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crise - Page 2

  • Siphonage de l'épargne des sud-coréens

    Suite à la panique de Wall street hier que les analystes traditionnels attribuent aux chiffres décevants de l'emploi et risque de récession voire à l'exubérance irrationnelle des Marchés, je me permets de dire qu'il s'agit aussi en fait d'un transfert de risques enième gesticulation de la Money Power. Une crise Immo commence tjrs par l'immobilier de bureaux.

     

    Goldman Sachs a décidé à commencé à sécuriser les fesses tremblantes de quelqu’un, reniflant l’odeur de la peur et la transformant en profit.

    Transfert des risques. Une belle obligation liée à un portefeuille de prêts de 2 milliards en contre-valeur et appartenant essentiellement au capital-investissement et à leurs lignes de souscription, ce qui est vendu comme un non plus ultra de la garantie contractuelle, mais, au final, ce n’est rien d’autre qu’une lettre de change. Mieux vaut se rappeler un nouvel acronyme : Srt. Significant Risk Transfer. Et ce quelque chose commence à grincer est démontré par  le lien qui suit publié seulement 24 heures plus tôt par une source qui ne peut certainement pas être accusée de complot ou de catastrophisme comme Bloomberg. Quelqu’un commence déjà à payer cher le billet pour la descente du manège des tarifs qui ont grimpé trop vite et dans un environnement trop ivre de rhétorique de tout va bien. Les investisseurs sud-coréens qui avaient misé lourdement sur la tranche la plus risquée – et la plus rentable – de prêts à l’immobilier commercial américain – en particulier aux bureaux – sont en fait confrontés à une véritable ponction de pertes, afin de ne pas se retrouver avec le match en main. Parce que le marché des prêts faciles et joyeux présente désormais la facture. Et même si la Fed pourrait commencer à réduire ses taux en septembre.

    Adieu les sud-coréens, la Money Power ne veut pas de vous...

    US Commercial Real Estate Draws in South Korea Investors - Bloomberg

     

  • La question nécro du jour ?

    debandade economique,crise,dissolution,macron,effondrementFaut-il préférer la connerie naturelle à l'intelligence artificielle ???

    On aura les revenus qui vont avec se marre le pouvoir créancier et l'ordre de la dette

    et en final y a peut être plus de fric à faire avec la connerie qu'avec l'intelligence fut elle artificielle....

  • Nous n'avons pas peur de vivre dans les décombres

    Quand un psychotique déprimé approche de la guérison, enfin commence à entrevoir une possibilité de guérison, la maladie lance une attaque désespérée et c'est alors qu'il risque le plus de se suicider.

    On pourrait dire que le capitalisme en est actuellement à ce point et dispose pour la première fois avec la succession des crises d'un savoir qui pourrait aussi bien entraîner notre destruction que de s'affranchir des restrictions qu'elle s'impose aux citoyens des Démocraties de Marché pour les transformer en débiteur producteur jusqu'à la mort. La consommation devenant un objet de désir pour les non producteurs excepté les retraités actifs non ehpadés.

    Pour le reste comme je le dis souvent , nos vies ne sont que le fruit de scénarios de banquiers centraux ou plutôt d'un le patron de la FED, raison pour laquelle on a installé Christine Hagarde experte en natation synchronisée

    à la tête de la BCE.

    Les chiens de garde de la Money Power ont poussés les boutiquiers gérants minoritaires à inventer la démocratie sans peuple.

    Le néoordoliberalisme demande de l'autorité, de l'ordre et de la DISCIPLINE....

    Apres les rsistes au boulot, vous verrez poindre prochainemenent une loi sur les fake news pour organiser la censure sur le net.

    Les forces de la négation et de la mort économique sont lancées dans une tentative suicidaire désespérée sans même comprendre que les révoltes auxquels nous assistons ne sont pas le fruit d'une idéologie mais d'un refus d'un quotidien oppressant. D'ici peu de temps, plus personne ne croyant la narration officielle, les consommateurs citoyans cèderont à une panique paranoïaque si les dirigeants occidentaux ne cessent de voir le monde tel qu'il devrait être en maximisant le pouvoir créancier mais tel qu'il est et laisser un peu de pouvoir aux débiteurs. Sinon comme l'écrit Lemaire du village global dans son roman :  Elle me tournait le dos ; elle se jetait sur le lit ; elle me montrait le renflement brun de son anus : “Tu viens Oskar ? Je suis dilatée comme jamais”. »

    Le sol n'est jamais loin pour celui qui désire se soumettre