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NECRONOMIE - Page 19

  • Voyage dans le post-libéralisme transcendantal

    post populisme,post leberalisme,populisme,catholiscisme,chretien,liberalismeDans la précarité généralisée, la compétition marchande est devenue la seule relation possible. On s'accroche à la nation pour résister au processus de déterritorialisation. Certains parlent de post-populisme ou de post-libéralisme. Une frange de républicains américains, pays où le catholicisme est en hausse observerait à la loupe ce que fait Orban en Hongrie.

    Leur idée est de revenir sur la séparation État/Église dans la constitution. Pour eux le libéralisme est allé trop loin.

    D’où l'idée de Marion Maréchal d'interdire la pub pour les produits hallal. Une forme d'administration chrétienne du libéralisme pour notre bien commun culturel et identitaire et notre consommation et éviter la charia du Marché et la Mollahrisation du capital.

     

    Vous imaginez une vie gouvernée par des algos cathos ???

    C pas mieux que les fachos fâchés...

    Comme dit la Money Power :Un conservateur c'est un libéral qui s'est fait agresser

     

    Adrian Vermeule: «Le bien commun est le plus grand bien des individus» | ENTREVUE (le-verbe.com)

     

  • TOP GUN DE LA PLANCHE A BILLETS

    bce,planche a billet,armement,exportation,ukraineBon les mecs, ayez quand même pas trop peur des gesticulations de Macron, la France étant le deuxième exportateur mondial d'armement, le consortium franco-allemand polonais pour produire des armes n'est juste qu'un moyen de réactiver la planche à la BCE avec Lagarde à vue et nous venir en secours puisque les seuls trucs que l'on sait exporter, c'est le luxe, le pinard et les armes....Thierry Breton a fait le job...

    Quel surfeur ce Macron

  • La gauche et la droite n'existent plus, seules règnent les puissances d'argent

     

     

    Il ne reste plus que ceux qui collaborent à la puissance financière et ceux qui résistent sans aucune représentation politique.

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    Il n'existe plus qu'un seul pouvoir : le pouvoir créancier et un seul ordre celui de la dette. Peu importe celui ou celle qui sera élu. Il ne pourra que nous convier à un festin nu surveillé par les agences de notation avant- garde de la Money Power. Ainsi va la loi du score. Nous sommes gouvernés par nos déficits et nos dettes. 

     

    La dette, cette bête insatiable, se faufile dans les interstices de la société, agissant tel un prédateur avide, aspirant sans relâche les ressources et les richesses de tous ceux qu'elle touche. Elle ne se contente pas d'être un simple instrument financier, elle façonne les relations sociales, elle gouverne les destins individuels et collectifs avec une main de fer.

    Dans l'univers économique, beaucoup comme moi ont déjà alerté sur le pouvoir incroyable que détient le créancier, la capacité de transformer l'argent en dette, et la dette en propriété, remodelant ainsi les fondations mêmes de nos sociétés. Cette dynamique, cette relation entre créancier et débiteur, elle n'est pas juste une transaction financière, c'est une force qui modèle la structure même de notre système.

    L'ordre de la dette émerge comme une réponse à l'effritement du modèle économique traditionnel. Le keynésianisme, autrefois glorifié, montre ses failles, laissant place à un nouvel ordre financier où l'extraction de la richesse déplace des usines et des industries vers les sphères plus abstraites de la finance.

    Mais il ne faut pas oublier le facteur humain dans tout cela. La psychologie, le jeu de confiance et de bluff, c'est là où se joue une grande partie de cette danse économique. Nos croyances, nos peurs, nos espoirs, tout cela influence nos décisions économiques, parfois de manière irrationnelle, souvent au détriment du bien commun.

    En somme, la dette n'est pas juste une question de chiffres et de comptes, elle est le reflet de nos valeurs, de nos relations sociales, de nos aspirations les plus profondes. Et c'est en comprenant cette dimension humaine que nous pourrons espérer trouver des solutions aux défis économiques de notre époque.

    Ces solutions ne peuvent apparaître que si nous portons le combat du mandat impératif et révocatoire évoqué dans le combat des Gilets Jaunes constituants...La fin du chèque eu blanc aux politiques et aux promesses non tenues. Faute de quoi, nous serons les esclaves du futur au nom du passé et tel un enfant hydrocéphale, nous ferons quelques pas avant de retomber car la tête est trop lourde. La dette, on peut s'y pendre pas s'y suspendre.