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inflation - Page 11

  • La fabrication du mensonge sur l'inflation

    cryptoism-bitcoin-theory-324x235.jpgA l'ami reprise des chaussettes lecteur assidu du blog

    Les fausses données sur l'inflation 

    Depuis le début des années 1970, lorsque le président Nixon a demandé à son ami Arthur Burns, alors chef de la Réserve fédérale, de trouver un moyen de se débarrasser des données mensuelles d'inflation des consommateurs politiquement dommageables qui reflétaient la flambée des prix du pétrole et des céréales, la Fed utilise ce qu'on appelle " l'inflation sous-jacente", c'est-à-dire la hausse des prix à la consommation MOINS l'énergie et l'alimentation. À l'époque, l'énergie représentait 11% des données d'inflation. La nourriture pesait 25 %. Lorsqu'en 1975, les prix du pétrole de l'OPEP ont augmenté de 400 % et les prix des céréales de 300 % dans le monde en raison des mauvaises récoltes en Union soviétique, l'« inflation sous-jacente » a considérablement diminué. Et ce malgré le fait que les consommateurs américains ont dû payer beaucoup plus cher l'essence et le pain.Très peu de gens peuvent vraiment vivre sans énergie ni nourriture. L'inflation sous-jacente est une arnaque.

    En 1975, la Burns Fed avait éliminé les principaux facteurs liés au logement et à d'autres facteurs, de sorte que l'indice des prix à la consommation ne représentait que 35 % du panier de biens initialement mesuré. À ce moment-là, l'inflation réelle et quotidienne était déjà hors de contrôle. Dans le monde réel, l'essence aux États-Unis est 58% plus chère aujourd'hui qu'elle ne l'était en 2020, et au cours des 12 derniers mois, les prix des denrées alimentaires ont augmenté de plus de 6% en moyenne. L'indice américain des prix à la consommation d'aujourd'hui ne prend pas en compte le coût d'achat et de financement d'une maison, les taxes foncières ou l'entretien et l'amélioration de la maison. Ces facteurs ont explosé à travers l'Amérique au cours de la dernière année.

    Maintenant, il ne manque plus qu'une déclaration de la Fed que l'inflation est plus alarmante que prévu et nécessite des hausses de taux agressives pour "pousser l'inflation hors du système" - un mythe courant de la banque centrale qui est devenu un dogme sous Paul Volcker dans les années 1970.

    Nécronomiquement votre

    Je vous en dirai prochainement plus sur l'implosion 2022 mais il est important d'intégrer mes propos plus haut.

    JPC

     

  • Le docteur Doom a toujours raison

    L'inflation aux Etats-Unis risque de durer plus que prévu, prévient le patron de (abcbourse.com)

     

    Quand le docteur Doom parle - NECRONOMIE (blogspirit.com)

  • AVIS DE TEMPETE

    Le directeur de Goldman Sachs, David Solomon, a mis en garde contre l’euphorie actuelle des marchés. L’inflation pourrait entraîner une hausse des taux d’intérêt.

    La reprise économique amorcée suite à la pandémie de Covid-19 pourrait finir par s’essouffler selon certains observateurs. Après la Banque centrale européenne (BCE), c’est désormais au tour du patron de Goldman Sachs de mettre en garde les investisseurs.

    David Solomon a en effet déclaré, lors du 4e New Economy Forum de Bloomberg à Singapour, que des turbulences étaient à prévoir sur les marchés, malgré l’optimisme qui y règne aujourd’hui. Le responsable s’attend notamment à une hausse des taux d’intérêt, en réponse à l’inflation.

    "Durant mes 40 ans de carrière, j’ai vu des périodes où la cupidité l’emportait largement sur la peur. Nous sommes dans l'une de ces périodes. Mais quelque chose viendra rééquilibrer le marché. Au vu de l'inflation, il y a de fortes chances que les taux d'intérêt augmentent et que cela calme l'exubérance de certains marchés", a indiqué le banquier.



    Goldman Sachs avait déjà mis en garde ses clients contre une hausse de l’inflation ce 10 novembre. Dans une note, la banque conseillait notamment de privilégier les devises de pays ayant une approche agressive sur le sujet, pour investir en 2022.

    D’autres institutionnels inquiets

    Le constat du patron de Goldman Sachs rejoint les inquiétudes exprimées par d’autres acteurs financiers. La BCE s’est ainsi montrée prudente sur la reprise économique, estimant que "les risques liés à la pandémie n’ont pas totalement disparu", dans son rapport semestriel sur la stabilité financière. La banque centrale craint que les "poches d'exubérance" qui se sont formées sur certains marchés ne finissent par éclater, en particulier dans l’immobilier. La hausse des prix de l’énergie et la pression sur les chaînes d’approvisionnement sont aussi susceptibles de peser sur l’inflation, selon la BCE.