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Crise et Mutation - Page 50

  • Les fables de Lafontaine

    Il ne s'agit pas de Jean mais de Oskar Lafontaine l'ancien Président du SPD allemand

    qui balance ce que tout le monde sait mais n'ose pas dire :

    Oskar Lafontaine : L’explosion des deux gazoducs est une déclaration de guerre à l’Allemagne et c’est pathétique et lâche que le gouvernement fédéral veuille balayer l’incident sous le tapis. L’Allemagne dit qu’elle sait quelque chose mais ne peut pas le dire pour des raisons de sécurité nationale. Les moineaux le sifflent depuis longtemps sur les toits : les États-Unis ont soit directement mené l’attaque, soit au moins donné le feu vert. Sans la connaissance et le consentement de Washington, la destruction des pipelines, qui sont une attaque contre notre pays, paralyse notre économie et va à l’encontre de nos intérêts géostratégiques, n’aurait pas été possible.

    C’était un acte hostile contre la République Fédérale – non seulement contre elle, mais aussi – qui montre une fois de plus que nous devons nous libérer de la tutelle américaine.

    Lafontaine zum Stellvertreterkrieg in der Ukraine (deutsche-wirtschafts-nachrichten.de)

     

    Sequence musicale techno :

    l'amitie allemagno américaine avec cramage à la fin du drapeau américain

    la chanson s' appelle Der Sheriff (les USA)

    (22) Daf Der Sheriff Vnv Nation Mix - YouTube

     

     

     

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  • Le Mausolée des intellectuels

    Femme de philosophe Atlantiste

       arielle3.jpg                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                             

     

     

     

     

    Proche de tous les indésirables et de tous les réfractaires, je n'aurai jamais rien de commun avec les philosophes d'élévage qui hantent les universités et les plateaux TV. Les a t'on entendu sur la vaccination, le confinement et les privations de droits ? Pas plus que sur les Gilets Jaunes...Moins ils sont individualistes comme Badiou plus ils sont nombrilistes...

    Je ne pouvais donc qu'être ami avec Mehdi Belhaj Kacem. Le principe d'Anarchie qui gouverne nos vies et la contingence provoquèrent la rencontre et nous sommes devenus amis. 

    Du passé faisons table rase n'est plus un slogan à la mode. Aujourd'hui au contraire, on assiste au sacre des hiers. La nostalgie d'un paradis qui n'a jamais existé, le règne du c'était mieux avant les migrants...Le faisandé excite les papilles gustatives.

    Mehdi dessoude, Mehdi démolit et je ne peux que m'associer à cette belle entreprise. Faisons table rase de ces penseurs qui ne marchent plus debout mais à quatre pattes en posture d'offrande. A quoi sert un homme juste si son sang se glace dans ses veines au moindre froid ?

    Morceaux choisis /

    Raphaël Gluksmann le fils à papa en pire, Lordon le spinoziste psycho-rigide, BHL l'atlantiste génocidaire,Cynthia Fleury Bécassine philosophe, Toni Negri l'idiot utile de la mondialisation, Einthoven le playboy acéphale, Onfray la philosophie dans le comptoir....

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    Mausolée des intellectuels, Mehdi Belhaj Kacem – Editions Fiat Lux

     

     

     

     

  • La danse des morts est terminée

    eric-pougeau-pierre-tombale-fils-de-pute-2-336x450.jpgVous le savez, chers amis, une mutation, c'est contraint et forcé car le consommateur zombie ne veut pas muter,

    L’explosion des ratios d’endettement insoutenables impliquait que de nombreux emprunteurs – ménages, entreprises, banques, banques parallèles, gouvernements et même des pays entiers – étaient des « zombies » insolvables qui étaient soutenus par des taux d’intérêt bas (qui maintenaient leurs coûts de service de la dette gérables). Tant pendant la crise financière mondiale de 2008 que pendant la crise de la COVID-19, de nombreux agents insolvables qui auraient fait faillite ont été sauvés par des politiques de taux d’intérêt nuls ou négatifs, l’assouplissement quantitatif et des renflouements budgétaires purs et simples. Comme chacun sait si l'on veut tuer un zombie, il faut tuer la tête, c'est chose faite. L'enfant hydrocéphale qui faisait quelques pas avant de s'écrouler sous le poids de la tête (dette) ne se relevera pas.

    Il est des récessions dont on ne revient pas.

    Un enchaînement sans fin, un cercle vicieux si jamais il y en eut un,une succession inéluctables d’événements, le désordre primitif en crée un second qui ne fait qu'aggraver le premier et en crée un troisième, un troisième qui rend inévitable un quatrième et ainsi de suite jusqu'à ce que soit atteint le point le plus bas et ce n'est pas encore le fond car provient la torture mentale de la nostalgie d'un paradis perdu qui n'a jamais existé et le désir de tout recommencer.

    Contrairement à la crise financière de 2008 et aux premiers mois de la COVID-19,

    nous ne pouvons plus injecter d'argent sans jeter de l'huile sur le feu de la pression inflationniste. Comme le dit le Docteur Doom,

    . Cela signifie qu’il y aura un atterrissage brutal – une récession profonde et prolongée – en plus d’une grave crise financière. À mesure que les bulles d’actifs éclateront, que les ratios de service de la dette monteront en flèche et que les revenus corrigés de l’inflation chuteront dans les ménages, les entreprises et les gouvernements, la crise économique et le krach financier se nourriront l’un de l’autre.

    Par quel coup de talon de danseur de flamenco allions nous remonter ?

    Petit rappel :

    Pour qu'une bulle se forme il faut qu'il y ait une adéquation entre les demandes des consommateurs, une offre des entreprises et des titres financiers qui valorisent l'ensemble. Nous en sommes très loin avec la bulle verte.. Le capital fictif s'effondre avec le Nasdaq et les crypto, le métavers licencie à outrance, État, entreprises et ménages se sont alourdit par des dettes. Nous n'avons plus qu'à espérer le retour de la planche qui sera conditionné à l'austérité. Et l'austérité, nous le savons depuis les grecs, on en sort pas. C'est donc après s'être appauvri sur le lieu même de notre richesse que nous affronterons la mutation.

    Imparable...La mère de toute les crises approche. La crise de la dette...

    Les chiffres sont stupéfiants. À l’échelle mondiale, la dette totale des secteurs privés et publics en pourcentage du PIB est passée de 200 % en 1999 à 350 % en 2021. Le ratio est maintenant de 420 % dans les économies avancées et de 330 % en Chine. Aux États-Unis, il est de 420%, ce qui est plus élevé que pendant la Grande Dépression et après la Seconde Guerre mondiale.