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loi du score

  • Parlez d'avenir à des vers de terre...

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    Décryptage Draghila (note précédente)

    Les acteurs du drame sont les termes du Marché imposées par la Money power, les exigences du Marché, les pressions compétitives sans oublier les exigences de la productivité qui génère la croissance.Tout cela n'ayant aucun lien avec la volonté, les décisions de simples citoyens. Qui vont devoir trouver les moyens de leur survie biologique avec une faible estime de soi en évitant d'ëtre burnoutés en quête d'une main qui se tend qui ne viendra jamais. En nécronomie, on appelle cela la loi du score.

    La loi du score est une loi globale qui s'applique dans l'espace global des flux économiques. Elle est globalement contraignante. A l'inverse de la loi que nous que nous avons toujours eu l'habitude d'appliquer dans États nations modernes, elle est très éloignée de la politique, sans forme constitutionnelle, sans démocratie, sans chaînes ininterrompues de légitimité. C'est une règle, une directive sans dirigeant. Dans le véhicule économique crée par la loi du score qui nous demande de faire un bond, un grand nombre de citoyens incapables de supporter la vitesse sont tombés du véhicule en accélération. Tandis qu'un plus grand nombre, même pas encore à l'intérieur à échoué' à se trouver dans la course, à rattraper le véhicule et à y grimper. Depuis le début des temps modernes, chaque génération a eu ses naufragés perdus dans le vide social. Dans le véhicule économique du progrès en accélération, le nombre de place assises et debout ne suffit plus à recevoir tous ceux qui veulent faire partie du voyage sans IA et sans transition écologique comme je l'annonçai déjà en 2010 à la sortie de Crise et Mutation.

    Nécronomiquement votre

    JPC

     

  • La gauche et la droite n'existent plus, seules règnent les puissances d'argent

     

     

    Il ne reste plus que ceux qui collaborent à la puissance financière et ceux qui résistent sans aucune représentation politique.

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    Il n'existe plus qu'un seul pouvoir : le pouvoir créancier et un seul ordre celui de la dette. Peu importe celui ou celle qui sera élu. Il ne pourra que nous convier à un festin nu surveillé par les agences de notation avant- garde de la Money Power. Ainsi va la loi du score. Nous sommes gouvernés par nos déficits et nos dettes. 

     

    La dette, cette bête insatiable, se faufile dans les interstices de la société, agissant tel un prédateur avide, aspirant sans relâche les ressources et les richesses de tous ceux qu'elle touche. Elle ne se contente pas d'être un simple instrument financier, elle façonne les relations sociales, elle gouverne les destins individuels et collectifs avec une main de fer.

    Dans l'univers économique, beaucoup comme moi ont déjà alerté sur le pouvoir incroyable que détient le créancier, la capacité de transformer l'argent en dette, et la dette en propriété, remodelant ainsi les fondations mêmes de nos sociétés. Cette dynamique, cette relation entre créancier et débiteur, elle n'est pas juste une transaction financière, c'est une force qui modèle la structure même de notre système.

    L'ordre de la dette émerge comme une réponse à l'effritement du modèle économique traditionnel. Le keynésianisme, autrefois glorifié, montre ses failles, laissant place à un nouvel ordre financier où l'extraction de la richesse déplace des usines et des industries vers les sphères plus abstraites de la finance.

    Mais il ne faut pas oublier le facteur humain dans tout cela. La psychologie, le jeu de confiance et de bluff, c'est là où se joue une grande partie de cette danse économique. Nos croyances, nos peurs, nos espoirs, tout cela influence nos décisions économiques, parfois de manière irrationnelle, souvent au détriment du bien commun.

    En somme, la dette n'est pas juste une question de chiffres et de comptes, elle est le reflet de nos valeurs, de nos relations sociales, de nos aspirations les plus profondes. Et c'est en comprenant cette dimension humaine que nous pourrons espérer trouver des solutions aux défis économiques de notre époque.

    Ces solutions ne peuvent apparaître que si nous portons le combat du mandat impératif et révocatoire évoqué dans le combat des Gilets Jaunes constituants...La fin du chèque eu blanc aux politiques et aux promesses non tenues. Faute de quoi, nous serons les esclaves du futur au nom du passé et tel un enfant hydrocéphale, nous ferons quelques pas avant de retomber car la tête est trop lourde. La dette, on peut s'y pendre pas s'y suspendre.

     

     

  • La loi du score

    punk economie,loi du score,drogue et economie,morphine monetaire,money;L'ordre de la dette n'aime pas les volte face. Quel qu'ait été la dépendance

    Les années d'addiction se rachètent au sang/tuple. N'importe quel drogué sait cela. Sa vie n'est régie que par ce que l'on appelle : la loi du score.

    Le score étant la somme d'argent que tu dois réunir pour acheter ta drogue.

    Avec tout l'argent non budgété qui va être lâché aux agriculteurs, le désendettement promis par le magicien des sphincters Lemaire du village global va s' avérer compliqué.

    Surtout quand on a comme seul plan le taux d'emploi pour générer de la croissance. Et les JO pour le tourisme en évitant une grève de la RATP.

    Émancipation par le travail, RSistes au boulot 15 heures par semaine, suppression de l'allocation de solidarité et dégressivité du chômage pour les plus de 55 ans ^pour contrer les ruptures conventionnelles et inciter les seniors à bosser jusqu'à la fin.. Honnêtement si il pense que l'on va faire 3% de croissance comme ça...Il sont burnoutés.

    Il faut réarmer la France militairement, sur le plan de la santé, de la police, de la justice...D’où va venir la Money ???

    En Italie, c'est à fond la loi du score et ça privatise à tout va.

    L'Italie met en vente les joyaux de la couronne pour alléger sa dette – L'Express (lexpress.fr)