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mensonge

  • Aux dernières lueurs du crépuscule

    rupture usanguerrenpipoti,mensonge,reveil,finance de l ombre,emprunt,ordre de la detteNe regarde pas l’histoire que l’on te raconte, mais qui te raconte cette histoire et pourquoi il te raconte cette histoire”. La règle numéro 1 des “storytellers”

    les gens n’ont pas voté pour Donald Trump parce qu’il est raciste ou homophobe, mais parce qu’ils sont désespérés dans un océan de dettes. Et lorsque vous êtes au bord du gouffre, toute alternative au statu quo vaut la peine d’être essayée. Pour la même raison, mais avec une approche opposée, le marché boursier purge les excès, mais intègre aussi ces enjeux critiques qui ont été cachés sous le tapis du récit et du boom des valeurs technologiques pendant trop longtemps.

    Bref, les droits et tarifs douaniers tout comme l'Ukraine ne sont que l'iceberg émergé de la situation. Bouc émissaire d’un modèle économique financiarisé jusqu’à la moelle qui a besoin d'une cure de perte de poids cyclique et de plus en plus proche de l’endettement terminal. De plus en plus drastique, de plus en plus difficile à dissimuler. L'enfer de la glaciation suprême et la fin de we play together, we pay together pour le we play together YOU Pay....On prend tout même l'or et les bijoux et les terres rares. On appelait cela mondialisation...L' enfer de la glaciation...

    Pour le reste en Europe, tout le monde est content, la planche à billet massive, on parle de 800 milliards va tourner à fond et cela ne sera pas compté dans les défIcits....la magie comptable...et aussi l'enchaînement TERMINAL au pouvoir de la dette....et la suppression des dépenses sociales.

    Terminal Boredom

    JP

  • ARMES ET COCAÏNE

     

     

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    La période faste que certains d'entre nous ont vécu facilitait l’assentiment aux mythes fondateurs du libéralisme mondialisé ; en ces temps de narcissisme orgueilleux – si lointains aujourd’hui –, les difficultés et les guerres des autres, dommages collatéraux de l’économie de marché prospère et productive qui se passaient dan les autres pays n’étaient que des mélodrames divertissants pour le feuilleton sentimental du journal télévisé animé par les bimbos de 'info. Je me souviens encore quand Reagan pour faire peur aux russes avait lancé son programme de guerre des étoiles. A cette époque tout le monde y a cru, la guerre allait se passer dans l'espace....Celui qui va tomber de haut, c'est Zelensky. Comme je l'écrivais à l'époque pour tempérer l'optimisme général « que ceux qui croient que l'Ukraine va gagner éteignent la play station...

     

    La pensée nécronomiste du jour :

     

    Dans le travail conçu comme valeur morale en soi, le travail lui-même justifie le produit (le résultat), au sujet duquel toute interrogation devient superflue : la production du pire est encore de la production, donc sacro-sainte.

  • Pipoti et Pipeline

    L'énergie et le mensonge collent à l'économie de guerre sans guerre comme le poulpe à l'épave.C'est le ciment qui donne à cet agglomérat de détritus sa cohésion. C'est le cordon ombilical qu relie le triste monstre ridé et difforme à sa putain d'épave et qu'on se garde bien de trancher. Nous sommes le tablier en peau de cochon contre la faucille et le marteau et le veau d'or, Tous les emblèmes d'un monde révolu jetés pêle-mêle sur le dernier radeau du Grand Naufrage.

    Maria Shagina, chercheuse à l’Institut international d’études stratégiques de Londres, a déclaré au Wall Street Journal, le gaz liquéfié russe a jusqu’à présent représenté le cheval noir du régime de sanctions européen, c’est-à-dire que les pays de l’UE qui rivalisent en public pour montrer leur visage agressif envers Vladimir Poutine, ont en réalité abusé sans scrupules de l’absence totale de réglementation en matière de gaz liquéfié. Les sanctions, en fait, ne concernent que celles par pipeline.

    Au centre du jeu se trouveraient les plus de 1 000 entreprises de matières premières basées en Suisse, le pays par lequel transitent 80% des matières premières russes. Et avec un volume d’échanges de 903,8 milliards de dollars, les dernières données disponibles et se référant à 2018, le gouvernement suisse ne semble guère motivé pour perturber un tel générateur de PIB.