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mensonge - Page 4

  • Le Grande Foutaise

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    Si l’on en croit les chiffres officiels de contamination 0 % de contamination dans les transports et 0,1 % de contamination dans les entreprises.

    En clair, le travail c’est la santé…

    Suggestion nécronomique : que ceux qui travaillent donnent leur place à des malades …

     

    Chers Amis Nécronomistes,

     

    Savez-vous ce qu’est une poule ? Une poule est le moyen trouvé par l’œuf de faire un autre œuf…La Money Power c’est l’œuf et nous nous sommes la poule (mouillée par le Covid).

    Le nouvel œuf que la Money Power essaye de nous faire pondre s’appelle le Grand Reset. La fameuse bulle verte…Ceux qui lisent ce blog depuis longtemps ou qui ont lu Crise et Mutation sorti maintenant, il y a dix ans, savent de quoi je parle. Après la crise de 2008, la Money power a programmé une bulle. Un nouveau moteur d’accumulation du capital. Une nouvelle place où doivent où doivent s’agglutiner les consommateurs. Seulement voilà, une mutation ne peut se faire que si les gens sont contraints et forcés…En cela le COVID est une opportunité pour Le Grand Reset. La vente du monde meilleur…Pensez à vos enfants et aidez les reconstruire tout ce que vous avez détruit !

    Quelle belle promesse….

    En attendant, je vous invite à regarder l'excellente intervention de mon ami le philosophe André Bellon et à lire les commentaires dans lesquels j'ai rappelé notre position et notre refus de la charia du Marché et de la Mollahrisation du capital.

    https://www.pouruneconstituante.fr/spip.php?article1820

  • Muter ou Mourir ? La Grande Illusion du Grand Reset

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    Nous en sommes à un stade où les gens terrorisés sont favorables au couvre-feu. En clair l’autonomie qui nous était gracieusement accordée, notamment par les systèmes de communication de masse, n’est qu’un des « trucs » utilisés par une instance de contrôle pour faire en sorte que nous croyons notre des désirs qui sont en réalité les siens. Les mots portés par cette instance sont des mots d’ordre dont le programme d’action est simple : contagion et dépendance à un système qui s’effondre. Comme le dit ce bon docteur Benway le psychiatre des Démocraties de Marché : Le langage même est un virus. Nous sommes intoxiqués d’injonctions qui colonisent notre conscience et nous utilisent comme véhicules pour se déplacer d’un corps à un autre. Tester, Alerter, Protéger. Le contrôle est désormais co-produit par les contrôlés à travers des application comme STOP COVID ou son successeur TOUS ANTI COVID. Il prend donc appui sur la responsabilité individuelle et le devoir citoyen dont il fait ses carburants. Il est remarquable que la grammaire des virus ait le même ordre inaltérable que les commandements du capitalisme. Voici le cycle d’action d’un virus de la grippe ou du COVID : exposition – ATCHOUM – ::: sujet susceptible ::: accrochement du virus à la couverture de la cellule ::: réplication à l’intérieur de la cellule ::: réplication à l’intérieur des autres cellules ::: décharge des autres cellules ::: décharge du sujet pour s’attaquer à un autre sujet susceptible. Toute modification ou permutation de cet ordre fait perdre l’intention : l’infection n’a pas lieu ou s’arrête 

    La crapule capitaliste qui vous dit d’« atteindre & de toucher quelqu’un » avec un téléphone ou d’« être là » à 21 heures chez vous seul en face d’une satanée télévision ??) – ces pompeurs essayent de vous transformer en un pathétique petit pantin, fait de chair et de sang, disloqué & écrasé au sein de la machine ! Un pantin surendetté et malléable auquel il sera facile de vendre les mesures les plus impopulaires.

    Le FMI vient d’annoncer qu’une vaccination mondiale rapporterait 9000 Milliards de dollars. Un beau plan de relance pour éviter un Grand Effondrement !

    Depuis le début des verrouillages en mars 2020, peu ont contesté la justification du gouvernement pour imploser volontairement leurs économies et détruire des communautés et des sociétés - sur la base d'une supposition que le coronavirus pourrait tuer des dizaines de millions de citoyens.
    L'hystérie pandémique COVID-19 est utilisée comme cheval de Troie pour un agenda mondialiste issu du Forum économique mondial de Davos. Il s’appelle The Great Reset, et il a été conçu par des milliardaires d’élite censés provoquer un «changement social et économique».

    Le jeu final de créer l'illusion d'une urgence pandémique mondiale est d'inaugurer rapidement l'introduction d'une politique de 'Green New Deal' - où les milliardaires cherchent à restructurer notre système capitaliste en une nouvelle économie verte - promettant un monde meilleur pour nos enfants.

