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pandemie

  • Trump is god ceinture

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    Gloire à Treponem Pal et Marco Neves

    Finir avec une intelligence artificielle américaine c’est quand même mieux que finir avec un anus artificiel européen tu vois c’est ça qu’ils ont voulu pour nous tous les petits saints du progrès les prêtres de la data les prophètes du clic ils ont dit que c’était la route qu’il fallait prendre alors on y va on court on rampe on s’excuse d’exister et on paye le ticket en plus

    l’avenir de la france mon vieux c’est pas des écoles ou des poètes non c’est des gestionnaires de prisons privées des types en costard qui te sourient pendant qu’ils te mettent un bracelet connecté au poignet et qui te disent t’inquiète mon gars c’est pour ton bien pour ta sécurité et tu dis oui merci monsieur parce qu’il faut bien bouffer...

    La messe est dite oui et pas en français non monsieur en latin par Jd Vance un autre apôtre du nouveau monde pendant que toi t’essayes de comprendre si c’est toi le mort ou juste ton compte bancaire qui a cessé de respirer.

    Et la mort économique c’est plus doux que la vraie elle sent moins fort tu continues d’émettre même quand t’es vidé tu continues d’envoyer des signaux ton profil tes mots tes gestes ton petit cœur numérique qui clignote encore dans le vide sidéral et là quelque part dans le néant un algorithme t’écoute et te dit que tout va bien

    La nouveauté c’est que maintenant l’esclave doit payer ses chaînes il les achète sur abonnement premium il choisit la couleur la longueur la matière il dit je veux du chrome poli moi monsieur parce que je suis moderne et libre.

    Impossible de taxer les dieux gafa intouchables omniscients djihad contre oracle sacré larry que ton nom soit béni que ton cloud soit sanctifié.

    Laisse en or charia du marché et la loi du score qui te dit combien t’existes combien t’aimes combien tu vaux dans cette impasse où les amours pourrissent lentement sous la lumière bleue des écrans.

    et tout ce qu’on peut faire c’est regarder la poussière tomber et se dire que c’est pas grave que c’est juste le monde qui se termine un peu chaque jour...

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  • Bonne Année 2024 les nécros

    3741748212.jpgLa bande son de 2024 est l'inverse d'une bande son basée sur l'harmonie ou plutôt une musique qui est ce qui demeure quand l'harmonie est usée, passée à la meule réindustrielle.

    La Money Power travaille vraiment, confondant leurs gestes, les enchevêtrant, les complétant l'un par l'autre aux fins d'une œuvre dont sera visible le seul nœud serré de la corde du pendu.

    Vous le savez, chers zamis nécros, il n'y a pas d'autres pouvoir que le pouvoir créancier et il n'existe qu'un seul ordre : celui de la dette car la dette on peut s'y pendre pas s'y suspendre.

    Petit scarabée aka David Carradine en est mort comme d'autres hommes en essayant de se provoquer une érection par pendaison (les hommes sont cons ).. Nous sommes dans cette phase.

    Les Marchés prennent les escaliers pour monter et l’ascenseur pour descendre. Du moins, c’est ce qu’ils ont fait lorsqu’ils n’étaient pas dépendants des manipulations des banques centrales. Nous sommes à notre plus haut niveau depuis avril. C’est-à-dire depuis que le programme de financement à terme de la banque a été activé en réponse à la défaillance de la Silicon Valley Bank. Aujourd’hui, alors que les indices battent un record par jour, les deux principaux véhicules de financement sont pressés comme des citrons. Ne pensez-vous pas qu’il y a un très vague soupçon de manipulation structurelle des actions ? Tout cela, d’ailleurs, à la lumière des sommets continus des contre-valeurs des rachats d’actions par les entreprises, un autre contrefort qui est maintenant devenu systémique pour réduire le flottant, maintenir les prix élevés et accorder des dividendes et des bonus.

    Et c’est sans parler de l’enfoncement des données macroéconomiques, d’un côté à l’autre de l’Atlantique. Et le Pacifique.

