Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Crise et Mutation - Page 213

  • Meilleurs voeux et concept nécronomique 2020

     

     

    crise 2008;arnaque dette souveraine,salaire minimum,salaire maximum,retraite,revenu de base,revenu d'existence,futurAu-delà de l'investissement économique que constitue pour le capital le salaire-revenu du travailleur (fin du salariat comme exploitation, début du salariat comme actionnariat de la société du capital — glissement de la fonction stratégique du travailleur vers la consommation comme service social obligé, le capital investit le travailleur du salaire comme on investit quelqu'un d'une charge ou d'une responsabilité
    Non seulement par le salaire/revenu le capital charge les producteurs de faire circuler l'argent en tant que consommateur et de devenir ainsi les véritables reproducteurs du capital, mais plus profondément par le salaire/statut il en fait des preneurs de biens au même titre que lui, capital, est preneur de travail.
    À partir du moment où le salaire est déconnecté de la force de travail puisque le consommateur prend le dessus sur le travailleur via le crédit qui est du travail non consommé, rien ne s'oppose plus à une revendication salariale maximaliste, illimitée. Car s'il y a un « juste prix » à une certaine quantité de force de travail, il n'y a plus de prix pour le consensus et la participation globale à l’économie. La revendication salariale traditionnelle n'est que la négociation de la condition de producteur. La revendication maximaliste est une forme offensive de retournement par le salarié du statut de reproducteur auquel il est voué à travers le salaire auquel vient s’ajouter le statut de consommateur chargé de faire circuler l’argent et de combattre la crise économique.

    Salaire maximum pour un travail minimum : tel est le mot d'ordre.. Car ce n'est plus alors en tant que producteurs que les salariés interviennent, mais en tant que consommateur, rôle que leur assigne le capital
    Moins on a à en faire en tant que travailleur, plus on doit exiger un salaire élevé en tant que consommateur, Voilà la « classe » telle qu'en elle-même le capital la change : dépossédée de son exploitation même, de l'usage de sa force de travail, elle ne saurait faire payer trop cher au capital ce déni de production, cette perte d'identité, cette débauche. Exploitée, elle ne pouvait exiger que le minimum. Déclassée, elle est libre d'exiger tout.

     

    Bonne Année les Nécros zamis

  • Greta Thunberg est elle un cyborg ?

    Titre trouvé par Marie

     

    Nos amis allemands commencent à comprendre ce que j'explique depuis plus de dix ans l'arnaque de la bulle verte, le recyclage du capitalisme

    relire ma note de 2008

    http://necronomie.blogspirit.com/archive/2008/09/02/tgd-2008-2012-et-nouvelle-bulle-programmee.html

    Bref voici ce qu'en disent nos zamis teutons

    En l’absence de nouvelles percées économiques et technologiques et face au déclin croissant des secteurs financiers et industriels, un grand malaise économique et social s’est propagé dans tous les pays occidentaux. Ce mécontentement large et croissant des masses, de plus en plus exprimé en paroles et en actes, a commencé à ébranler les fondements des élites dirigeantes de l’argent et de leurs experts achetés et payés dans les instituts scientifiques et dans les médias.
    Du point de vue des élites dirigeantes, il y avait donc un besoin urgent d’une „réforme“ qui conduirait les masses populaires à renoncer volontairement et à céder volontiers une partie de leur pouvoir d’achat déjà fortement réduit à l’Etat pour une bonne cause sans émeutes dans la rue. Dans cette situation plutôt désespérée, les „ingénieurs sociaux“ et les manipulateurs de masse au service des „élites“ ont réussi un véritable coup de génie avec l’invention et l’exploitation RP de Greta Thunberg.

    https://kenfm.de/un-faux-sauvetage-climatique-pour-sauver-les-elites/

  • Instants Damnés

    DAMNED.jpg

    Si vous avez encore une addiction à l’espoir, ou pire encore une addiction à Macron, la pire des addictions, vous êtes au bon endroit. Nous pouvons vous aider.
    Dans une vie antérieure, j’avais croisé Georges Ugeux qui à ce moment-là n’était pas nécronomiste. S’il s’angoisse autant, lu qui fût le premier des croyants, cela veut dire que ce n’est pas bon signe.

