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guerre

  • L’Europe se prépare. Mais pas à vivre...

     

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    L’Europe se prépare. Mais pas à vivre.

    Elle se prépare à durer. À survivre. À s’auto-emballer sous vide dans l’espoir de ne pas pourrir trop vite.

    Stockage des minéraux critiques, rationnement algorithmique des calories, carburants fossiles mis sous cloche comme du vin de guerre. Pas pour le peuple, non. Pour les chaînes d’approvisionnement. Pour les tanks sans pilotes. Pour les marchés.

    Le risque n’est plus un facteur : c’est le décor.

    Guerre chaude, planète chaude, guerre froide numérique.

    Le Financial Times appelle cela une "prise de conscience". Nous préférons "préservation cadavérique". L’Europe sent son odeur : vulnérable sur trois fronts. Géopolitique, climatique, cyber. Trois clous, un cercueil.

    Les entreprises, elles, ont déjà pris le virage nécro-utile.
    Morgan Stanley sonne l’alarme : 57 % d’entre elles ont été touchées.

    Touchées par quoi ? Par la réalité.

    Tempêtes, sécheresses, ruptures de réseaux, interruptions de flux.

    Résultat : la durabilité n’est plus une vertu, mais une stratégie de survie. Ce n’est plus une question d’écologie, mais de coût-bénéfice en territoire sinistré.

    Il ne s’agit plus de prévenir le chaos. Il s’agit d’en tirer profit tout en s’en prémunissant.

    Et pendant que l’Europe stocke…

    Le marché, lui, s’adapte.

    Comme les champignons après Hiroshima.

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  • Chroniques d’un capitalisme terminal : Tel-Aviv, Tesla & Transes boursières

    1000031435.jpgExplosion médiatico-charnelle : Trump contre Musk,
    match de catch quantique sur fond de kétamine algorithmique et de sueur nation-Etat.
    Rien. Puis tout.
    Le vide d’abord — puis Tesla grimpe de 22 %, comme un zombie shooté au greenwashing qui a flairé la chair fraîche du spectacle.
    Un bond.
    Une morsure dans le réel.

    Pendant que les civils crament dans l’arrière-plan — le bain de sang que vos journaux étalent comme un bon vieux porno de guerre —
    les marchés, eux, s’agitent comme des vers dans une cervelle ouverte.
    Wall Street rit.
    La cloche sonne : Triomphe.
    Money Shot.
    Tout est un jeu vidéo, avec options d’achat intégrées.

    Pendant ce temps, dans les salons transhumains de JP Morgan, des prophètes snifflent des modèles prédictifs :

    « Si Tel-Aviv continue, on vous met le baril à 120 dollars. »
    Today ?
    — 68,97 $.
    Un écart.
    Un gouffre à combler avec du sang, du pétrole et de l’audience.

    À quoi sert l’escalade ?
    Bonne question, citoyen.

    Imagine un monde en flammes — et toi, petit porteur de portefeuille,
    que fais-tu ?
    Tu mises.
    Tu achètes la guerre.
    Tu achètes le dollar.
    L’actif refuge est la carte de l’Oncle Sam, trempée dans le napalm, recyclée en contrat à terme.

    Le système applaudit.
    Il est Faust.
    Il est Loto.
    Il est parfait.

    Un ballet nucléaire écrit par des IA cocaïnomanes,
    avec une BO signée BlackRock et des figurants payés en munitions.

    À la veille d’un chef-d’œuvre.
    Financier.
    Apocalyptique.
    Brillant.

  • C pas faux...

    costes,guerre,ukraine,russie,musk,poutine,europe

    Le premier mort de l'alliance est Justin Trudeau remplacé par un banquier Ex Goldman Sachs. Rappelez vous mes notes sur l'indice du slip cher à Alan Greenspan alors patron de la fed en 2009 avant le retour du masculinisme....

    Archive Avril 2009 - NECRONOMIE

     

    Nous sommes confrontés à un véritable changement de régime et non à un simple passage de témoin entre deux présidents de couleur politique différente.

     

    Il serait paradoxal qu’un gouvernement qui se proclame fièrement « souverainiste » et composé de « patriotes » accepte une relation de soumission envers la nouvelle administration américaine.

    Vittorio Emanuele Parsi

    Les réactions américaines face au refus de solidarité de la France ne sont d’ailleurs guère allées au-delà du changement temporaire du nom des frites — de French fries à Liberty fries — sur le menu de la cafétéria du Congrès et des repas de la Maison-Blanche. Pour donner la mesure du changement en cours, le président Trump a interdit à l’Associated Press d’assister aux conférences de presse de la Maison-Blanche, l’agence de référence étant considérée « coupable » de s’obstiner à appeler le golfe du Mexique par son vrai nom plutôt que par le nom artificiel de Gulf of America : comment ne pas penser à l’obsession du Mare Nostrum dans les rêveries néo-impérialistes de Mussolini ?

    Les alliés européens sont appelés à être de simples figurants du grand théâtre de la pax trumpiana — pendant que les oligarques du Kremlin et de la Maison-Blanche dépouillent les sols de l’Ukraine.

    Et aujourd'hui en prime de guerre, un clip d'un vieux copain nécronomiste l'inclassable et inclassé Jean-Louis Costes

    https://youtu.be/9Tfi39Y3rR0?si=J_Q3OAV_7A5M9eHh