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futur - Page 2

  • récap décap en images

    Je vous résume, à l’extérieur, nous avons la menace existentielle russe, la charia des marchés financiers et la crise de la dette, le changement de business model des USA, à l’intérieur l’entrisme des frères musulmans, le risque de devenir un narco-Etat sans parler des barbares des quartiers.

    Et un gouvernement en attente de dissolution.

    On ne pouvait rêver mieux pour un effondrement…

    Eteignez la TV avant que ce soit elle qui vous regarde….

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  • Les falaises de marbre trumpienne

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    Compte tenu des marchés gonflés comme des carcasses putréfiées sous le soleil :
    Bourse au plus haut –
    Immobilier au plus haut –
    Bitcoin, Ethereum, Or… au plus haut –
    Masse monétaire hypertrophiée –
    Dette publique aux cieux –
    Inflation rampante, 4 % annuels comme une sueur froide,
    depuis janvier 2020, sans interruption.
    Deux fois le Saint Graal des 2 % de la Fed, ce placebo destiné à maintenir les moutons sous perfusion de stabilité.

    Soyons clairs : ce n’est pas un environnement qui exige un adoucissement du prix de l’argent.
    C’est l’ABC, écrit en sang, sur les murs du capital.

    Dernier réflexe des grands fauves avant de crever :
    éjaculer leur semence noire sur la terre.
    Dernier spasme – la Bête se répand, contaminant la poussière,
    cherchant à se reproduire dans les chairs mortes du système.

    Les démocraties libérales ne respirent plus.
    Elles sont déjà des cadavres maquillés.
    La pseudo-nationalisation d’Intel par Trump l’a gravé dans la pierre tombale :
    techno-nécro-capitalisme en phase terminale.

     

  • L’Europe se prépare. Mais pas à vivre...

     

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    L’Europe se prépare. Mais pas à vivre.

    Elle se prépare à durer. À survivre. À s’auto-emballer sous vide dans l’espoir de ne pas pourrir trop vite.

    Stockage des minéraux critiques, rationnement algorithmique des calories, carburants fossiles mis sous cloche comme du vin de guerre. Pas pour le peuple, non. Pour les chaînes d’approvisionnement. Pour les tanks sans pilotes. Pour les marchés.

    Le risque n’est plus un facteur : c’est le décor.

    Guerre chaude, planète chaude, guerre froide numérique.

    Le Financial Times appelle cela une "prise de conscience". Nous préférons "préservation cadavérique". L’Europe sent son odeur : vulnérable sur trois fronts. Géopolitique, climatique, cyber. Trois clous, un cercueil.

    Les entreprises, elles, ont déjà pris le virage nécro-utile.
    Morgan Stanley sonne l’alarme : 57 % d’entre elles ont été touchées.

    Touchées par quoi ? Par la réalité.

    Tempêtes, sécheresses, ruptures de réseaux, interruptions de flux.

    Résultat : la durabilité n’est plus une vertu, mais une stratégie de survie. Ce n’est plus une question d’écologie, mais de coût-bénéfice en territoire sinistré.

    Il ne s’agit plus de prévenir le chaos. Il s’agit d’en tirer profit tout en s’en prémunissant.

    Et pendant que l’Europe stocke…

    Le marché, lui, s’adapte.

    Comme les champignons après Hiroshima.

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