    Et c’est vrai partout, car le Dax en Allemagne qui s’envole vers des sommets historiques alors que l’économie allemande flirte avec les performances post-pandémiques et une désindustrialisation désormais établie,

    image1.JPGIl n'y a plus d'autres possibilités pour les banquiers centraux de réduire leur bilan premier trimestre 2024....Austérité

    Avoir une date ça aide...pour la dernière érection...comprenne qui pourave

  • L'ouverture c'est la fermeture...

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    Les températures augmentent actuellement, l'été approche à grands pas, le confinement se termine progressivement et les gens sont de bonne humeur ; la pandémie est (presque) terminée et l'ancienne vie semble revenir. Ce que la plupart de ces gens ne semblent pas réaliser, c'est que la vraie crise est encore à venir. Le marché des matières premières, avec des prix du bois qui grimpent jusqu'à 20 pour cent, en est un premier signe. Du coup, les premières entreprises de construction envoient déjà leurs salariés en chômage partiel, et certains indépendants de ce métier sont au chômage.

    Pour le moment, cependant, nous approchons d'une crise qui pourrait aboutir à deux scénarios tout aussi désagréables : des taux d'intérêt bas et une politique d'impression monétaire expansive ont créé une gigantesque bulle boursière et immobilière. Si ces bulles éclatent  - et le temps approche - cela pourrait conduire soit à une inflation notable, soit à un crash majeur. Dans les deux cas, il n'est guère surprenant que des « petites gens » en soient les victimes : des personnes qui perdent leurs moyens de subsistance, leurs économies ou qui souffrent d'une hausse des prix qui ne peut plus être compensée par la hausse des salaires. Quiconque possède une grande fortune n'a cependant pas à s'inquiéter, car il devrait avant tout profiter d'une crise économique à moyen terme. Les taux d'intérêt sont la clé des valorisations actuellement extrêmement élevées des actions et de l'immobilier. Comme les taux d'intérêt nominaux ont été maintenus proches de zéro par les banques centrales occidentales pendant de longues périodes depuis 2008 et que les taux d'intérêt réels ont donc même été négatifs pendant de nombreuses années, il était extrêmement intéressant de contracter des emprunts.

    Les lots d'argent bon marché ont fait leur chemin vers les marchés boursiers et immobiliers. Parce qu'il était presque impossible d'obtenir des rendements sur les obligations et les titres de créance, le capital recherchant un rendement s'est déversé dans les investissements en actions et dans l'immobilier, poussant leurs prix à des hauteurs anormales. Tant que le taux d'intérêt nominal des banques centrales reste proche de zéro et que le taux d'intérêt réel reste négatif, cela devrait continuer à l'avenir. Mais la question est : combien de temps encore ?

    Lorsque des chiffres d'inflation étonnamment élevés de 4,2 % ont été signalés aux États-Unis le 12 mai 2021, le marché boursier a tremblé brièvement parce que le marché craignait une augmentation des taux d'intérêt des banques centrales. Après que la Réserve fédérale américaine a affirmé qu'elle n'augmenterait pas les taux d'intérêt malgré le taux d'inflation élevé, le marché boursier s'est rapidement rétabli et la fête a continué. Ce court épisode montre à quel point les marchés boursiers sont nerveux et attachés aux bas taux d'intérêt des banques centrales. Une hausse significative des taux d'intérêt directeurs est susceptible de provoquer l'effondrement des marchés boursiers.

    Le krach du Bitcoin à la mi-mai a également eu un impact sur les cours boursiers en général. Le fait que certains investisseurs aient conclu des transactions financées par crédit en Bitcoin a entraîné des retraits de crédit. Celles-ci ont intensifié la baisse des prix et déclenché un véritable krach des crypto-monnaies, qui s'est également propagé aux marchés boursiers. Le développement actuel de Bitcoin montre qu'un crash dans un domaine peut rapidement se propager à d'autres domaines d'investissement.

