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NECRONOMIE - Page 169

  • Vacciné contre le travail

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    La caractéristique centrale de ce que nous vivons aujourd’hui est le dépassement de la sphère économique par le politique. L’État devient ce qui détermine toutes les sphères de la vie sociale. La hiérarchie des structures politiques bureaucratiques se trouve au cœur de l’existence sociale.  La majorité de la population se transforme effectivement en chômeurs payés par l’appareil politique. Dans le même temps, le mur séparant la sphère intime d’avec la société et l’État est brisé par des injonctions et des interdictions. Le remplacement du marché par l’État signifie que le chômage de masse entraînerait immédiatement une crise politique qui mettrait le système en question. Pour se légitimer, l’unique problématique du pouvoir est de conserver des forces productives et le maximum d’emploi potentiels. Toutefois cet ordre qui empêche les hommes d’utiliser pleinement leurs forces productives en vue de leur bien-être et qui contrôle l’organisation et les activités de la société représente la pire forme de société antagoniste. Car, les hommes sont conditionnés depuis fort longtemps à occuper leur temps par le biais du travail. D’où les cris d’alarmes : ils ne veulent pas d’argent, ils veulent du travail.

     

    La fameuse valeur travail reconnue par la droite comme la gauche a conditionné tout le monde. Encore aujourd’hui sur une chaîne info, un témoignage d’une pétasse de je ne sais où qui venait témoigner le quasi orgasme qu’elle avait eu en retrouvant ses collègues au sein d’une structure.

    La difficulté psychologique issue de ce conditionnement nait du fait que l’individu livré à lui-même et privé de la servitude volontaire chère à La Boétie devient dépressif. C’est le cas actuellement où le chômage partiel n’est pas apprécié mais source d’angoisse. Comment occuper mes journées sans chaîne hiérarchique qui me dit quoi faire ? Comment crée des rapports sociaux autres que les collègues, la famille et tout ce qui est préprogrammé pour moi ?

     

    Comme le disait mon génial ami Marcel la feignasse Président de l’Inaction Française :

    Dans le travail conçu comme valeur morale en soi, le travail lui-même justifie le produit (le résultat), au sujet duquel toute interrogation devient superflue : la production du pire est encore de la production, donc sacro-sainte  — Comme il n'existe positivement aucun point de vue extérieur au travail, il n'en existe aucun où l'on sait ce qu'on fait, et ce qui se fait.

    Habitué dans le travail à l'action mécanique du corps et des fonctions mentales, le salarié recherche des distractions qui prolongent cet état, et entretiennent sa passivité. Dans ce contexte, la question du sens (de la signification) des activités ne peut plus être posée, ne correspond à rien : les organes s'accrochent en toute « liberté » au premier prétexte venu ; « être occupé » doit être compris comme on dit d'un taxi ou des WC qu'ils sont « occupés » : ils sont bouchés, et inaccessibles. C’est la raison pour laquelle, Hanouna, la TV réalité, les marseillais etc…cartonnent. L’occupation du temps comme dans le Paris Dourdan de Houellebecq où une jeune fille fait des mots croisés.

    Dans ce contexte d’anomie, les individus séparés les uns des autres, ne sont plus reliés presque uniquement entre eux que par leur référence à la chaine de commandement des « gouvernances ». La destruction des liens sociaux horizontaux, incluant solidarités, conflictualités, amours, rivalités, amitiés, est la manifestation de l’aliénation sociale, de l’a-liénation, de l’absence du « relier ». Les individus sont dénudés de leur subjectivité qui se conjugue si bien sur le mode social (je, tu, il, elle, nous, vous, ils elles). Reste le « moi », nu et vulnérable, « narcissisé », prêt à être recouvert de la tutelle protectrice de la gouvernance algorithmique qui se substitue aux liens sociaux horizontaux dissous. La chaine hiérarchique qui relie tous ces « moi » aliénés car dénudés de leur subjectivité diffuse directement son emprise dans le corps social sans intermédiaires.

    La conception classique de la finitude humaine (vie limitée par la mort) devient secondaire face aux limitations effectives et réelles (l'insuffisance des fonctions naturelles de l'individu face à une puissance sociotechnique non maîtrisée). Puis je vivre sans être vacciné, puis je travailler sans être vacciné ? Puis je vivre sans travailler ?

