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chômage - Page 4

  • Une épidémie au besoin

    Une « pandémie » de résultats de tests faussement positifs écrasants puisqu'aucun test n'est sûr, l’obligation de se masquer sans augmentation du risque d’infection, les « épidémies » de Covid sans malades, les transferts d’argent gigantesques sans compensation. Corona a rendu possible ce qu’aucune contre-réforme ou contre-information n’a pu réaliser. Baisser les salaires, licencier, augmenter le temps de travail, faire sauter des congés payés par solidarité...sauver les entreprises zombies,imprimer de l argent à tout va sans qu'on en connaisse la destination...et évidemment maintenir les Marchés financiers à flot.

    Les flambées de maladies ne peuvent plus être reconnues par les ambulances équipées de lumières clignotantes et de salles d'urgence surpeuplées. Des flambées de maladie surviennent lorsque les responsables de la santé affluent vers des tests de masse dans des clusters. Les points chauds épidémiques sont créés dans les délais. La quarantaine des personnes asymptomatiques a remplacé la maladie réelle. On trouve des clusters positifs parmi les travailleurs des abattoirs, mais les lits d'hôpitaux sont restés vides.

     

    Vive l'épidémie au besoin!

     

    Pour le halo scientifique, vous n'avez même pas à attendre que les études apparaissent dans les revues spécialisées également disponibles dans le commerce. En attendant, vous pouvez mettre les résultats de votre étude sur Internet avant chaque évaluation par des experts. S'ils échouent ensuite à l'évaluation trois mois plus tard, les résultats supposés ont déjà pris racine. Hydroxychloroquine, Remdesivir ou Dexaméthasone - aucun rapport de réussite n'est assez absurde pour ne pas laisser sonner la caisse enregistreuse de Big Pharma pendant quelques semaines et faire grimper le nombre de «décès de Covid.

    Corona est devenue une pandémie virtuelle. Même les  «décès de Covid» ne sont plus affichés sur les écrans de télévision. La panique psychologique n'est entretenue que par le pouvoir.. Même là où des flambées ont été signalées, il n'y a pas de personnes malades malgré des résultats de test positifs. La pandémie est aussi artificielle que le Nouveau Monde.

     

    Nécronomiquement Votre

     

  • cauchemar américain et falaise de marbre

     

    Aux USA où soi disant l’économie repart (lol) les investisseurs ne sont manifestement pas d'accord. Et par l'apparence de toute la dette qu'ils contractent (voir le Marché obligataire), ils s'opposent avec véhémence à l'idée que la dette puisse être risquée. Mais là aussi, il y a une divergence importante. Les banques sont clairement beaucoup moins sûres sur le sujet, Plus de 40% des banques aux USA ont resserré les normes de prêt pour les prêts aux grandes et moyennes entreprises. Dans le même temps, le pourcentage de banques déclarant une volonté accrue d'accorder des prêts à la consommation a diminué de 20% .

    À ce stade, les seuls facteurs protégeant l'économie du point de rupture inévitable des consommateurs sont les chèques de relance du gouvernement et les largesses temporaires des propriétaires, des banques et des autres créanciers. Un moratoire fédéral sur les avis d'expulsion pourrait être prolongé, mais le Washington Post affirme qu'au moins 20 millions de locataires risquent d'être expulsés d'ici le 30 septembre. «Une falaise approche», dit le Post.

  • La déflation par la dette

    krugma,déflation,déflation par la dette,sisher,récession,dépression,très grande dépression,futur,chômage,crise;covid,coronavirusVous le savez chers amis, depuis 2007, j'ai toujours pensé que ce que nous vivons se transformera en une "Japanification" suivie d'une trappe à liquidités, d'une déflation et pour finit d'une déflation par la dette dont nous ne sortirons jamais car personne n'en est jamais sorti. Paul Krugman le sait bien. Richard Keene qui a vu aussi venir la crise de 2008 aussi.

    Aujourd'hui, plusieurs autres nécronomistes partagent cette analyse, Ainsi le professeur Rodrigue Tremblay.

    Analyse :

    Un objectif de première importance : Empêcher qu’une déflation structurelle durable n’apparaisse
    Parmi les responsabilités de première ligne des banques centrales et des gouvernements, en cette période de crise virale et économique, est de prendre les mesures nécessaires pour empêcher qu’une dangereuse déflation structurelle ne s’installe à demeure.
    Une déflation structurelle ou maligne est causée par une demande insuffisante dans un environnement de surcapacité de production. Elle peut être la conséquence d’un vieillissement de la population. Il en résulte alors une pression durable à la baisse sur les prix et les salaires. Une telle situation économique se produit lorsque plusieurs secteurs (ex. marchés financiers, agriculture, énergie, mines, etc.) subissent une baisse des prix, quand une demande stagnante oblige les producteurs à abaisser leurs prix pour écouler leurs surplus de stocks d’inventaire.
    Il en résulte une baisse dans les bénéfices et un déclin dans la demande de main-d’œuvre. À son tour, la hausse du taux de chômage fait chuter les salaires, et c’est alors qu’une dangereuse spirale de baisse des prix et des salaires peut se mettre en marche.
    En effet, lorsqu’une économie se trouve confrontée à une baisse des prix des titres financiers, à des fermetures d’entreprises et à un chômage massif, les banques, les entreprises et les consommateurs les plus endettés subissent alors de lourdes pertes financières à cause du poids écrasant de leurs dettes. Cela peut conduire à des fermetures de banques, à des défauts de paiement, à des défaillances et faillites d’entreprises et à des saisies hypothécaires… ainsi qu’à une baisse additionnelle de la demande, des prix et des salaires. C’est dans un tel contexte déflationniste qu’une récession économique ordinaire pourrait se muer en une dépression économique qui enregistrerait des taux de chômage supérieurs à 20 pourcent, pendant plusieurs années.
    • Une déflation pourrait entraîner une désastreuse déflation des dettes
    Quand une économie est surchargée de dettes, comme c’est le cas actuellement pour de nombreuses économies, une déflation structurelle peut sonner le glas au retour durable de la croissance économique. En effet, le talon d’Achille des économies est le niveau historiquement élevé d’endettement par rapport au produit intérieur brut (PIB).

    source https://rodriguetremblay.blogspot.com/