Chers Amis

Quand même des bonnes nouvelles, Hier mon co-auteur André Bellon m’a appelé pour me dire qu’il avait eu de bonnes retombées de la vidéo promo que nous pensions avoir foiré. Il m’a dit : les gens nous trouvent sympathiques…J’ai dit bah ouais, on n' est pas là pour faire peur aux gens…

Il faut dire qu’en la regardant à nouveau, j’arrive à rigoler moi-même…Les trois stooges sont de retour ou alors les Marx Brothers sont là. Avec notre ami philosophe Mehdi qui ne quittait à l’époque jamais son bonnet et qui explique, qu’il a accepté de faire la préface parce que ce livre l’a sorti d’idées très négatives…..et qui enchaîne sur des propos stratosphérique comme dab…moi qui raconte mes conneries sur les urnes électorales et les urnes funéraires ….André n’étant pas non plus en reste…

Voilà, il faut se rendre à l’évidence, nous sommes des  gens sympathiques. Il doit encore rester un peu d’humanité en nous. Et puis on est un peu préparé aussi

https://www.youtube.com/watch?v=fDvo_Po0ayk

Chers amis Nécronomistes,

 Je voulais aujourd’hui vous envoyer un signal faible annonciateur du Grand Effondrement. Celui qui envoie tout droit au Grand Splaaash, la piscine des ténèbres de l’économie. Finalement je vais vous envoyer un signal fort après avoir entendu Macron et le déroulé de son programme.

Que ceux qui ne nous lisent pas et ne croit pas au Grand Effondrement se mettront-ils au moins à croire à la Gouvernance Biopolitique qui est devenu sur ce blog un cheval de bataille.

Même Zemmour en a pris conscience. Je viens de le voir à TV, il dit que nous glissons vers un modèle chinois. Peut-être est-il tombé sur ma note du 18 avril sur le trilemme de Rodrik

http://necronomie.blogspirit.com/tag/souverainet%C3%A9+des+peuples

Effectivement, nous sommes au fameux carrefour que définit Dan Rodrik. Désormais, il ne reste que deux choix. Soit avancer sur le modèle du fédéralisme global comme les États unis en renforçant encore les pouvoirs de Bruxelles, garder l’hyper mondialisation et perdre de la souveraineté soit de la Nation pour garder un semblant de Démocratie.

L’autre, le modèle de la camisole dorée comme la Chine : garder l’hyper-mondialisation et garder l’État-Nation mais sans Démocratie

Bon, vous l’avez compris nous sommes en sur accélération ?

La raison : Les taux ne remonteront pas ou très très peu avant 2023 même en cas d’inflation

Pourquoi : parce qu’il faut laisser au plan de relance (très insuffisant) une chance. Avant d’appuyer réellement sur le bouton des taux signifiant pour les Élites que la fête du slip était définitivement terminée

Cet évènement n’est pas une surprise, pour nous nécronomistes….nous nous y préparons depuis longtemps////

"Les hommes se sont si bien habitués à vivre dans une condition de crise pérenne et de pérenne urgence qu’ils ne semblent pas même se rendre compte que leur vie a été réduite à une condition purement biologique et qu’elle a perdu toute dimension sociale et politique et même toute dimension humaine et affective. Une société qui vit dans un état d’urgence pérenne ne peut être une société libre. Et, de fait, nous vivons dans une société qui a sacrifié la liberté aux supposées « raisons de sécurité » et qui, pour cette raison même, s’est condamnée elle-même à vivre dans un état de peur et d’insécurité pérennes.

Il n’est pas étonnant qu’on évoque la guerre à propos de ce virus. Les mesures d’urgence nous obligent en effet à vivre dans des conditions de couvre-feu. Mais une guerre livrée contre un ennemi invisible qui peut se loger dans le corps de chaque homme n’est-elle pas la plus absurde des guerres ? Il s’agit en vérité, d’une guerre civile. L’ennemi n’est pas à l’extérieur de nous. Il est à l’intérieur de chacun de nous.

Ce qui inquiète, alors, ce n’est pas tant, ou pas seulement le présent, mais c’est ce qui va venir après. Ainsi, tout comme les guerres ont laissé en héritage à la paix une série de technologies néfastes, des fils barbelés aux centrales nucléaires, de la même manière il y a fort à parier que l’on tentera de poursuivre après l’urgence sanitaire les expérimentations que les gouvernements n’avaient pas réussi jusqu’ici à mener à bien : fermer les universités et les écoles et faire des leçons par internet, arrêter une bonne fois pour toutes de se réunir et de parler ensemble d’arguments politiques ou culturels, se contenter d’échanger des messages digitaux, et partout où c’est possible, faire en sorte que les machines remplacent enfin tout contact – toute contagion – entre les êtres humains."