Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

mao

  • Uberisation intellectuelle pour tous...

    C'est la débandade, la panique...

    la Start-up Nation est une névrose...

    Suppression des facteurs et des métiers jugés ancestraux. De tous les métiers qui créaient du lien social. Pourquoi ?

     

    S’il est déjà compliqué de lire réellement Lénine, c’est à dire la multilatéralité de ses analyses, les effets de ruptures et de sauts de la dialectique immanente à son mouvement, il est encore plus compliqué de pénétrer à vif dans l’écriture de Mao Tsé-Toung.

    Le macronisme est quant à lui beaucoup plus simple d'accès. Poursuivant le chemin tracé par Sarkozy qui considérait la culture comme une forme d’imbécillité. Macron considère que sa vision de la Start-up Nation ne peut choquer que des consciences naïves et métaphysiques, celles qui vivent dans la transparence du stéréotype et l’illusion de l’idéalité absolue.

    Dans la Start-up Nation, tous les rapports sociaux ne peuvent être effectués que par Internet en attendant l'avènement du Métavers solitaire.

    On comprend à travers cette analyse du rapport macronien qu'il n'y a pas de rapports. Que le rapport n'existe pas et qu'il est tout au plus un rapport à soi puisqu'il est exclusivement tendu vers la séparation avec les autres. L’allergie au peuple en est la marque distinctive.

    L’autonomie, la maîtrise et la liberté y sont gagnées contre les autres auxquels est systématiquement préféré le contact avec distanciation sociale, masqué si possible et accompagné de gestes barrières comme celui-ci :

    1701_Lagarde.png

     

    La pensée macroniste perçoit la vie sociale et ses solidarités comme des entraves ou des archaïsme peu nécessaires à l'économie marchande et à la création de valeur. Le confinement l'a largement démontré. Le libre échange avec zéro échange, c'est l'idéal...

  • Quand Oussama rencontre Greta

    derglement climarique,ideologie,combart,greta,mao,camisole doré,friedmanderglement climarique,ideologie,combart,greta,mao,camisole doré,friedman

     

     

     

    Peu de gens le savent ou y ont prêté attention mais dans un de ces derniers messages à l’Occident, Oussama Ben Laden semble être passé durant son exil studieux, de ses griefs contre la politique étrangère des États-Unis et la théologie islamique à des inquiétudes concernant le dérèglement climatique et l’incapacité d’une démocratie occidentale, prise en otage par des intérêts privés, à l’empêcher.
    Quant à ceux qui parlent de l’islamiste politique pour le résumer au salafisme qui refusent toute rédérence à des textes non islamique, qu’ils sachent que Anwar al-Awlaqi à des accents de Noam Chomsky et provoque les authentiques prédicateurs salafistes lorsqu’il dénonce dans des conférences très influentes une culture mondiale qu’on enfonce dans le gosier de tout le monde sur la terre en citant des gens comme Thomas Friedman qui a théorisé le concept de camisole doré (voir PS).
    De même ; Moussab al-Souri le stratège en chef d’Al-Qaida, cite Mao avec la même fréquence que le prophète Mahomet. Il ridiculise les djihadistes qui n’ont pas su apprendre des sources occidentales et échouent à penser par eux-mêmes. Il insiste sur le fait que ses arguments ne dérivent pas des doctrines islamiques ni des lois sur ce qui est interdit (haram) ou autorisé (halal) mais de jugements fondés sur les leçons de l’expérience.
    « Le grand témoin, ce n’est pas Dieu c’est la réalité » insiste t’il.

    Tout ceci démontre que nous sommes dans un éclectisme idéologique que l’on ne peut résumer dans le concept d’Islam politique.

    PS Pour Friedman, chaque pays doit sacrifier une partie de sa souveraineté au bénéfice d'institutions internationales telles que les marchés financiers et les multinationales) dans le but de parvenir à la prospérité économique de la civilisation occidentale. Il nomme ces contraintes « La camisole dorée »