    En outre : Les dettes mondiales des entreprises (hors banques et assurances) s'élèvent actuellement à 84 600 milliards de dollars, soit 101 % du produit national mondial. Un grand nombre de dettes d'entreprises ont une mauvaise notation (BBB ou pire). Certaines entreprises sont des entreprises dites zombies qui auraient fait faillite depuis longtemps si les taux d'intérêt n'avaient pas été aussi extrêmement bas depuis 13 ans.

    Il en va de même pour le marché immobilier. Presque tous les biens immobiliers sont financés par des prêts élevés. Une fois qu'une tendance à la baisse des prix de l'immobilier s'est installée, comme en 2007, de nombreux prêts font rapidement défaut et, comme dans un système pyramidal, la baisse peut facilement se transformer en un krach immobilier.

    Prochaine étape?

    Je résume : La bourse et les prix de l' immobilier ne sont plus justifiés par les forces économiques réelles à cause de la politique d'impression de monnaie ( quantitative easing ) et des taux d'intérêt artificiellement extrêmement bas poursuivis par les banques centrales occidentales depuis des années , les prix sont trop élevés. De nombreux investisseurs vivent dans l'illusion qu'ils récupéreront tout l'argent qu'ils ont prêté et que leurs actifs, c'est-à-dire des obligations, des actions et des biens immobiliers, valent en fait autant qu'il est écrit sur papier. Mais ils ne le sont plus.

    Le réveil sera douloureux car, selon toutes les lois de l'économie, il doit y avoir un ajustement. Trop de chèques ont été tirés pour l'avenir ces dernières décennies, mais surtout depuis les confinements. Qui paiera les factures impayées ?

    Je vois deux scénarios.

    Scénario douloureux mais optimiste :

    Le premier scénario est l'inflation. Les États-Unis, et peut-être même la zone euro, pourraient réussir à contrôler l'inflation de 8 à 12 % pendant une décennie. Cela pourrait réduire la dette à un niveau tolérable. Le fardeau serait principalement supporté par les petits et moyens investisseurs qui ont investi dans de l'argent et des titres de créance comme les obligations, et aussi par les salariés, les chômeurs, les rsistes et les retraités, si leurs revenus ne suivaient pas le rythme des prix. Les gagnants seraient tous les débiteurs et tous ceux qui possèdent des actifs réels.

    Scénario nécronomique :

    Le deuxième scénario est une crise boursière, de la dette, bancaire, étatique et économique, c'est-à-dire un krach majeur. Cela signifierait l'effondrement des marchés et une armée de millions de chômeurs. Si cela se produit, l'euro devrait également se briser.

    Un crash peut être déclenché relativement facilement. Quelque chose de similaire à ce qui s'est passé en septembre 2008, lorsqu'une banque d'investissement - Lehman - s'est retrouvée en difficulté et a entraîné l'ensemble du marché avec elle, pourrait se reproduire cette fois. Dans la situation actuelle surchargée, surévaluée et nerveuse, fonctionnant avec d'énormes quantités de dettes et d'énormes paris sur les futures, une avalanche à la baisse peut facilement être déclenchée.

    En cas de crash majeur, le fardeau serait supporté par les millions de chômeurs et par un grand nombre de petites et moyennes entreprises qui feraient faillite d'affilée. Mais il y a aussi des gagnants : la plupart des grands groupes financiers devraient en profiter à moyen terme car ils pourraient reprendre les parts de marché des entreprises en faillite. Du point de vue des grandes entreprises et des sociétés financières, un krach pourrait conduire à éclaircir le sous-bois des concurrents de taille moyenne et petite. La condition préalable à cela, cependant, est qu'ils soient assis sur d'énormes montagnes d'argent. Et c'est exactement ce qu'ils font.

    Si vous regardez les intérêts de quelques acteurs importants et leurs positionnements, il y a beaucoup à dire sur le scénario du crash. J’aurai l’occasion de revenir dessus et c’est la raison pour laquelle il va nous falloir nous battre contre l’oligarchie financière.