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commission européenne

  • La France sous tutelle de la Money Power

    Macron a brisé un tabou post-Brexit sans précédent. Interrogé par Bloomberg TV, le locataire de l’Elysée s’est dit ouvert au rachat d’une banque française par un concurrent européen, si cela servait de levier pour une plus grande intégration. Mais ce n’est pas suffisant. ,Le président français s’en est pris au nanisme industriel européen, prônant des fusions et la naissance de sujets capables de concurrencer les grands acteurs américains et chinois. Maintenant, ce dernier point semble paradoxal, du moins s’il est décrit comme un souhait de la part du champion du monde du nationalisme d’entreprise. Mais le premier point donne à réfléchir. Quelle banque française voit son niveau 3 bouillir à un point tel qu’elle a besoin d’un chevalier blanc pour la sauver ?

     

    Bref, Emmanuel Macron semble déterminé à préparer son opinion publique au sacrifice d’une partie de la grandeur nationale. Pour survivre. Car le ratio dette/PIB  commence à inquiéter. Et beaucoup. Et la charge des produits dérivés sur les banques françaises est le secret le mieux gardé de tout le secteur. Tout le monde sait, tout le monde se tait. Du moins jusqu’à ce que, comme c’est le cas actuellement, l’horizon de la politique monétaire apparaisse décidément insondable.

     

    . Comprenez-vous pourquoi Mario Draghi ex Président de Goldman Sachs International dirigera la Commission européenne ? Les cavaliers de l’Apocalypse sont nécessaires pour régner sur le chaos. Et la BCE en sait quelque chose.

    Juste pour info si Draghila remplace Pustula von der leyen, son projet est de lancer un emprunt de 500 MILLIARDS et à qui va t on emprunter ? Devinez....

    Emmanuel Macron pousse à la consolidation du secteur bancaire européen | Les Echos

     

  • Préparez vos mouchoirs

    commission européenne,covid,dette,endettement,zone,euro,perte acquis sociaux,futur capitaiismeAujourd'hui la commission européenne vient d'annoncer que la dette de la zone était supérieure à 100%.

    En vérité le ratio dette souveraine / PIB moyen de la zone euro devrait atteindre 102%, avec sept pays proches ou supérieurs à 120% (l'Italie est à 160% et la Grèce est au-dessus de 200%). Avec une croissance annuelle nominale d'environ 3% (en supposant que l'inflation revienne bientôt à 2% vœu pieux), ramener ces ratios d'endettement à 60% en 20 ans - comme l'exige le pacte de stabilité et de croissance (suspendu)  obligerait ces pays à générer des excédents primaires (hors paiement de la dette) importants de 2 à 4% du PIB. Mais étant donné la nécessité de continuer à soutenir la reprise, la médecine traditionnelle de la restriction budgétaire pour rembourser la dette souveraine ne serait pas compatible avec la viabilité de la dette. De plus, cela limiterait la capacité des États membres à empêcher que les blessures économiques et sociales infligées par la pandémie ne deviennent des cicatrices permanentes. Et la restructuration de la dette n’est pas non plus une option viable, car elle ferait des ravages dans les économies des pays très endettés, mettant potentiellement en péril la stabilité économique et financière de la zone euro.

    En fin de compte, l'accroissement actuel de l'endettement souverain ne peut donc pas être laissé aux États membres à gérer par eux-mêmes. Étant donné que les problèmes politiques qu'il soulève affectent tous les membres, ils doivent être traités collectivement. Au début de 2021, les avoirs souverains de la BCE dépassaient les 3 billions d’euros (3,6 billions de dollars) - soit environ 30% de l’encours total de la dette souveraine de la zone euro et à peu près la même part du PIB de la zone euro. Les programmes en cours de réponse à une pandémie pourraient bien ajouter 1 500 milliards d'euros supplémentaires avant leur interruption. Si ces dettes ne sont pas renouvelées à l'échéance, les conditions de liquidité pourraient se resserrer du fait que les États membres placent des titres équivalents sur les marchés financiers.. Il est absurde de penser que le refinancement de la dette COVID-19 devrait être soumis à la discipline de marché, car cela pénaliserait simplement les gouvernements pour la protection de leurs citoyens pendant la pandémie La tâche ne saurait être confiée en permanence à la BCE sans brouiller la ligne entre politique monétaire et politique budgétaire, comme l’ont établi la Cour de justice de l’UE dans l’arrêt Gauweiler et autres et Weiss et autres.

    Il ne reste donc qu’une seule solution et cela sera le nouveau pipoti pipota. Celle que l’on ne tardera pas à nous annoncer en nous vantant les mérites de l’Europe puisque nous n’avons plus la souveraineté monétaire : stocker la dette COVID dans une Bad Bank. En espérant qu’un jour des aventuriers de la finance alléchés par les taux viennent en acheter ou que la BCE dans le futur monétise cette dette.

    Bref comme je ne crois pas à l’hypothèse de la croissance qui rembourse la dette, cela veut dire qu’on en prend pour 20 ans de réformes structurelles. Comprenez par-là, perte des acquis sociaux, retraite à 67 ans, privatisations à tout va à commencer par l’éducation et la santé les deux budgets les plus lourds. On va nous expliquer que les facs sont un repaire d’islamo gauchistes et qu’ il faut mieux laisser cela au privé, pareil pour la santé ou l’on nous dira que l’on a bien vu pendant l’épisode covid que cela ne marchait pas.

    Nécronomiquement votre

    JP

  • La commission

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    "Bien entendu, il y aura des transferts de souveraineté. Mais serais-je intelligent d'attirer l'attention du public sur ce fait?" - In: Telegraph, 3 juillet 2007

    Jean Claude Juncker arriva devants les autres membres de la commission. Ce matin là, il avait mis en guise de lunettes ces instruments que les bijoutiers se glissent dans l'orbite pour examiner les pierres précieuses.

     Ce qui signifiait qu'il allait passer en revue tous les commissaires européens pour s'assurer de leur santé mentale.

     Un bon commissaire européen se doit d'être à la fois un briseur de rêve et un ostéopathe de l'esprit. Ce qui par conséquent le fait en permanence flirter avec la schizophrénie. JE ne peut être un sujet pour MOI

    L'affaire du commissaire français Moscovici que ses confrères surnommaient avec dérision Mosco veni vidi vici qui avait oublié sa personnalité d'origine venait d'en faire si besoin en était la démonstration. N'avait il pas en tant que commissaire européen finit par se reprocher de ne pas avoir effectué en tant que ministre de l'économie de la France les réformes structurelles nécessaires au pays. Cette phase ayant été précédée de plusieurs signaux avant coureurs comme commencer ses phrases par Moi puis parler tout seul et plus tard tenter d'avoir des rapports sexuels avec lui- même indépendamment de la masturbation proscrite pendant la durée du mandat y compris en rêve.

    Le ministre agit dans la lumière, le commissaire dans l'ombre.