr/actualite/rejoignez-le-gouv/

  • Gardez le désespoir

     

    résistance grecque,anarchie,libertaire,libertarisme,crise euro,coronavirus,covid,récession,depression economique,,Petit rappel pour ceux qui débarquent sur le blog récemment
    Présentation de mon pote grec Euclide la déveine de la résistance grecque et roi des plantages entrepreneuriaux.
    Euclide a fait preuve de beaucoup de créativité pour inventer des business model qui n’existaient pas dans son pays qui comptait avant le dégrèçage, 40 % de fonctionnaires. Il a lamentablement échoué dans l’industrie de la grenouille de table, du chihuahua, du poisson de combats siamois, dans l’importation des babouins à cul violet de Tripoli (business prometteur jusqu’à ce que Sarko et BHL foutent la merde en Libye), des perles de cultures. Il a essayé également sans succès d’ouvrir un cimetière des amants avec des cercueils deux places (amoureux platoniques), d’exploiter un bordel par Internet, de créer une marque de préservatif pendant la crise du caoutchouc et de commercialiser de la pénicilline sans ordonnance. Le tissu économique et social étant interdépendant avec le tissu affectif, sa femme l'a quitté pour un touriste allemand qui exporte des machines-outils et son fils qui ne veut plus le voir fait des études à Londres il envisage de travailler à la City.
    Euclide a fait ce qu'il a pu et a même promis aux chinois qui contrôlent une partie du port du Pirée de ne pas se réincarner.
    Quant à sa femme et son fils, ils viennent passer leurs vacances en Grèce car on se repose mieux chez les non compétitifs non productifs et ça comme dit Euclide c'est une vraie valeur ajoutée qu'il faut préserver et qui ne peut souffrir d'une augmentation de la TVA.
    Je ne l’avais plus vu depuis l’épisode de la bombe à merde qu’il voulait mettre au FMI et qui lui avait explosé à la gueule. Il adore l’économiste Varoufakis moi aussi et déplore que Tsipras n’ait pas eu les couilles de retourner au Drachme. Il est maintenant vendeur à mi-temps dans une boutique arménienne à Paris. Il est passé me voir pour me dire qu’à cause du Brexit son fils était revenu au pays et que le mec de sa femme avait chopé le coronavirus en Allemagne.
    Comme dit le Dalaï Lama : la seule vertu que peut vous apprendre l’ennemi est la patience.