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draghila

  • Parlez d'avenir à des vers de terre...

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    Décryptage Draghila (note précédente)

    Les acteurs du drame sont les termes du Marché imposées par la Money power, les exigences du Marché, les pressions compétitives sans oublier les exigences de la productivité qui génère la croissance.Tout cela n'ayant aucun lien avec la volonté, les décisions de simples citoyens. Qui vont devoir trouver les moyens de leur survie biologique avec une faible estime de soi en évitant d'ëtre burnoutés en quête d'une main qui se tend qui ne viendra jamais. En nécronomie, on appelle cela la loi du score.

    La loi du score est une loi globale qui s'applique dans l'espace global des flux économiques. Elle est globalement contraignante. A l'inverse de la loi que nous que nous avons toujours eu l'habitude d'appliquer dans États nations modernes, elle est très éloignée de la politique, sans forme constitutionnelle, sans démocratie, sans chaînes ininterrompues de légitimité. C'est une règle, une directive sans dirigeant. Dans le véhicule économique crée par la loi du score qui nous demande de faire un bond, un grand nombre de citoyens incapables de supporter la vitesse sont tombés du véhicule en accélération. Tandis qu'un plus grand nombre, même pas encore à l'intérieur à échoué' à se trouver dans la course, à rattraper le véhicule et à y grimper. Depuis le début des temps modernes, chaque génération a eu ses naufragés perdus dans le vide social. Dans le véhicule économique du progrès en accélération, le nombre de place assises et debout ne suffit plus à recevoir tous ceux qui veulent faire partie du voyage sans IA et sans transition écologique comme je l'annonçai déjà en 2010 à la sortie de Crise et Mutation.

    Nécronomiquement votre

    JPC

     

  • L'apocalypse selon Draghila

    trilemme rodrik,drahi,draghila,allemagne,recession,futurParmi ses 170 propositions, l’ancien patron de la BCE recommande notamment l’élaboration d’une « stratégie commune en matière de recherche », le développement des marchés boursiers européens pour faciliter les introductions en Bourse de sociétés innovantes, la création d’une « Union de l’énergie », un soutien ciblé pour la fabrication de certaines technologies propres, un plan d’action pour l’industrie automobile ou encore une coopération accrue dans l’innovation en matière d’armements. De 750 milliards à 800 milliards d’euros par an sont nécessaires, des besoins gigantesques qui surpassent en ampleur le plan Marshall de Washington ayant financé la reconstruction du Vieux Continent après la Seconde Guerre mondiale. L’équipe Draghi dit avoir fait appel au département recherche du Fonds monétaire international et à la Commission européenne pour mener des simulations. Verdict : ses projections sont réalistes, mais les investissements privés ne suffiront pas. « Plus les Etats membres se réformeront et lutteront contre la fragmentation du marché unique, moins on aura besoin d’aides publiques »,

    la levée de boucliers a commencé dès la semaine dernière, de manière préventive. Le député PPE allemand Markus Ferber, qui fixe la ligne économique du parti depuis très longtemps, a sorti la grosse Bertha. « Draghi doit résister au réflexe italien traditionnel qui consiste à demander de nouveaux programmes d'investissement financés par la dette, prévenait-il. 

     

    le fameux trilemme de Rodrik Fédéralisme ou camisole doré

    Le trilème de Rodrick avec Jean Pierre Crépin - YouTube

     

     

    Etat de lard un résumé nécro - NECRONOMIE (blogspirit.com)

  • Draghila

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    Le fait de la semaine est incontestablement la démission refusée de Draghila. Et pour cause, Draghi ex Goldman sachs, ex Patron de la BCE est le seul homme capable d'éviter le naufrage italien et de faire que la BCE achète des obligations italiennes dont personne ne veut. Ceci étant financé par la vente d'obligations allemandes. Pour l'instant l'Allemagne se contente de maugréer, on verra quand ils vont rentrer en récession, ce qui ne saurait pas tarder. N'importe qui à part Draghi se verrait demander des réformes structurelles épuisantes pour le peuple par la commission européenne  qui est malgré tout reconnaissante à Draghi d'avoir sauver l’euro avec son whatever it takes le koikilenkoute européen et la planche à billets. Comme le dit un ami analyste italien, le discours qui consiste à rembourser par la croissance sans austérité à la Grecque est comme si on disait à Dracula de produire de l'ail ou de vendre des miroirs et des crucifix pour sauver les mortels et d'éviter un marché scorpionesque je consomme, je meurs...

    Draghi c'est l'assurance que le hamster continuera de courir (sans avancer) dans la roue....Jusqu'à quand les obligations italiennes seront-elles garanties à vie ?

    Les retraités allemands (entre autres) ont la réponse. N'est ce pas eux qui ont baptisé Draghi "Draghila" le suceur d'épargne....