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futur - Page 51

  • Les entretiens nécronomiques

     

     

    cryptoism-bitcoin-theory-324x235.jpgEntretiens de JPC avec le célèbre activiste YMD

     

    YMD NL BROCHURE CAPITALISME FINANCIER V2 25-6-20-3.pdf

     

     

  • News du front

    covid,crise covid,coronavirus,deuxieme vague,economie,recession,tres grande depression,futur,chomage de masse
     




    le FMI vient de doucher l'euphorie des chaînes info
    :

     

    La crise devrait coûter plus de 12.000 milliards de dollars à l'économie mondiale

      

    "La pandémie de Covid-19 a eu un impact plus négatif que prévu sur l’activité économique au premier semestre, et le retour de la croissance sera plus graduel qu’anticipé », résume l’institution. L’Europe est de loin la région la plus touchée, puisque c’est là que le confinement a été le plus sévère. En zone euro, la chute du PIB devrait être de 10,2 % en 2020. L’Italie et l’Espagne (− 12,8 %), mais aussi la France (− 12,5 %) sont les pays les plus touchés, avec le Royaume-Uni (– 10,2 %). En Allemagne, le PIB devrait reculer de 7,8 %. Tous ces chiffres sont, là encore, sans précédent.

    Comme nous l'avions annoncé, les pays les plus touchés sont les pays de tourisme.

    Pour le reste

    Les États-Unis constatent un nouveau record dans les affaires COVID Alors que les tests se développent, les États-Unis voient le pourcentage
    le plus élevé positif depuis le 10 mai. Le Texas signale un nouveau bond quotidien record dans les affaires de Covid. Les États-Unis enregistrent le plus grand bond en nombre de cas
    depuis la mi-avril (2 mois) Houston prévient que les lits en soins intensifs seront débordés demain L'Oklahoma annonce un bond record

     
  • La déflation par la dette

    krugma,déflation,déflation par la dette,sisher,récession,dépression,très grande dépression,futur,chômage,crise;covid,coronavirusVous le savez chers amis, depuis 2007, j'ai toujours pensé que ce que nous vivons se transformera en une "Japanification" suivie d'une trappe à liquidités, d'une déflation et pour finit d'une déflation par la dette dont nous ne sortirons jamais car personne n'en est jamais sorti. Paul Krugman le sait bien. Richard Keene qui a vu aussi venir la crise de 2008 aussi.

    Aujourd'hui, plusieurs autres nécronomistes partagent cette analyse, Ainsi le professeur Rodrigue Tremblay.

    Analyse :

    Un objectif de première importance : Empêcher qu’une déflation structurelle durable n’apparaisse
    Parmi les responsabilités de première ligne des banques centrales et des gouvernements, en cette période de crise virale et économique, est de prendre les mesures nécessaires pour empêcher qu’une dangereuse déflation structurelle ne s’installe à demeure.
    Une déflation structurelle ou maligne est causée par une demande insuffisante dans un environnement de surcapacité de production. Elle peut être la conséquence d’un vieillissement de la population. Il en résulte alors une pression durable à la baisse sur les prix et les salaires. Une telle situation économique se produit lorsque plusieurs secteurs (ex. marchés financiers, agriculture, énergie, mines, etc.) subissent une baisse des prix, quand une demande stagnante oblige les producteurs à abaisser leurs prix pour écouler leurs surplus de stocks d’inventaire.
    Il en résulte une baisse dans les bénéfices et un déclin dans la demande de main-d’œuvre. À son tour, la hausse du taux de chômage fait chuter les salaires, et c’est alors qu’une dangereuse spirale de baisse des prix et des salaires peut se mettre en marche.
    En effet, lorsqu’une économie se trouve confrontée à une baisse des prix des titres financiers, à des fermetures d’entreprises et à un chômage massif, les banques, les entreprises et les consommateurs les plus endettés subissent alors de lourdes pertes financières à cause du poids écrasant de leurs dettes. Cela peut conduire à des fermetures de banques, à des défauts de paiement, à des défaillances et faillites d’entreprises et à des saisies hypothécaires… ainsi qu’à une baisse additionnelle de la demande, des prix et des salaires. C’est dans un tel contexte déflationniste qu’une récession économique ordinaire pourrait se muer en une dépression économique qui enregistrerait des taux de chômage supérieurs à 20 pourcent, pendant plusieurs années.
    • Une déflation pourrait entraîner une désastreuse déflation des dettes
    Quand une économie est surchargée de dettes, comme c’est le cas actuellement pour de nombreuses économies, une déflation structurelle peut sonner le glas au retour durable de la croissance économique. En effet, le talon d’Achille des économies est le niveau historiquement élevé d’endettement par rapport au produit intérieur brut (PIB).

    source https://rodriguetremblay.blogspot.com/