Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

NECRONOMIE - Page 595

  • Obama peut il sauver le Monde : feuilleton de l'été

    En France, nous avons élu Kennedy, nous nous retrouvons avec Louis de Funes, un petit agité qui sprinte dans un marathon parti il y a 30 ans et qui essaye de mettre en place les recettes qui précisément ont causé la faillite du système financier mondial (favoriser le crédit et l’endettement des particuliers, faire de la France un pays de propriétaire, obsession de la baisse des taux pour financer la croissance).

    Nous aurions pu en fait élire n’importe qui d’autre, les effets auraient été les mêmes voir pires.

    L’art du commentaire est tout ce qui reste aux hommes politiques dont le marché mondial à fait ses salariés.
    La réalité nécronomique les a dépouillé des illusions dont ils nourrissaient la crédulité populaire et qui confortait chez eux l’impression d’exercer un pouvoir.
    L’objectif est maintenant d’éviter la panique dans le grand supermarché mondial.

    Appauvrissez vous pour que survivent ceux qui mettent leur salut dans l’argent clame le Marché.

    Il n’est pas nécessaire d’avoir d’autres argument vis à vis des populations.
    La résignation les porte à contempler sans réagir et sans s’indigner le siphonage de leur patrimoine.
    Après tout, ils en ont bien profité, ils ont même hypothéqué l’avenir de leurs enfants en les endettant dés la naissance (40 000 euros par enfant en France, solidarité avec le déficit oblige).
    Et puis,
    cela fait belle lurette, que l’économie a asphyxié la radicalité qui existait chez les hommes et qui ne s’illustre guère plus que dans nos banlieues ou l’envie de consommer se marie volontiers à la violence.

    C’est sans doute ce qui explique le changement de ton de Christine Hagarde qui vient de rappeler
    « la priorité absolue n'est pas de baisser les impôts » mais d'« éliminer le déficit public ».
    Comprenez :
    et puisqu’on ne peut pas faire payer les gros (niches fiscales), il reste encore une solution : faire payer les petits.

    Sauvez la France de son déficit abyssal
    , c’est sauver la vie de vos enfants, nous dira t’on dans peu de temps dans une publicité gouvernementale ;

    Et l’unique moyen d’éviter qu’ils finissent congelés comme nos économies ou qu’on les oublient comme un parapluie sur la banquette arrière du Krach mondial.

    C’est aussi pour les hypothétiques futurs retraités la garantie de ne pas se faire taper dessus par leur engeance.
    Un fils qui tape son père , c’est démoralisant…
    Mortelle engeance...

    Nécronomiquement votre

  • Sépultures d'entreprises

    72927ec9c529c82e5ab4aa53ec2246f9.jpg




    De la chasteté à la virginité, du mysticisme à la gnose, du corps épris de pureté au corps parfait,
    Le diable œuvre à notre avancement, qui nous ramène par les voies du désordre à l’état originel : virginité, boucle d’azur dorée :
    Eut il existé un jour d’autres Anges que les golden boys nous clament les marchés financiers pour être sûrs que nous avons bien compris que notre sort était entre leur main et que nous nous étions condamner à les renflouer en tant qu’actionaire ou en tant que contribuable et même les deux, et le cas échéant mourir pour eux.
    Alors que leur croissance a été basée sur la création de dettes pas de richesses.

    Du balancier des comptes, chaque cadence dessine l’Amen.


    Nécronomiquement votre
    PS Crédit agricool (deuxième semestre sépulture d’entreprise)

  • APOCALYPSE DES MARQUES

    Nous avons à préparer une révolution de la vie quotidienne mais ce qui s’annonce n’est pas le dépassement de la survie mais sa sauvegarde par le changement du mode de fonctionnement économique de nos sociétés financés par la surabondance de liquidités.

    La dette et le crédit : On peut jouer avec mais pas s’y suspendre (règle nécronomique)
    C’est ce qu’on fait les sociétés occidentales les plus avancées.
    C’est la raison du Krach Mondial et de la Très Grande Dépression qui va suivre :

    Nous allons donc sortir d’une économie de désir ou le consommateur n’a pas conscience d’être un pantin manipulée par des Marques pour glisser vers une économie sans désir, TGD oblige.

    La séquence « consommer jusqu’à se consummer » vient donc de se boucler.
    La consommation va s’écrouler inévitablement et les Marques si arrogantes dans leur discours « parce que je le vaux bien. » devront rendre compte de l’argent qu’elles ont subtilisé aux consommateurs infantilisés.
    A cette occasion, elles feront face à une infidélité grandissante de leurs clients avec lesquelles elles n’ont pas su réellement pendant toute ces années créer des liens durables.
    Procter, Unilever…Personne ne sera épargné.

    « Pourquoi continuerions nous d’acheter vos produits si chers ? ? ? leur hurleront les consommateurs devenus routiniers du hard discount et des Marques de distributeurs (MDD) au lendemain de la gueule de bois mondiale
    dûe à la raréfaction du crédit (donc des cartes de fidélité et des cartes de crédit).

    « Qu’avez vous fait pour nous ces Vingt dernières années quand tout allait bien..??? »
    « En quoi avez vous contribué réellement à notre bien être ? »


    seront les questions auxquelles les Marques devront répondre si elles veulent survivre.