Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

inflation - Page 7

  • On a rien à Karcher

    Voici donc venue l'économie de guerre sans guerre. Après l'épisode COVID, La guerre en Ukraine a été la planche de salut du capitalisme qui ne veut ou ne peut pas renoncer à la morphine financière

    Comme je le dis souvent

    regle nécronomique

    Taux négatifs pour l'apéritif

    Déclaration de guerre pour le déssert

    Sauf que cette fois, c'est encore plus fort puisque c'est la guerre sans guerre et que cette économie de guerre ne peut plus être financée que par des flux de monnaie sans substance issus de la planche à billets car dans ce cas, il n'est pas aisé de vendre l'anticipation d'une survaleur future aux Marchés Internationaux. En période de crise même les billets font la planche.

    En fin de compte, l'économie de guerre sans guerre va servir à diriger la transition écologique financée par les pauvres qui n'ont qu'a changer leurs habitudes de consommation en stoppant d'accumuler des gadgets chinois et de bouffer de la junk food qui les rend obèse. Frugal attitude, sobriété heureuse, ramasser dans les poubelles est un modèle de comportement éco-responsable et éco-citoyen. Et un parfait exemple de soldat économique de la guerre sans guerre nouvelle forme de partouze sans sexe.

    Je vous l'ai toujours dit et je l'écrivais dans Crise et Mutation : une mutation ne se fait que contraint et forcé.



    Aux USA, ils semblent décidés à combattre l'inflation quitte a entrer en récession et à augmenter le chômage ce qui fera baisser l'inflation (et les salaires). Dans la mentalité, il vaut mieux sacrifier des emplois que laisser les classes moyennes et les classes populaires encore en piste se faire siphonner par l inflation.

    En Europe

    L'inflation va être stoppée par la récession mais les prix resteront haut car la hausse de l'énergie est tendancielle.

    Dépense massive dans l'armement, cela sera considérée comme un investissement dans une future guerre sans guerre et puis on va s 'acheminer vers les 125 % de dette sur PIB dans uns contexte stagflationiste et puis paaaf le Grand Splaash car à ce stade nous nous rapprocherons de la japanisation : le fameux châtiment des neuf orifices et comme vous savez on en sort pas....

     

  • Roublez moi ce soir

    Tous les jours des images de guerre atroces ou des infos sur Poutine parano,malade d'un cancer de la thyroïde, de névrose impériale

    On a même maintenant le boucher de Boutcha...Azatbek Ormubekox le roi du massacre à la tronçonneuse...Pour le reste Leclerc qui nous annonce que le PQ allait augmenter de 30 % Ah bon, c'était fait en ukraine le PQ ? Ah non ça doit être fait en Chine et avec les goulots d'étanglement, la hausse du pétrole .....en vérité, les  couts de production qui augmentent avec l'energie le prix de la pâte à papier qui a pris 40 %;...

    Bref nous arrivons dans la phase où hors les matières premieres et l'énergie? l'inflation va se diffuser via les Marques, les ensEignes et les entreprises. Et avec tout ça surtout ne pas augmenter les salaires pour ne pas tomber dans la fameuse boucle prix salaires qui rendrait l'inflation incontrôlable

    Bref, il est temps d'ensigner aux masses la frugalité heureuse, la Lidlisation...

    Il n'y a plus de doute, on nous conditionne à l'economie de guerre et à l'effort de guerre soutenu par les plus pauvres d'entre nous. Occasion unique de faire financer par les masses la transition écologique que les élites ne veulent pas payer.

    Sinon

    La tendance de la croix rouble/dollar s’est rapprochée du taux de change cible fixé par la Banque centrale russe pour ses achats d’or physique sur le marché, qui a commencé fin mars et devrait se poursuivre jusqu’au 30 juin. C’est-à-dire 5 000 roubles par gramme. Si la monnaie russe avait vraiment été poussée par le feu vert pour acheter des lingots et pas seulement par l’ultimatum du Kremlin, l’Occident des banques centrales omnipotentes et du QE pérenne aurait un problème. Sérieux. Parce que le marché aurait récompensé - et de manière résolument enthousiaste - les prodromes d’une monnaie adossée à des matières premières. En outre, une monnaie de guerre sous sanctions, avec le système bancaire partiellement exclu de SWIFT et avec les réserves de la banque centrale gelées. Bref, si cala avait été le cas, les sanctions occidentales auraient connu leur défaite officielle.

    L’hystérie américaine sur la Russie « isolée » est risible. Tous les acteurs qui comptent à travers l’Eurasie – sans parler des 4 autres BRICS et de pratiquement tout le Sud – n’ont pas diabolisé et / ou sanctionné la Russie.

    John Walking Dead Biden

  • Quand le Docteur Doom parle...on l'écoute...

    Les banques centrales devront continuer à jongler avec les objectifs incompatibles de maîtriser l’inflation tout en maintenant les taux à long terme (ou les écarts intra-zone euro) bas grâce à des politiques de maintien du bilan. Et pendant tout ce temps, les gouvernements continueront d’alimenter les pressions inflationnistes avec des mesures de relance budgétaire et des sanctions persistantes.

    Au fil du temps, le resserrement des politiques monétaires peut entraîner un ralentissement de la croissance ou une récession pure et simple. Mais un autre risque est que la politique monétaire soit contrainte par la menace d’un piège de la dette. Avec des niveaux d’endettement privé et public à des sommets historiques en pourcentage du PIB, les banquiers centraux ne peuvent prendre la normalisation de la politique que jusqu’à présent avant de risquer un krach financier sur les marchés de la dette et des actions.

    À ce stade, les gouvernements, sous la pression de citoyens mécontents, pourraient être tentés de venir à la rescousse avec des plafonds de prix et de salaires et des contrôles administratifs pour maîtriser l’inflation. Ces mesures se sont avérées infructueuses dans le passé (provoquant, par exemple, un rationnement) – notamment dans les années 1970 stagflationnistes – et il n’y a aucune raison de penser que cette fois serait différente. Au contraire, certains gouvernements aggraveraient encore les choses en réintroduisant, par exemple, des mécanismes d’indexation automatique des salaires et des pensions.

    Dans un tel scénario, tous les décideurs politiques se rendraient compte des limites de leurs propres outils. Les banques centrales verraient que leur capacité à contrôler l’inflation est limitée par la nécessité de continuer à monétiser les dettes publiques et privées. Et les gouvernements verraient que leur capacité à maintenir les sanctions contre la Russie est limitée par les impacts négatifs sur leurs propres économies (en termes d’activité globale et d’inflation).

    Il y a deux fins de partie possibles. Les décideurs politiques peuvent abandonner l’un de leurs objectifs, ce qui entraînera une hausse de l’inflation, une croissance plus faible, des taux d’intérêt à long terme plus élevés ou des sanctions plus souples – accompagnées peut-être d’une baisse des indices boursiers. Alternativement, les décideurs peuvent se contenter de n’atteindre que partiellement chaque objectif, ce qui conduit à un résultat macroéconomique sous-optimal d’une inflation plus élevée, d’une croissance plus faible, de taux à long terme plus élevés et de sanctions plus souples – avec des indices boursiers plus bas et des monnaies fiduciaires dégradées alors émergentes. Quoi qu’il en soit, les ménages et les consommateurs ressentiront le pincement, ce qui aura des implications politiques à l’avenir.