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stagdeflation - Page 13

  • Cheikh au porteur...

    A Alex, Tartocassix, Gabelle, en réponse aux commentaires de la note ci dessous...

    Suffisait il Angkor de dire que l'argent mûrit dans les coffres aussi sûrement que le moine dans son monastère (modèle allemand luthérien) à une époque ou le Djihad affrontait Mac Intosh et où l'augmentation du goût de la vie n'arrivait plus à se substituer au ce que l'on appelait autrefois le pouvoir d'H.A (shashin) ?

     

    Pronostik : Aux bas mats, aux bas maux sera réélu...Pour le reste we play together we pay together (le coup du c-nario...).

     

    Ce ne sont pas Roosevelt et le New deal qui ont vaincu la première TGD, c'est la guerre...Cheikh au porteur de mauvaises nouvelles....

     

     


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  • La citation nécronomique du jour

    « Il faut arrêter que n’importe qui dise n’importe quoi n’importe comment ».

    Capitaine Courage Compétitivité  (les 3C) dans son allocution familiale télévisée

     

    " Mais après tout, dit le requin, pourquoi critiquer avant de savoir ? Mon franc-parler ne m'empechêche pas d'avoir un coeur en or. Ce ne sera peut être pas pas si terrible, tout compte fait. Pendant que je vous avalerai, vous oublierez que vous êtes en train de vous noyer; la noyade vous empêchera de réfléchir au fait que je vous avale, et comme je devrai sans doute vous déchiqueter à belles dents, votre attention risque d'être à ce point sollicitée pas ses diverses réjouissances que vous n'aurez guère le temps d'éprouver la moindre souffrance physique."

    HG Wells

    (Mr Blettsworthy dans l'ile Rampole)

    PS : Vivement les 3 D : Dépôt de bilan, Divorce, Dépression.

     

  • Qui est l'Ahuri ?

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    Contrairement à ce que l’on peut lire ici ou là,  les investisseurs ne sont pas ces peureux dont le sang se glace dans les veines au moindre froid mais des gens tragiquement lucides lorsqu’il s’agit de leurs intérêts. En dehors du contexte des dettes souveraines et des dettes privées des banques devenues dettes publiques, les investisseurs comprennent ce qui se passe au vu des inexorables mesures qu’il va falloir prendre lorsque l’on sera sorti du pays des magiciens de l' écriture comptable et des engagements hors bilan.

    Par conséquent la pauvreté allant devenir sport international, que les banques qui ne veulent plus prêter se rassurent : Bientôt, elles ne prêteront plus ou peu a cause de l’augmentation des risques de défaut et leurs revenus baisseront sur leur activité première, celle qui contribue à l économie réelle où nous vivons et cela posera tout simplement la question de leur réelle utilité.

    Cela les investisseurs l’ont compris…Ils ont compris également que nous étions à l’aube- gravité de la crise oblige- de réformes fiscales, pays par pays, sans précédent car les privatisations ne se font pas sans licenciement (voir PIB de la mauvaise Grèce où l’on découvre avec stupéfaction que les fonctionnaires consommaient plus que les chômeurs...)

    Nécronomiquement votre