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avenir socite industrielle

  • VEGAN SUICIDE

     

     

     

    necronomie,sine,bulle credit,revolution,gilets jaunes,(titre inventé par Vince in the Park Chan-Wook)

    Un cauchemar hante les serviteurs de la Money Power – le cauchemar de leur possible effondrement. Tous les courtisans éparpillés de par le monde, personnages politiques, publicitaires, journalistes et intellectuels, vont, s’interrogeant sur la façon de conjurer cette effroyable menace habillée aujourd’hui d’un gilet jaune.

    « Qui ne parle pas avec moi et comme moi n’a rien à dire. Qui n’agit pas avec moi et comme moi est malade d’impuissance. Qui ne vit pas avec moi et comme moi veut se suicider. Tel est l’enseignement que la Money Power sème dans les médias qu’elle subventionne et sur les chaînes infos »

    La dynamique de la crise s’empare successivement de tous les domaines de la vie qui pendant des décennies, sont devenus dépendants du gonflement des crédits parce qu’ils ne pouvaient pas être alimentés par une production réelle de survaleur et de la redistribution sociale de celle-ci. Cela va de l’éducation, de la culture, de la santé en passant par les  infrastructures des communes (taxe d’habitation).

    Les programmes concernant les coûteuses mesures pour protéger le climat ne valent plus le papier sur lesquels ils sont écrits.

    Dans cette dynamique de désintégration, les individus socialement atomisés sont qu’ils en soient conscients ou non des êtres qui fonctionnent à crédit. Qui plus est, ils ne peuvent  faire face à cette dynamique à la vitesse à laquelle elle progresse.

    L’épuisement des ressources énergétiques, la crise écologique se combinent avec la crise économique. Ce qui suggère une limite économique au mode de production dominant. C’est pourquoi on voit apparaître le constat d’une économie sans croissance : la fameuse stagnation séculaire.

    Reste à résoudre le problème qui consiste à libérer les besoins élémentaires des simples citoyens de la logique abstraite de la croissance au lieu de les opprimer au nom de l’écologie.