    https://www.latribune.fr/opinions/tribunes/si-nous-ne-faisons-rien-nous-aurons-un-tsunami-financier-avant-2020-georges-ugeux-813993.html

    On pardonne volontiers à un inconnu de s’être converti à l’Islam ou de vouloir changer de sexe mais pour ce qui est de la nécronomie, c’est une autre histoire. Le refus de ‘l’économisme apparait tantôt comme le pire des maux ou tantôt comme la plus grande des faiblesses. Si vous êtes une femme et que vous ne vous rasez pas les jambes, vous vous ferez traitez de paresseuse. Si vous êtes un homme respectable et que vous ne portez pas de cravate, vous ne savez pas Être.
    Bref, vous ne faites pas assez d’effort pour réaliser votre potentiel économique !

    Comme disait Georges Bernanos « qui dispose de sa mort, peut affronter n’importe quel enjeu ».
    Croyez-moi, la mort, une fois qu’on y est, c’est beaucoup plus facile que l’acte de mourir. Si vous êtes déjà capable de rester de longues heures devant la télé à regarde Hanouna, Pascal Praud, les chaînes infos qui tournent en boucles, la mort sera une partie de plaisir. D’ailleurs, regarder la télé et surfer sur Facebook sont d’excellents entraînements à la mort. Quand on ne reçoit plus que des publicités ciblées pour les couches incontinences, les conventions obsèques, on commence à se préparer. Un peu comme lorsque la sécu vous délivre un courrier pour la première coloscopie et que vous hésitez entre le faire avec ou sans anesthésie.
    Ceux qui ont le plus de followers d’entre vous généreront de la consommation in absentia. Comme un chanteur avec son tube sorti des dizaines d’années auparavant : il ignore que sa chanson trotte encore dans la tête d’un ouvrier chinois exploité qu’il ne rencontrera jamais. C’est un pouvoir, certes, mais un pouvoir vain, impuissant dont bénéficieront uniquement mes marques qui auront survécu au grand effondrement.
    Quand on est mort, le moins qu’on puisse dire, c’est qu’on ne s’encombre pas de bagages et qu’on ne confond plus la vie avec une accumulation de gadget
    . Plus besoin de manger bio, de prendre des vitamines, de se couvrir d’écran total, hurler sa supériorité sous cialis ou de vous mettre des machins sur la peau parce que vous le valez bien mais bien moins que la marque qui vous l’a vendue.
    Bref comme je l’écrivais dans La Grande Déconnexion confondre le marketing et la vie.
    Macron, c’est une coloscopie avec anesthésie. Quelqu’un qui vous dit :
    . « Vous savez, je crois en vous. » et que les réformes ne sont pas des punitions, juste des adhésions au contrat social qui nous permet de vivre ensemble.
    Cette phrase révèle que vous êtes en présence d’un über-menteur, un spécimen de haut vol.
    Pour vous délivrez du mal être. Un simple courriel sur ce blog.
    Par la présente j’abandonne tout espoir, toutes illusions et j’arrête le Xanax et le Seroplex. Je laisse tomber l’idée de la croyance absurde d’une croissance qui repart. Je ne suis pas taillé pour rester un macronien convaincu. Même sous camisole chimique, je ne veux pas penser à l’idée de m’enrichir comme il est dit dans la bible « Enrichissez-vous » tout en restant vautré devant les chaines infos en état de catatonie dans mes propres crottes sans avoir pu payer mon loyer. Je prends note que nos retraites dépendent de la démographie et de la croissance économique mais je préfère aller en enfer plutôt qu’au paradis avec Julie Graziani, les anti-avortement et la manif pour tous qui prétendent que le porno sur Internet et son lac de sperme gâché ont le même effet en Enfer que le réchauffement climatique sur Terre.
    J’ai trouvé ma voie. Je suis un nihiliste convaincu débarrassé de toutes peurs à crédit. Je ne veux pas être le fruit d’idées d’économistes défunts.
    No Futur is good futur