    Il s’agit en vérité tout simplement de faire décoller une nouvelle bulle et un nouveau moteur d’accumulation du capital.

    La fameuse bulle verte dont je vous parlais dans Crise et Mutation.Car, comme je le dis souvent, une mutation ne s'opère que contraint et forcé mais jamais de manière spontanée.Nous ne disposons que des choix qui ont été programmés pour nous.

    Nécronomiquement Votre

  • Grand Reset (bulle verte) contre décroissance

    A Reprise des chaussettes qui a tout compris

     

    L’objectif d’une « croissance économique durable qui s’exprime à travers Le Grand Reset et la bulle verte le prochain moteur d’accumulation du capital (le recyclage du capitalisme-le greenwashing se révèle être, quelle que soit l’extension que l’on donne à la notion de durabilité, une contradiction dans les termes, dès lors, du moins, que l’on entend la croissance économique au sens actuel. Et comment pourrait-on l’entendre, sinon au sens actuel ? Ceux qui parlent de croissance économique durable ne font qu’obscurcir la problématique environnementale-climatique et tenter de se persuader qu’il est possible de concilier l’inconciliable.

    Dans le même temps, les adeptes de la décroissance estimant qu’on ne parviendra pas à découpler croissance économique et destruction accélérée de l’environnement, les partisans d’une « société de post-croissance » en tirent finalement la conclusion logique que nous devons faire table rase du concept de croissance. Voici donc venir pour eux une « économie de marché sociale et écologique » – comme si une économie de marché non capitaliste pouvait exister. L’espoir est placé sur des entrepreneurs qui, au lieu de courir après le profit, se préoccuperaient d’assurer la durabilité de leur production.

    Ha Ha Ha…

    Avec l’augmentation de la productivité au cours de l’histoire du mode de production capitaliste, l’ évolution conduit à ce que le travail vivant soit de plus en plus expulsé du processus de production et remplacé par des machines. Des frais de main-d’œuvre toujours moindres permettent de produire toujours plus de richesse matérielle. Mais comme cette abondance de biens n’est pas le véritable but de la production, le temps de travail ne s’en voit nullement réduit, quand bien même ce serait matériellement possible et judicieux. On fait plutôt le calcul inverse : la production de la même richesse abstraite (mesurée en temps de travail) réclame un produit concret toujours plus important, et par conséquent – puisque les machines remplacent peu à peu la force de travail – une utilisation des ressources qui croît encore plus rapidement. Il y a des tendances contraires, comme avec l’efficacité énergétique notamment, qui a pour effet de réduire la dépense en énergie par produit fini. Mais le rapport quantitatif entre dépense en matériel et temps de travail est cependant sans équivoque : il croît sans discontinuer dans les secteurs producteurs de survaleur, ainsi que chacun peut s’en convaincre en observant par exemple l’évolution de l’investissement matériel et monétaire par emploi industriel.

       Dans cette contradiction qui consiste en ce que le capital expulse de plus en plus du procès de production le travail vivant, sur l’exploitation duquel repose pourtant la forme de richesse après laquelle il lui faut nécessairement courir – se trouve l’origine commune des crises économique et écologique. Le substrat matériel de cette richesse abstraite obligée de croître au-delà de toute mesure est bel et bien fini, de sorte que l’expansion doit nécessairement se heurter ici à des bornes infranchissables : d’une part la demande solvable limitée (crise économique), et d’autre part les limites naturelles (crise écologique).

       À cet égard, même le traitement des symptômes de crise, qui à la rigueur est encore possible d’un point de vue intracapitaliste, débouche sur une contradiction : la moindre tentative pour ne serait-ce qu’atténuer la crise économique par des programmes de relance entraîne une destruction accrue de l’environnement. À l’inverse, pour réfréner celle-ci, il faudrait prescrire à l’économie mondiale une longue période de profonde dépression, avec toutes les conséquences sociales et matérielles que cela comporterait pour les hommes et femmes prisonniers du mode de production capitaliste. Rappelons-le, l’unique petit coude dans la courbe de croissance des émissions mondiales de CO2 se situe au niveau de l’année 2009, année de récession. Il en sera de même en 2020 grâce serait-on tenté de dire au COVID qui a décidément bon dos. Quant à la pantalonnade des « relocalisations » on s’apercevra  qu’elles ne seront que peu créatrices d’emplois humains mais très créatrices de robotisation et d’automatisation.

    Rien d’éco-logique la dedans !