     

  • La «réinitialisation» mondialiste échoue-t-elle? Les élites ont peut-être surjoué leur main

    Les gouvernements sont actuellement dans les médias affirmant que les vaccins «ne seront pas obligatoires». Ceci est un mensonge. En même temps, ils mettent en place des mandats pour vous obliger à prouver que vous êtes vacciné afin de vous rendre dans les lieux publics et même d'aller travailler. En gros, vous prenez le vaccin ou vous mourez de pauvreté

    Brandon Smith

     

    Un article d’un ami nécronomiste américain dont je publie le début avec son autorisation et que je vous invite à retrouver dans intégralité. Brandon et ses amis se battent ardemment pour faire échouer l’agenda globaliste. Vous constaterez qu’en ce qui le concerne il ne parle pas des zombies comme moi mais des vampires ! Autre différence, il est stagflationniste et moi comme vous le savez stagdéflationniste. Mais j' aime bien la conclusion de son article : Je vois des manifestations dans des États verrouillés comme le Michigan, la Californie et New York. Je vois des manifestations de masse en Europe. Je vois le schéma de réinitialisation exposé et la vérité s'introduire dans le courant dominant. Je vois quelque chose monter à la surface, et je sens l'odeur de la poudre à canon de la rébellion, et j'aime ça

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  • Promotion Plouf...

     

    VGE

    A Jimmy Fulgor

    La crise de la COVID-19 a fait chavirer l’immobilier de bureaux. Le marché des grandes métropoles françaises était pourtant jusqu’alors sur une trajectoire ascendante, triomphante même. Plébiscités par les investisseurs, les montants investis progressaient de plus de 17% par an depuis 2009 pour atteindre le record de 25 Md€ en 2019

    Une demande en chute libre

    Aujourd’hui, c’est un peu la Bérézina. La demande placée, c’est-à-dire le volume des transactions locatives ou ventes à l'occupant, est en chute libre. En Ile-de-France, le décrochage atteint 46,3% sur les 9 premiers mois de l’année par rapport à la même période de 2019. C’est sans commune mesure avec les chocs subis au début des années 2000 ou lors de la grande récession de 2008-2009. Conséquence, des mètres carrés, même bien placés, ne trouvent plus preneur. C’est ce qu’indique l’offre immédiate de bureaux en région parisienne qui s’établissait fin septembre à près de 3,3 millions de m², en hausse d’un peu plus de 18% sur un an. La tendance est la même dans les principales métropoles régionales.

    Rapport XERFI

    Tout au long de ces années, chers amis, j’ai croisé beaucoup de gens qui souhaitaient ou qui pronostiquaient un Krach immo. Il est vrai que la bulle est énorme et que les prix sont surévalués de 30%. J’ai toujours dit que tant que les banquiers centraux soutiendraient le marché avec des taux zéro ou négatifs, il ne pourrait y avoir de krach pas plus que sur le Marché actions. Le capitalisme avait inventé le capitalisme sans risque. Toutefois, j‘ai toujours précisé que le signal d’un Krach viendrait de l’immobilier de bureau et des baux commerciaux. Le secteur de l’immobilier commercial est un moteur essentiel de la croissance mondiale. Sa valorisation marchande totale dépasse celle de tous les Marchés actions et obligations combinés au niveau mondial. Le télétravail, la distanciation sociale va anéantir tout cela. Les promoteurs déjà surendettés ne peuvent plus être sauvés que par les gouvernements ou des fonds d’investissement très aventureux. Seuls les plus gros et d’importances systémiques seront sauvés. Dans de nombreuses villes, les prix de l’immobilier commercial vont donc baisser sur une longue période faisant exploser la bulle immobilière. Alors reste bien sûr, la question de l’immobilier résidentiel. Cela mettra un peu de temps à cause de la pénurie de logements mais, il est certain que les jeunes générations qui n’avaient déjà plus accès en tant que primo-accédants choisiront de ne plus assumer des loyers ou des achats à des prix démentiels. Beaucoup migreront vers des villes d’importances moyennes. En priorité tous ceux qui peuvent télétravailler. À tous ceux-là viendront s’ajouter, tous ceux qui venaient étudier dans les grandes villes et ruiner les économies de papa en louant des chambres de bonnes qui pourront désormais étudier et obtenir leur diplômes à distance.

    Ce n’est pas un hasard non plus si  Les réseaux bancaires de la Société générale et du Crédit du Nord vont fusionner, entraînant la fermeture de 600 agences. Toutes les autres banques suivront vont tous être obligés de consolider leurs réseaux d’agences qui coûtent cher et rapportent de moins en moins.