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Crise et Mutation - Page 216

  • Les Chronophages

     

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    Le terme de « chronophage » désigne ici aussi bien les objets de la chronophagie (appareils électroniques divers à écrans plats, publicité télévisuelle et sur Internet, économie dématérialisée), que ceux à qui leur commerce proLe terme de « chronophage » désigne ici aussi bien les objets de la chronophagie (appareils électroniques divers à écrans plats, publicité télévisuelle et sur Internet, économie dématérialisée), que ceux à qui leur commerce profite (notamment les grandes firmes de l’économie dite virtuelle). Le mode d’exploitation hypercapitalistique introduit un rapport renouvelé des individus à leur temps « disponible », le travail imaginaire de ces derniers venant s’ajouter à leur travail réel, sous l’espèce d’un temps de « loisir » revendiqué par eux et générateur de profits faramineux pour les chronophages. L’hyperrentabilité de ce capitalisme nouveau-genre s’établit dans une sphère presque entièrement dévolue à l’imaginaire, ou même à « l’imaginaire de l’imaginaire » ; il s’inscrit en outre sur le mode d’un échange fondamentalement irréciproque.
    Ainsi décrit, l’hypercapitalisme dévoile sa vacuité, le « rien » qui lui sert de fondement, et dont la présente crise mondiale fournit une illustration exemplaire. On comprend dès lors que la valorisation du capital, devenue purement imaginaire, indexée sur la seule anticipation de sa valeur à venir, n’ait cure de produire réellement quoi que ce soit. Quand l’imaginaire de l’imaginaire (et l’anticipation de sa valorisation future) conditionne la valeur boursière d’une société commerciale, il devient évident que les biens produits ne sont plus qu’un prétexte à toute valorisation, voire son simple déchet, de la même façon les emplois industriels qui en dépendent.:fite (notamment les grandes firmes de l’économie dite virtuelle). Le mode d’exploitation hypercapitalistique introduit un rapport renouvelé des individus à leur temps « disponible », le travail imaginaire de ces derniers venant s’ajouter à leur travail réel, sous l’espèce d’un temps de « loisir » revendiqué par eux et générateur de profits faramineux pour les chronophages. L’hyperrentabilité de ce capitalisme nouveau-genre s’établit dans une sphère presque entièrement dévolue à l’imaginaire, ou même à « l’imaginaire de l’imaginaire » ; il s’inscrit en outre sur le mode d’un échange fondamentalement irréciproque.

    Ainsi décrit, l’hypercapitalisme dévoile sa vacuité, le « rien » qui lui sert de fondement, et dont la présente crise mondiale fournit une illustration exemplaire. On comprend dès lors que la valorisation du capital, devenue purement imaginaire, indexée sur la seule anticipation de sa valeur à venir, n’ait cure de produire réellement quoi que ce soit. Quand l’imaginaire de l’imaginaire (et l’anticipation de sa valorisation future) conditionne la valeur boursière d’une société commerciale, il devient évident que les biens produits ne sont plus qu’un prétexte à toute valorisation, voire son simple déchet, de la même façon les emplois industriels qui en dépendent.

  • La France renoue avec la croissance !!!!!

     

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    Je parle évidemment de croissance nécronomique

     

    Le marché de la mort ne connaît pas la crise. Depuis la fin des années 2000, le taux de mortalité en France ne cesse de progresser. Il est passé de 8,5 ‰ en 2010 à 9,2 ‰ en 2018, ce qui représente aujourd’hui plus de 614 000 décès par an. Un chiffre qui devrait dépasser les 700 000 en 2040, et atteindre les 750 000 en 2060 ! Ces funestes statistiques réjouissent au moins un secteur : celui des pompes funèbres, qui a réalisé un chiffre d’affaires de 2,25 milliards d’euros en 2015, contre 1,28 milliard d’euros quinze ans plus tôt.

    Source Alternative économiques

  • Vers la révolution

    Je vous avais fait part de ma rencontre avec Fabrice Grimal l'auteur d'un livre fondamental "Vers la révolution"

    http://necronomie.blogspirit.com/index-9.html

     

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    Fabrice est passé à l'action et demande à être avec d'autres figures historiques des GJ reçu par Macron

     

     

    https://www.atlantico.fr/pepite/3581992/priscillia-ludosky-jerome-rodrigues-fabrice-grimal-et-faouzi-lellouche-exigent-une-rencontre-avec-emmanuel-macron-pres-d-un-an-apres-le-debut-du-mouvement