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chine - Page 2

  • Mensonges et trahisons



    Ne croyez plus les chaînes infos et les belles ukrainiennes qui hantent les plateaux TV. Cela dit si vous lisez ce blog, vous ne les croyez plus depuis très longtemps...

    Aux USA, il se dit qu'à heure des élections de mi-mandat que Biden commence à être énervé par Zelensky. Certains disent même que dopé par la bonne coke et gavé par les milliards de dollars, Zelensky se prend réellement pour le défenseur du monde libre. NBC News a découvert l’explosion de Joe Biden lors d’un appel téléphonique avec Volodymir Zelensky, défini comme ingrat pour ses demandes continues.

    Pour le reste, en Turquie qui a des rapports privilégiés avec l'Allemagne en raison de la présence d'une forte immigration turque dans le pays, Il se dit que Olaf Schloz lors de son voyage éclair controversé en Chine, a honoré ses deux priorités. Évitez les incidents diplomatiques au-dessus de Taïwan, ce qui se traduira par une performance diplomatique de trapéziste. Et faire comprendre à tous sa demande principale et officielle à Xi Jinping : être le porte-parole auprès de Vladimir Poutine de la nécessité de parvenir à un accord qui évite une escalade. En bref, Berlin demande la médiation de la persuasion morale chinoise. Mais avant de s’embarquer pour la Chine, la chancellerie allemande aurait dit autre chose au Président turc en toute confidentialité.. Depuis le contenu de sa discussion avec le Président turc, Recep Erdogan, n’a été rapporté que par la chaîne turque A Haberet - et sans surprise - par l’agence russeTass., la diplomatie des dirigeants est cruciale pour résoudre les problèmes. Le même chancelier allemand il y a seulement un mois avait une position complètement différente sur Vladimir Poutine, mais maintenant il l’a changée et défend maintenant la nécessité de rechercher une langue commune avec la Russie.

    Berlin négocierait tranquillement un rapprochement progressif avec Moscou. Ce qui n'est pas étonnant, les chiffres parlent :

    Le gouvernement allemand s’attend à ce que la substitution du gaz russe puisse coûter au pays quelque 46 milliards d’euros...

    Après avoir été contraint de nationaliser la principale compagnie d’électricité et avoir budgétisé jusqu’à 60 milliards pour sa recapitalisation potentielle, l’idée d’arriver à des réquisitions et expropriations de terrains pour construire à la hâte des usines de regazéification a dû pousser une partie du gouvernement allemand à des conseils plus modérés en vue du véritable test. C’est-à-dire la récession de 2023.

  • Dans l'enfer du social ranking

    MON KDO  DU JOUR

    Bienvenue dans l’enfer du social ranking | Cairn.info

     

  • La main invisible du capitalisme

    L’administration Biden travaille déjà sur un ensemble de sanctions préventives contre la Chine afin de mettre immédiatement en place un mur de dissuasion économique au projet d’invasion de Taiwan. Et non seulement la stratégie serait si avancée que les responsables de Taipei seraient invités à Washington pour travailler sur le projet, mais il s’avère que l’Union européenne serait déjà sur la bonne voie pour adopter les mêmes mesures d’interdiction et de restriction contre Pékin. Bref, alors qu’elle commence seulement à accepter douloureusement le coût énergétique des sanctions contre la Russie, Bruxelles se préparerait à en adopter de nouvelles contre la Chine.

    EXCLUSIF Taïwan accueille des dizaines de législateurs étrangers à Washington pour imposer des sanctions | Reuters

    Et le silence qui a accompagné cette nouvelle semble décidément étrange, compte tenu des rivières d’indignation pour la spéculation en cours sur le gaz à la Bourse d’Amsterdam. Si l’indiscrétion était confirmée, en fait, nul autre que la présidence américaine opérerait comme une main visible sur un marché financiarisé et géopolitiquement stratégique comme celui du pétrole brut,

    l’objectif ultime: réduire mortellement la taille de l’économie européenne, en frappant au cœur de sa locomotive, déjà fortement affaiblie par l’énergie coûteuse. Et le tableau d’ensemble semble décidément sans prétention à l’interprétation : les États-Unis n’ont subi aucun impact direct de la crise énergétique actuelle au niveau du PIB, tandis que l’Allemagne, l’Espagne, la Grèce et l’Italie paient un prix infiniment plus élevé que celui imposé par que celui imposé par les crises énergétiques de 1974 et 1979.