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futur - Page 2

  • Changement de stratégie

    Avec Castaner comme conseiller, on savait que c’était mal barré.

    Pour « faire évoluer une filière », la « puissance publique ne peut pas tout », avance M. Castaner, estimant que « la marche est haute, mais les dirigeants de Shein ont une vraie volonté de s’adapter aux attentes européennes ».

     

    Il est génial comme conseiller Castaner aussi génial que comme ministre de l’intérieur. Bon à sa décharge si j’ose m’exprimer ainsi, il a démissioné en juin…

    Lecornu a repris les choses en main

    Sébastien Lecornu a engagé une procédure de "suspension" de la plateforme numérique du distributeur chinois Shein, qui a ouvert ce mercredi sa boutique physique au sein du BHV à Paris.

    "Sur instruction du Premier ministre, le gouvernement engage la procédure de suspension de Shein le temps nécessaire pour que la plateforme démontre aux pouvoirs publics que l’ensemble de ses contenus soient enfin en conformité avec  nos lois et règlements",

    En exclusivité Nécro voici le résultat

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  • Trump is god ceinture

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    Gloire à Treponem Pal et Marco Neves

    Finir avec une intelligence artificielle américaine c’est quand même mieux que finir avec un anus artificiel européen tu vois c’est ça qu’ils ont voulu pour nous tous les petits saints du progrès les prêtres de la data les prophètes du clic ils ont dit que c’était la route qu’il fallait prendre alors on y va on court on rampe on s’excuse d’exister et on paye le ticket en plus

    l’avenir de la france mon vieux c’est pas des écoles ou des poètes non c’est des gestionnaires de prisons privées des types en costard qui te sourient pendant qu’ils te mettent un bracelet connecté au poignet et qui te disent t’inquiète mon gars c’est pour ton bien pour ta sécurité et tu dis oui merci monsieur parce qu’il faut bien bouffer...

    La messe est dite oui et pas en français non monsieur en latin par Jd Vance un autre apôtre du nouveau monde pendant que toi t’essayes de comprendre si c’est toi le mort ou juste ton compte bancaire qui a cessé de respirer.

    Et la mort économique c’est plus doux que la vraie elle sent moins fort tu continues d’émettre même quand t’es vidé tu continues d’envoyer des signaux ton profil tes mots tes gestes ton petit cœur numérique qui clignote encore dans le vide sidéral et là quelque part dans le néant un algorithme t’écoute et te dit que tout va bien

    La nouveauté c’est que maintenant l’esclave doit payer ses chaînes il les achète sur abonnement premium il choisit la couleur la longueur la matière il dit je veux du chrome poli moi monsieur parce que je suis moderne et libre.

    Impossible de taxer les dieux gafa intouchables omniscients djihad contre oracle sacré larry que ton nom soit béni que ton cloud soit sanctifié.

    Laisse en or charia du marché et la loi du score qui te dit combien t’existes combien t’aimes combien tu vaux dans cette impasse où les amours pourrissent lentement sous la lumière bleue des écrans.

    et tout ce qu’on peut faire c’est regarder la poussière tomber et se dire que c’est pas grave que c’est juste le monde qui se termine un peu chaque jour...

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  • Cash cash party

     

    Illustrations de Chris P d'Urbain Autopsy
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    Pendant que Trump stérilise la dette en la vendant au monde entier sous forme de stablecoins à travers son Genius Act, la BCE recommande de conserver une réserve d'espèces chez soi pour faire face aux crises. Une étude montre que malgré le déclin du cash, les Européens se tournent massivement vers les billets en période de stress, comme lors de la pandémie ou de l'invasion de l'Ukraine.

    La BCE nous dit de planquer du cash. Comme si le futur se résumait à une boîte à chaussures remplie de billets froissés qui sentent la sueur, la coke et la peur. Les bureaucrates le savent : quand les écrans s’éteignent, quand le plastique des cartes fond sous la chaleur radioactive du système en panne, il ne reste que le vieux papier imprimé – fétiche dérisoire contre l’effondrement.

    Pendant la pandémie, j’ai vu les gens courir comme des rats vers les distributeurs, les yeux exorbités, prêts à vendre leurs grands-mères pour un billet de 50. En Ukraine, les chars roulaient et les guichets automatiques crachaient des rectangles de survie. Chaque coup de canon résonnait comme le bruit sec d’une machine qui s’arrête net : plus de cash, plus de vie.

    La Grèce fut le laboratoire : 2014-2015, le soleil brûlait Athènes et les banques vomissaient des billets à un rythme insensé. Comme si la ville entière s’était transformée en casino en flammes où les jetons s’évaporaient, remplacés par un frisson paranoïaque. Le billet devenait plus qu’un billet : une arme, un ticket de sortie, une dose de méthadone distribuée par un système en pleine overdose.

    Ils appellent ça une « protection à faible coût ». J’appelle ça un talisman en papier contre l’apocalypse. Un extincteur vide dans un immeuble en feu. Une illusion nécessaire pour que les masses ne se réveillent pas et ne voient pas la vérité : l’économie mondiale est déjà une carcasse calcinée, et nous ne faisons que gratter ses os en espérant trouver un dernier morceau de viande.

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