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nofuture

  • Pipoti pipota

    Pendant les quatre premiers jours, le récit était celui d’un Poutine totalement victime de sa paranoïa d’encerclement et qui s’était trompé sur tous les mouvements stratégiques possibles sur le terrain. Le temps jouait contre Moscou, et, surtout, la résistance ukrainienne était digne du siège de Stalingrad mélangé au blitz de l’armurerie Rambo..

    Maintenant, arrêtez le film, rembobinez la bande et regardez par la fenêtre de la réalité. Premièrement, la résistance ukrainienne l’a été pendant quelques jours simplement parce que le Kremlin a décidé d’éviter une attaque à grande échelle et aveugle : s’il avait voulu et considéré comme acceptable – compte tenu du climat de condamnation mondiale – un décompte des morts hors de contrôle, Poutine aurait déjà pris tout le pays. La Tchétchénie rebelle et islamiste réduite à un cendrier reste un précédent vivant.

    Concernant la fameuse guerre économique, François Hollande préconise l'arrêt de l'achat d'energie à la Russie :

    Voulons-nous une inflation à 54% comme en Turquie, juste pour essayer de déloger Vladimir Poutine du Kremlin ? Nous sommes alors sur la bonne voie. Mais messieurs, la réalité est très différente de celle héroïque-résistante des nouvelles et des talk-shows. Et quand la crise bouillante éclatera tout court, je crains que toute cette solidarité – même au niveau des fonds du budget de l’UE – envers l’Ukraine, ne disparaisse comme la dernière neige sous le soleil printanier. Et il ne manque pas grand-chose. Si vous voulez vous convaincre que Poutine est en train de perdre et que l’OTAN triomphe, allez-y. N’oubliez pas d’éteindre la Playstation, cependant, lorsque vous avez terminé.

  • Un banquier de la FED tragiquement lucide

    Au chapitre des prédictions les plus sombres, c'’est le président de la Banque de Réserve Fédérale de Saint Louis, James Bullard, qui exprime l’avertissement le plus impressionnant, lorsqu’il craint une baisse du PIB pouvant atteindre 50% à la fin du deuxième trimestre, par rapport au premier trimestre 2020. Cela entraînerait une montée en flèche du taux de chômage jusqu’à 30% et correspondrait à un recul de 25% de la production économique. A titre de comparaison : durant la Grande Dépression qui a précipité de larges segments de la population dans l’extrême pauvreté, le PIB américain a chuté de 25% au total.

     

    Pour info à ce jour nous sommes à 14,7% de chômage aux USA, l'hypothèse des 30% est donc crédible si l'on reste sur un cycle de 3 millions de chômeurs par semaine comme actuellement.

  • Putain je suis en plein revival

    j

     

     

     

    warum joe,oberkampf,punk,rebellion,revolution,jpc,nofutureJe travaille bcp en ce moment, je suis en route vers le PULITZER

     

    En attendant de mes news qq morceaux de ma jeunesse rebelle

    https://www.youtube.com/watch?v=a8FoOHQV9_4

    et au son du kalash

    https://www.youtube.com/watch?v=PqS-izPxu4k

    vous donne des news très bientôt